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L'inceste vu par les yeux du plaisir.

Ceci est un blog pour vous donner une autre image sur l'inceste. celle du plaisir entre adultes et consentants. celle où l'on ne se pose pas de questions autres que celles qui nous ménent à la volupté. Nous ne voulons pas de conseils psychologiques ni de morale religieuse. De grâce, si le contenu vous choque ou ne vous plait pas passez votre chemin vers là où vous-vous sentirez mieux. Bienvenue aux commentaires de tous ceux qui veulent une améliorations et aussi au propositions voir récits et textes à publier. Bonne lecture à tous et à toutes et surtout laissez-vous emporter par le plaisir sans aucune résistance.

Maxime

Dimanche 18 janvier 7 18 /01 /Jan 12:04

10929232 1385072015129501 5225843543008042900 nddd « Aaaaaah ! Vous me foutez divinement » Gémit Madame de Saint-Ange tandis que son confesseur déchargeait à grands traits dans un con d’une étroitesse extrême.
Depuis son récent veuvage et chaque mercredi, elle recevait l’homme d’église qui, non seulement recevait ses confessions les plus intimes mais lui donnait l’absolution d’une manière toute personnelle. Il était d’autant plus redevable de ce sacrifice de sa personne à l’inconsolable comtesse, qu’il avait accepté de prendre sous sa férule, l’éducation du jeune François, le fils unique d’un mariage qui s’était conclu trop tôt et achevé trop rapidement. Mariée à seize ans à un homme de cinquante ans son aîné, Agnès de Saint-Ange avait connu la désagréable expérience de le voir succomber d’une attaque foudroyante alors qu’elle lui prodiguait une fellation. Les valets avaient du évacuer le malheureux, la bite aussi raidie que le corps et la comtesse s’était consolée en héritant d’une fortune qui la mettait à l’abri du besoin jusqu’à la fin de ses jours.
« Madame, nous devons parler de choses importantes », déclara le confesseur en se rajustant. Il lui expliqua que le jeune François ayant atteint sa majorité, devait soit revêtir l’habit ecclésiastique, ou bien quitter le monastère où il avait reçu son éducation. « Soit ! Qu’il revienne au château » Déclara la comtesse.
« Nous lui trouverons femme et fortune avec votre aide… »
Et, donnant congé au curé, elle conclut : Et si vous échouez mon père, vos couilles sècheront aussi sûrement que le dernier manant pendu en place publique ! »
Le lendemain matin, François fit son entrée dans le boudoir de sa mère. La comtesse contempla un instant le jeune homme. Bien qu’élégamment vêtu, il avait l’air frêle et timide, se dandinant d’un pied sur l’autre.
« Eh mon jeune homme, il va falloir prendre un peu plus d’assurance si vous voulez briller en société ! Je ne doute pas que les bons pères ont parfait votre éducation mais je crois qu’il vous reste quelques efforts à accomplir dans certains domaines moins… académiques disons ! Déshabillez-vous ! »
Incrédule, François contempla sa mère, croyant avoir mal entendu.
« Eh bien ! Qu’attendez-vous ? Je veux savoir dans quelles dispositions d’élégance la nature vous a façonnée… »
En rougissant, il commença à se dévêtir, jusqu’à se retrouver torse nu et seulement couvert d’un caleçon long, orné aux chevilles d’une dentelle ridicule.
« Ca aussi ! » réclama la comtesse en montrant du doigt le fin tissu de flanelle. Terriblement gêné, François ôta le dernier rempart à sa pudeur. Les bras le long du corps, il laissa sa mère tourner autour de lui :
« Belles proportions. Les activités de plein air vous ont réussi à ce que je vois ! Le dos est droit, le torse a l’air puissant, les jambes sont joliment dessinées. »
Madame de Saint-Ange passa sa main sur les épaules et le dos de son fils, admirant la finesse et le grain de peau. Elle caressa le torse couvert d’un fin duvet brun puis le ventre plat et musclé de François qui sentait à présent une étrange torpeur l’envahir. Entre ses jambes, son sexe commença à se redresser, à sa plus grande honte. Sa mère s’en aperçut et se penchant vers son oreille, lui murmura :
« Ne soyez pas gêné, mon fils ! Votre état est parfaitement naturel mais je dois également m’assurer que le ramage est aussi beau que le plumage, comme disait M. de La Fontaine ! »
Agnès de Saint-Ange s’agenouilla et saisit délicatement la bite de son fils entre ses doigts.
« Mèèèèèère ! Qu’est-ce que… » Tressaillit François.
« Chuuuut » L’apaisa-t-elle et elle commença à caresser lentement la jeune queue qui était à présent fièrement dressée. Elle se contentait d’effleurer la jeune bite, décalottant le gland rosâtre, griffant légèrement la peau tendre du prépuce. François sentit que son sang bouillonnait à l’intérieur de ses veines tandis que sa mère lui prodiguait des caresses d’une folle lubricité. Soupesant les couilles, elle lui demanda :
« Lorsque vous étiez au monastère, vous branliez-vous ? »
« Mouuuuui ! » Articula le jeune homme.
« Souvent ? Tout seul ? Allons, répondez-moi ! N’ayez pas honte d’être un homme que diable ! »
Le regard révulsé par la jouissance qu’il sentait monter en lui telle un flot impétueux, François avoua à sa mère qu’il se branlait chaque soir, parfois même plusieurs fois par jour. Il lui révéla l’amitié particulière qu’il entretenait avec un jeune novice dont la bouche lui avait souvent servi de réceptacle. Excitée par les aveux de son fils, Agnès de Saint-Ange sentit un flot de mouille lui inonder l’entrejambe. « Doux Jésus ! Je vais encore barbouiller les joues de ma camériste quand elle va devoir lécher tout ça ! » Songea-t-elle dans un frisson d’extase.
Tout en accélérant les mouvements de sa main sur la bite de son fils, Agnès de Saint-Ange saliva abondamment sur un doigt qu’elle enfila dans le rectum de François.
« Je vois que vous êtes encore vierge de ce côté-là. Vous êtes inverti mais point trop et vous pourrez séduire autant le beau-père que la fille ! »
Cette caresse eut raison des dernières résistances de François qui s’arc bouta violemment en gémissant. De puissants jets blanchâtres jaillirent de sa queue avant de s’écraser sur le tapis persan du boudoir. Sa mère approcha son visage de la bite qui tressautait entre ses doigts et enroula ses lèvres autour du gland pour en cueillir les ultimes gouttes, se délectant du goût salé de cette jeune queue.
En se relevant, elle pointa le doigt qui avait fouillé le rectum de François vers la bouche du jeune homme qui le téta avec reconnaissance.
« Bien ! » Déclara-t-elle sur un ton qui n’admettait aucune réplique.
« Cette première expérience est prometteuse mais je suppose que vous ne connaissez rien à l’anatomie d’une femme. Vous viendrez donc parfaire vos connaissances sur ce sujet ce soir… Je vous attends dans mes appartements après le souper ! »
Au moment où le jeune homme quittait le boudoir, les jambes encore flageolantes et après que sa mère lui eut donné congé, elle le rappela :
« demandez donc à Charlotte, ma femme de chambre, de venir me voir sans délai. Dites-lui seulement que Madame a besoin d’une toilette… Elle comprendra… »

À suivre...

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Dimanche 18 janvier 7 18 /01 /Jan 11:41

Chapitre 1


Bonjour à tous. Agé de 22 ans, j’habite toujours chez Maman (eh oui !!!) et je dois avouer que je n’ai pas à m’en plaindre. Ma mère, Claire, divorcée depuis déjà 4 ans d’un mari plus que volage, vivait une sexualité que je pourrais qualifier de négative.
Le jour où elle a découvert que je me masturbais dans ses petites culottes, elle a complètement changé ! Celle que je prenais pour une femme réservée, se promenait sous mon nez en tenues plus qu’osées : guêpières, soutiens-gorge pigeonnants, strings et autres accessoires de dentelle suggestifs. Mais comble de la lascivité, elle ne laissait rien paraître !

Un soir où je me branlais comme un fou, suite à ce que j’avais pu voir au dîner, patatras, elle rentre sans frapper dans ma chambre ! Je suis flambant nu avec la main sur ma bite qui monte et descend. Elle porte, ce soir-là, une robe de chambre fluide (oui même très fluide) et avec un regard un peu moqueur me demande ce que je fais entièrement nu en train de branler mon sexe. Je ne peux que finir par lui dire que je fantasme sur une femme, bien entendu sans lui dire laquelle.

Elle s’avance et vient s’asseoir sur le bord de mon lit. Compte tenu de la fluidité de son vêtement, les pans glissent dévoilant ses cuisses jusqu’en haut ainsi que son sexe rasé. Mes yeux ne peuvent se détacher de cette merveilleuse vision et elle fait, à mon avis, semblant de ne pas s’en rendre compte.

« Peut-être, puis je t’aider ?
– Comment ça... ? »

Elle ne répond rien, mais par contre, c’est sa main qui répond. Elle enlève ma main et, de suite, la sienne prend place sur ma bite qui me semble gonfler. Elle commence des mouvements de va-et-vient, d’abord lentement, puis de plus en plus rapidement. Ce traitement ne tarde pas à faire son effet et j’explose en jets épais qui giclent sur sa main, son peignoir et mon ventre. Sans me laisser le temps de réagir, elle se jette sur mon pieu et l’embouche presqu’entièrement. Pendant ce temps, de façon totalement involontaire, ma main s’était placée sur sa cuisse découverte. Je la sentais frissonner tout en me branlant.

Lorsque je vis ou était ma main, imperceptiblement, je remontai vers sa fourche. Elle ne disait rien, bien que je sois sûr qu’elle en était consciente. Apres avoir extrait tout ce qui pouvait rester dans ma queue, elle lécha sa main, puis mon ventre. Cette langue m’électrisait. Après un doux sourire et un petit bisou sur la joue, mais très proche de ma bouche, elle se leva et quitta la chambre.

Le lendemain matin, au petit déjeuner, je descendis dans la cuisine, "en rasant les murs", Maman y était déjà en train de le préparer. Je m’installe donc à ma place habituelle en silence. De son coté, même silence ! Nous déjeunons donc ainsi sans nous adresser la parole, mais chacun épiant l’autre. Je ne savais pas où me mettre après ce qui s’était passé la veille. Une fois terminé, je partis au salon et fit semblant de lire une revue. Sur ces entrefaites, Maman y arriva aussi et vint s’installer près de moi.

« Que se passe-t-il, mon Chéri ?
– Rien… !
– Je vois bien que tu n’es pas dans ton état normal !
– Quel doux euphémisme, Maman !
– Alors, dis ce que tu as à dire, que je connaisse ton souci !
– C’est à cause d’hier soir !!!
– Tu n’as pas aimé ce que j’ai fait ? Tu es choqué ?
– Euh… !
– Bon, je vais être plus précise, voilà quatre ans que ton père est parti avec sa secrétaire et comme tu as pu le constater, je n’ai plus, depuis ce jour, aucun homme dans ma vie, à part toi. Et hier soir, lorsque je t’ai vu en train de te branler, je n’ai pu me retenir, car avant tout, je suis une femme !
.. Crois-tu que je n’avais pas remarqué tes coups d’œil lorsque je me promenais en tenues légères devant toi ?
.. Eh bien, saches que j’ai fait exprès pour déclencher une réaction de ta part !
.. Crois-tu que je n’entendais pas tes râles lorsque je passais près de ta chambre et que tu te tripotais ?
.. Peux-tu me dire sur quoi tu fantasmais en t’astiquant ta si belle queue ?
.. Il vaut mieux une réponse, car nous ne quitterons pas le salon avant que je sache tout !
– Euh… !
– Ca n’est pas une réponse de ce genre qui va me suffire !
– C’est difficile à dire, Maman !
– Mais encore ?
– Je fantasme sur une femme plus âgée que moi !
– Je la connais ?
– Oui, très bien même !
– Une de mes amies, celles qui viennent régulièrement à la maison ?
– Non, aucune d’elles !
– Une collègue à ton travail ?
– Non plus !
– Vas-tu te décider à me dire de qui il s’agit ?
– Euh, c’est-à-dire, c’est….
– C’est qui ?
– C’est toi, Maman !
– Mais je suis ta mère, réfléchis un peu !
– Oui, ma mère soit, mais aussi une superbe femme qui, de plus, m’a branlé et sucé hier soir !
.. Une femme qui, depuis déjà un bon moment, m’allumait dès qu’elle le pouvait !
– Tu as des besoins d’homme, j’en conviens, mais moi j’ai aussi des besoins de femme !
..Te voir te branler hier soir m’a donné l’irrésistible envie de retrouver le gout et l’envie de toucher ta belle bite !
– Oh, tu n’as pas fait que toucher, il me semble… !
– Bon d’accord, j’ai sans doute eu tort !
– Au contraire, Maman, depuis le temps que j’attendais ça !!! »

Pendant la conversation, sans m’en rendre compte, j’avais posé ma tête sur l’épaule de Maman et elle passait sa main dans mes cheveux et sur le haut de mon dos. J’en frissonnais de désir.
Un grand silence s’installa. Maman me redressa, me regarda dans les yeux, et très doucement, m’embrassa sur la bouche.

– Mon grand, je ne sais pas vers quoi nous allons, mais une partie du "mal" est déjà fait !
.. L’essentiel est de garder cela secret, car ce genre de relation est très mal vu dans la société ! Il faut que tu me promettes de n’en parler à personne !
– Je te le jure, Maman, ce sera notre secret et personne n’en saura jamais rien !
– Il est évident, mon Chéri, que cela va bien entendu modifier notre mode de vie, à la maison du moins !
– C’est-à-dire ?
– Je pense qu’en privé, tu peux laisser tomber le "maman" et me dire tout simplement Claire, ce qui est, il me semble, mon prénom !
.. Tu peux aussi me donner des petits noms gentils tels que "Ma Chérie", etc. etc. !
– Ce sera avec grand plaisir, mam…, euh Claire !
– Bien, il est temps d’aller prendre ta douche pour effacer les traces d’hier soir !
.. Nous en reparlerons ce soir !

 

 

Chapitre 2


En fin de journée, après mon travail, je regagnai le domicile familial. La voiture de Maman – Claire, désormais – était déjà dans le garage.
Je pénétrai dans la maison que je trouvais bien silencieuse. Je me suis donc décidé à appeler Maman.

« Maman, tu es là ?
– Non il n’y a que Claire ! » Me répondit-elle, dans un grand éclat de rire.

Je m’étais installé sur le canapé du salon et, bien que tournant le dos à l’escalier, les effluves de son parfum m’informèrent de son arrivée dans la pièce. Elle portait un déshabillé rose pâle, tout à fait fluide, mais suffisamment près du corps pour révéler ses formes superbes. Elle vint s’asseoir à côté de moi. Non, je devrais plutôt dire : elle vint se coller à moi de façon à ce que nos deux corps ne fassent plus qu’un. Me voyant troublé, elle me dit :

« Tu sembles tout bizarre, tout à coup ?
– Ben…, oui, ça me fait drôle que nous soyons ainsi l’un contre l’autre !
– Tu n’aimes pas ?
– Oh si, au contraire, tu combles mes rêves les plus fous !
– Alors, c’est que tu n’oses pas t’aventurer plus loin, peut-être ?
– Oui, c’est un peu ça !
– Bon, après ce qui s’est passé ce matin, nous pouvons difficilement revenir en arrière. Eh bien je vais "t’aider" un peu ! »

Elle se décolla de moi et défit la ceinture de son léger vêtement. Elle en écarta les pans et m’apparut seulement "vêtue" d’un porte-jarretelles et de bas. Mon Dieu qu’elle était belle ! Tout ce que j’avais sous les yeux ne pouvait que provoquer le désir. Me voyant indécis, c’est elle qui prit ma main et la posa sur un de ses seins. Sous ma paume, je sentais la douceur et l’élasticité de la rotondité dénudée. Elle me prit alors par la nuque et amena ma bouche à son mamelon. Elle me dit alors de le prendre entre mes lèvres et de le sucer délicatement. Au fur et à mesure que je le suçais, je sentais le téton se développer et durcir. Elle déplaça alors ma main vers son autre sein que je commençai à pétrir tendrement. Je sentais sa respiration s’accélérer au fur et à mesure de mes caresses buccales et manuelles.

« Oh oui, mon chéri, continue, c’est trop bon, j’avais oublié que ça pouvait être si grisant !
– Oh Maman, si tu savais comme je t’aime ! Je veux tout apprendre avec toi !
– Tu ne vas pas me dire que tu es encore puceau... ?
– ……..
– L’est tu ?
– Oui, Maman !
– Oh, oublie un peu ce "Maman", je te l’ai déjà demandé !
– Oui Claire, tu es la première femme pour moi.
– Mais à ton âge, tu as déjà eu des petites copines ?
– Non, car sans vouloir le reconnaitre, c’est toi, en fait, que je voulais comme "petite amie !
– Bon, dans ce cas, nous allons remédier à tout cela !

Elle se leva et dans un lent geste, elle laissa tomber son vêtement à terre. Qu’elle était belle dans sa nudité ! J’en restai sans voix et ne savait plus où porter mes yeux. Ses seins, son sexe entièrement épilé, ses jambes gainées de ce nylon si érotique, tout en elle me donnait envie d’aller plus loin. Elle aussi, avait envie d’aller plus loin et son regard le disait clairement. Et, se mettant à genoux, elle entreprit de déboucler mon pantalon et d’un seul mouvement, baissa pantalon et boxer. J’étais raide comme un mât de chapiteau et ma bite tressautait au rythme de mes pulsations et je vous prie de croire que ça battait la chamade.

Sans plus attendre, elle prit ma queue dans sa main et commença à me branler tout doucement. Elle se pencha en avant et, de la pointe de sa langue, elle titilla le gland et en fit le tour. Elle me regardait dans les yeux, semblant guetter mes réactions. Elle engloutit ma bite d’un seul coup dans sa bouche. Oh, ma ravissante Maman connaissait les "gorges profondes" ! Je n’en revenais pas : je ne l’aurais jamais cru si cochonne. Excité comme je l’étais, elle ne tarda pas à arriver à ses fins. Je lui balançai tout mon foutre et elle sortit ma bite pour se faire asperger le visage et la poitrine.

« Claire, sans vouloir te manquer de respect, dans cette état, tu as l’air de la parfaite salope !
– Mais, désormais, Chéri, je suis TA salope ! Nous ferons tout ensemble et à la maison, nous nous comporterons comme un vrai couple ! »

Soudain, la sonnette de l’entrée se fit entendre !!! Maman me dit de me rhabiller rapidement et d’aller ouvrir, pendant qu’elle s’enfuyait à la salle de bain. Une fois présentable et un deuxième coup de sonnette impératif, je courus à la porte.

– Oh tante Christine, bonjour, quel plaisir de te voir – tu parles !
– Ta mère est là ?
– Oui, elle est en train de se changer, elle vient de rentrer du boulot !
.. Claire, dépêche-toi, tante Christine attend ! »

Mais quel abruti je faisais ! Je vis ma tante ouvrir de grands yeux, incrédule de ce qu’elle venait d’entendre. Du premier étage, on entendit Maman répondre qu’elle arrivait tout de suite.

 

 

À suivre …

 

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Dimanche 18 janvier 7 18 /01 /Jan 11:31

Jeanne et Albert sont un couple reconstruit, elle a quarante ans, grande, mince et brune, la poitrine menue mais une bonne paire de fesses. Elle est toujours une belle femme malgré les années, son teint mat et ses cheveux noirs font retourner plus d’un homme dans la rue. Jeanne est fonctionnaire dans une petite ville du sud ouest de la France. Divorcée trois après son mariage et deux après la naissance de son fils Bernard, elle donne tout à son fils qui a maintenant seize ans. D’un tempérament fort et personnalisé, elle n’a jamais eu d’aventure avec un homme depuis sa séparation. Bernard poursuit ses études au lycée, garçon très brillant et très discret, il n’aime qu’une chose : sa mère, on lui connaît aucune aventure, aucun flirt, à la sortie du lycée, il file directement chez lui.

Albert est veuf, sa femme a été tuée dans un accident de la route qui a laissé Albert et sa fille Sylvie dans un désarroi complet. Brun, de taille moyenne, quarante trois ans, il est cadre dans une banque, autoritaire au travail mais doux comme un agneau à la maison. Ce pauvre homme ne sait jamais comment faire pour rendre sa fille la plus heureuse. Sylvie a seize ans mais en parait trois de moins, brune comme son père, légèrement boulotte, ce qui la complexe un peu, pensant que les autres élèves du lycée sont beaucoup mieux. Albert consacre toute sa vie pour le bonheur de sa fille.

Jeanne a avec son fils une relation d’une grande complicité que peu de gens peuvent comprendre. Cela a commencé un peu plus de deux ans après son divorce, il s’est installé le plus naturellement du monde une relation de plaisir partagé sans fausse pudeur. 
Jeanne a gardé contact avec son cercle d’amis mais repousse de plus en plus les chances de les voir.
Cette vie a évolué sans ressentir la moindre honte ou gène, en grandissant, Bernard se transforme et mûri, ce qui ne modifie pas les habitudes prises au cours des années. Les parties de chatouilles et de câlins sont toujours constantes le soir sur le canapé devant la télé. 
Bernard n’a pas de petite amie, il trouve sa mère beaucoup plus intéressante que ses copines du lycée et surtout beaucoup plus belle !

Ces changements dans la vie intime de chacun d’eux se manifestent progressivement à la maison. Jeanne prend un plaisir trouble à porter des jupes plus courtes, à négliger de fermer totalement ses robes pour laisser voir comme par accident un bout de chair ou de dentelle de ses dessous. Bernard lui, traîne le plus souvent à la maison dans des bermudas amples qu’il porte sans slip. Il aime rester torse nu ou en débardeur. 

Jeanne ne dit pas grand-chose quand son fils passe sa main entre ses cuisses en chahutant, elle le repousse gentiment, mais il faut dire… De plus en plus mollement

- Maman…tu sais je te trouve si belle…si belle.

Et en disant cela il saisit sa sensuelle Maman par les hanches en la repoussant au fond du canapé. Beaucoup plus troublée qu’elle ne voudrait se l’avouer, Jeanne se laisse aller, incapable de résister.

Se rapprochant l'un de l'autre sur le canapé, Jeanne et Bernard s'embrassent d'abord timidement, puis avec de plus en plus de passion, se titillant la langue. Les mains ne restent pas inactives, rapidement, la jupe de plus en plus remontée, les quatre mains partent à la conquête de terrains de jeux interdits mais délicieux. 


Lorsque Bernard vient se frotter contre sa mère, celle-ci sent le sexe qui durcit, elle savoure au contraire l’hommage de son fils devenu homme. 

C’est Jeanne qui un soir osa le premier geste. Elle fut prise d’une pulsion plus forte que d’habitude, elle porta sa main sur la tige raide et chaude à travers le caleçon. 
Le regard embué de reconnaissance que lui adresse son fils l’amène à caresser son front puis le parsemer de petits baisers en lui disant des mots tendres. 

A chaque soirée ils vont un peu plus loin dans les gestes, un soir la main de Jeanne passe sous le vêtement pour s’emparer directement de la verge bandée. Elle touche la tige de chair durcie par ses caresses en glissant doucement sous les testicules pour aller entre les fesses s’attarder sur l’anus, puis ressaisir la verge qu’elle masturbe lentement, Jeanne demande alors :

- Tu es heureux mon petit homme ?

Bernard lui chuchote à l’oreille, comme si quelqu’un écoutait :

- Tu ne peux savoir combien je suis heureux, je t’aime très fort. 

Elle voudrait lui dire que ce n’est pas courant, que ce n’est pas normal avec sa mère, mais elle n’ose pas elle fixe sa main qui doucement cajole l’organe en érection.
Une douce chaleur part de son ventre et traverse tout son corps, elle prend Bernard par l’épaule, qui laisse sa tête aller contre la douceur maternelle et ferme les yeux. Entre les cuisses ouvertes, la main de Jeanne va plus vite le long de la hampe, elle ne prête pas attention à la tête de son fils qui glisse pour se poser sur son sein, elle fixe du regard les mouvements répétés et de plus en plus précis de la main, elle admire le gland qui se découvre. 
De sa main elle enserre plus fermement l’épaule de son fils dont la tête appuie fermement sur son sein. Déjà ses genoux battent l’air, ses muscles se tendent. Elle sent le souffle de son fils qui s’arrête, sa main glisse doucement vers l’arrière et reviens comme au ralenti, alors Bernard grogne un spasme qui le déchire, son sperme gicle et macule la cuisse de sa maman, un autre spasme propulse un autre jet dans le vide, puis un troisième vient sur son autre cuisse. 

C’est venu tout naturellement sans honte, Jeanne étend pensivement le sperme sur elle en s’octroyant une petite caresse. Ils ont la tête qui tourne un peu, elle a peur d’avoir fait une folie mais le sentiment de plaisir l’emporte. Ils vont rapidement se coucher ensuite Jeanne, dans sa chambre exécute sa masturbation quotidienne, elle a un orgasme d’une intensité qu’elle n’a pas connue depuis longtemps.
Bernard vient de connaître sa première éjaculation, une vraie jouissance d’amour, c’est autre chose des baisouillages que font à la sauvette ses camarades du bahut.

Les jours qui suivent augmentent les tentations partagées, ils vont de plus en plus loin machinalement. Jeanne ne résiste plus, sa bouche s’ouvre pour accueillir la tige. Bernard se cambre, s’offrant totalement à la bouche qui l’engloutit pour son plus grand plaisir. Elle va et vient avec beaucoup de savoir faire et de tendresse le long de la verge, elle la goutte, la déguste son autre main à la base s’amuse avec les testicules. Bernard ne peut s’empêcher de geindre et de donner de petits coups de reins. Jeanne se délecte de ce membre vivant dans sa bouche, avec son fils son plaisir atteint des sommets les plus vertigineux. Elle a envie de porter sa main entre ses cuisses mais n’ose pas, pas encore. Il se raidit, gros, tendu mais elle est prête et le jet lui frappe le palais. Elle déglutit amoureusement savourant les saveurs délicieuses de son tendre rejeton.


C’est depuis ce jour que leurs relations prirent un nouveau tournant dans le secret de leur intimité. Jeanne est devenue l’initiatrice de son fils, lui faisant découvrir les milles chemins du plaisir dans un épanouissement réciproque.


La tête posée sur l’épaule de sa maman, elle colle passionnément sa bouche sur celle de son fils, puis elle pousse affectueusement son visage vers son ventre en lui disant doucement :

- Embrasse ta maman ici avec ta langue, suce-la bien mon bébé.

Pour la première fois Bernard découvre la vraie femme.
L’accès à la longue fente ruisselante est ouvert, terriblement ému, le désir augmente à très grande vitesse. Les murmures incompréhensibles font comprendre à Bernard de continuer, il avance sa bouche vers l’entrée mystérieuse, le visage s’incruste entre les cuisses charnues. Plongé dans les chairs écarlates, Bernard enfonce sa langue dans la cavité léchant avec gourmandise les parois gorgées de suc. Immédiatement Jeanne se cambre sur le canapé en agitant son bassin. Les cuisses refermées autour du visage, Bernard broute maladroitement la chatte, Jeanne s’abandonne sans pudeur au cunnilingus. 

Jeanne lui a bien appris à frôler la crête finement ourlée de sa chatte, de se servir de ses doigts et de sa bouche avec adresse et délicatesse, ci bien que Bernard masturbe sa mère aussi bien qu’elle ne pourrait le faire elle même. Elle lui a bien enseigné à administrer une feuille de rose d’une infime douceur, attaquer de la langue le clitoris bandé au cœur de sa bouche baignant de salive. Elle lui a bien expliqué comment faire vibrer son corps sans interruption jusqu’à la délivrance de l’orgasme.


Albert a avec Sylvie une relation que tous les deux veulent garder dans le secret. Le départ de la mère de Sylvie a été très brutal, elle a beucoup de mal à se remettre dans la vie normale, comme les filles de son age. Albert consacre beaucoup de temps et de tendresse pour lui maintenir le moral. En reconnaissance, Sylvie accorde une grande importance à son père, surtout depuis qu’elle est réglée.

Aussi Albert n’est plus insensible à sa fille, son regard s’attarde sur ses cuisses, sa poitrine quand Sylvie lui dit bonne nuit en sortant de la salle de bain dans sa petite chemise de nuit.
Sylvie aime bien les compliments que lui fait son père quand elle traîne dans le salon, ou quand elle s’assoit dans le canapé à ses cotés. Bien souvent elle est triste et inconsolable invoquant la disparition de sa maman. Albert aussi peiné que sa fille la prend dans ses bras pour la réconforter en lui caressant les cheveux et lui donnant de petits baisers.
C’est ainsi que Sylvie s’apaise contre le torse chaud de son père. Ils se sentent bien tous les deux dans ces moments éprouvants, Sylvie adore passer sa main dans la douce toison de la poitrine de son papa, les petits bisous de plus en plus appuyés de son père la rassure énormément. Albert aime la dorloter, lui dire qu’elle est belle, qu’elle aura un jour un beau prince charmant. Il la traite de plus en plus comme une petite femme et plus les jours défilent et plus les caresses deviennent précises, comme si l’un et l’autre recherchaient ce qui leur manque en émotion. 

Les cuisses nues de Sylvie contre celle de son père activent les sensations charnelles de part et d’autre, une érection gonfle rapidement le slip d’Albert, Sylvie sent bien cette bosse dure et chaude contre sa cuisse, à chaque fois elle se retrouve malgré elle avec sa culotte mouillée. Les petits bisous deviennent plus assidus quand leurs lèvres se rejoignent dans un baiser timide et langoureux pour finir dans un soupir de reconnaissance.

Les choses avancent lentement mais sûrement, leurs vêtements deviennent de plus en plus légers jusqu’au jour où ils se retrouvent nus tous les deux. Les caresses évoluent vers des étreintes très chaudes pour aboutir aux milles chemins du plaisir. Curieusement, chez les filles, les choses viennent naturellement, 

- Tu es encore tout excité mon petit papa…

Elle laissa sa phrase en suspens et frotta effrontément sa jeune poitrine sur les épaules paternelles. Albert a du mal à avaler sa salive. Mais en fait, Sylvie ne semble pas perturbée à cette découverte. Elle parait même amusée par la situation. La jeune fille continue ses suppositions. 

- J'aimerais bien savoir ce qu’aurait fait maman si elle était là avec toi. 

Il le sait cette situation est un aphrodisiaque parfais, les caresses des seins de sa fille contre son corps n'arrangent rien. Sylvie insiste en se moquant un peu :

- Et depuis que maman est partie, je dois la remplacer dans ses tâches, toutes ses tâches... 

Elle chatouilla gentiment l'épaule de son père puis elle posa sa main sur sa cuisse, remontant doucement vers le haut de la cuisse. Les muscles de la cuisse d’Albert frémissent sous la tendre caresse.
La main de la jeune fille continue à monter sur sa cuisse et parvint sur l’érection frémissante. Doucement, Albert tente d’enlever la main tremblante de sa fille, mais malgré lui, il laisse poursuivre.

Les doigts remontèrent sur la cuisse et s'arrêtèrent à proximité du membre tendu pointant son gland humide.
Il s’abandonne dans le canapé, l'esprit vaincu, incapable de résister à l'appel de ses sens. Les mains de sa fille le palpent doucement. Elle coiffe la tête frémissante de la verge. Albert sursaute et tout son corps se met à frémir. De l’autre main elle lui presse doucement les couilles puis remonta sur toute la longueur de la tige paternelle en s'amusant à dessiner les contours vibrants de l'engin.
Sylvie prend toujours beaucoup de plaisir à promener ses mains sur le corps de son papa. Il se laisse faire, chacun des ses muscles se lâche, les mains fragiles glissent sur les chairs puis s’en emplit. Albert se contracte puis se tend au plaisir que lui donne sa fille. Enfin les lèvres prennent la relève, aspirent la chair tendre dans les poils serrés qui décorent le bas ventre. La respiration se fait plus rapide, un frisson parcourt Albert qui lance un cri rauque en vibrant de tous ses membres. Sylvie se jette sur son père, heureuse du bonheur qu’elle lui a donné.


*********** 


Un jour Jeanne a eu besoin d’un petit crédit pour acheter une automobile, c’est lors de cette démarche qu’elle a rencontré Albert qui pour le besoin du dossier connaît parfaitement la situation de sa cliente. Seuls tous les deux avec leur progéniture, ils ont appris à s’apprécier. Leur amitié se transforme en une sorte d’amour qui grandi chaque jour. Ils ne se font pas de confidences sur la façon dont ils élèvent leurs enfants, seulement quelques phrases très équivoques. Malgré cette petite pointe de fourberie, ils découvrent ce qu’il se passe chez l’autre. 
Ils se voient une ou deux heures chaque soir après le travail, systématiquement la conversation est dirigée vers les enfants.
Ils n’ont jamais fait l’amour ensemble, même pas des caresses poussées, c’est seulement leur vie de famille qui semble se calquée et qui permet d’entretenir cet amour rare et virtuel.

Sylvie et Bernard sont dans le même lycée, donc ils se connaissent sans plus, ils savent que leurs parents ont une relation, mais ils ignorent de qui il s’agit.

Le jour des présentations aux enfants est enfin venu. Nous sommes un après midi d’un dimanche très ensoleillé du mois de juin. Lorsque la sonnerie de la porte retentit chez Jeanne, elle dit simplement :

- Ah je crois que les voilà.
- C’est la surprise répond Bernard.
- Oui mon bébé, enfin j’espère que tout se passera bien.
- Ne t’en fait pas maman je suis là et je t’aime.

Jeanne a revêtue une jolie robe légère qui descend juste au dessus des genoux, très décolletée sur sa petite poitrine nue, mettant en évidence sa chute de reins.
Elle ouvre la porte, Albert est là avec Sylvie qu’il tient par le cou.

- Bonjour ma chérie, dit Albert en tendant son bouquet de roses.
- Entrez dit Jeanne en embrassant Albert et Sylvie, ne restez pas là.

Albert n'a pas non plus trouvé utile de s'habiller avec recherche, il a mis un short ample et une chemisette blanche largement ouverte. Sylvie est vêtue d’une jupette assez courte et un débardeur qui la moule admirablement en mettant bien en évidence ses tétons durcis. Elle a accentué son air de petite fille par deux couettes attachées par des rubans décorés de figurines. 
En arrivant dans le salon ou Bernard attend les nouvelles connaissances. 

- Voilà, je vous présente Bernard mon grand bébé.
- Ho salut Sylvie ! Puis s’adressant à Albert : Euh… Bonjour monsieur. 

Bernard en bermuda fait une bise à Sylvie comme à une camarade et sert la main de son père.

- Pas de chichi entre nous, appelle moi Albert.
- Alors bonjour Albert, puis il s’adresse à Sylvie : Drôle de surprise pas vrai ?
- Je trouve ça génial. Répond Sylvie.

Albert prend place dans le canapé, Sylvie à ses cotés. On aurait pu croire à les voir, à un papa affectueux qui raconte des histoires à sa fille.
Les compliments pleuvent, les liens se resserrent. Les parents ne tarissent pas de louanges pour leur progéniture, chacun veut démontrer à l’autre que toutes leurs déclarations au cours des mois sont vraies. Pendant ce temps, les enfants s’extasient sur l’abondance des compliments ainsi que les confidences plus ou moins intimes à leurs égards. Plus les parents débitent leurs commentaires et plus Sylvie et Bernard apprennent à se connaître, c’est comme si ils étaient frère et sœur, l’abondance des mots de leurs parents les met en confiance et leur font découvrir beaucoup de petits secrets communs.

Albert est assit à coté de sa fille dans le canapé, il lui fait des petits baisers dans le cou. Jeanne est en face dans le fauteuil, la robe largement relevée sur ses cuisses. Bernard est assis sur l’accoudoir le bras reposant sur l’épaule de sa maman. 

Les heures s’écoulent sans s’en rendre compte, il fait chaud, l’atmosphère devient très détendue et brûlante.
Albert complètement détendu, a posé négligemment son pied nu sur la table basse qui les sépare. 
Jeanne se sent également apaisée a placé un pied sur le bord de son fauteuil comme si elle était seule avec son fils, le talon en butée sur sa fesse. C’est ainsi que les deux invités peuvent contempler l’infime intimité de l’autre. La réaction est immédiate, Sylvie imite Jeanne en repliant sa jambe sur le canapé, le pied droit sous la cuisse gauche, sa petite culotte est tendue sur son abricot, elle pose sa main sur la cuisse de son père, heureuse de montrer que c’est son tendre et cher.
Bernard est ravi de voir ainsi sa camarade si câline avec son père, elle qui paraissait si pudique au lycée, il respire l’odeur de sa maman qu’il aime tant. Sa main descend lentement dans l’échancrure de la robe, la chaleur, l’odeur de sa maman et la vision de Sylvie avec son papa. Il bande comme un vrai homme.

Jeanne complimente :

- Comme ça fait plaisir de voir un père et sa fille s’entendre aussi bien ! 
- Ben vous savez Jeanne, c’est normal, papa est tellement gentil.
- Oh ça je sais bien que ton papa est gentil ma puce, mais s’il te plait, cesses de me dire vous !
- Vous êtes très beaux comme ça tous les deux dit Albert.
- Vous aussi vous êtes très beaux… Comme c’est bien de vous voir aussi unis que nous et aussi près de nous.

Sylvie pour toute réponse se serra un peu plus contre son papa comme pour approuver les dires de Jeanne. Elle fait passer sa petite main par la jambière du short de son père. La queue d’Albert semble énorme, elle tend le tissu mais cela n’empêche pas le cheminement de la mutine.

Déjà les uns et les autres laissent échapper des soupirs de satisfaction, se souriant, les yeux brillants du plaisir qu’ils ressentent à être ensemble dans ce cocon douillet. Tous les quatre ont enfin la possibilité de dévoiler leurs petits secrets à ces nouveaux et discrets amis très particuliers.

Bernard tourne son visage vers sa mère et vient gentiment lui mordiller les lèvres. Puis leurs bouches s’unissent dans un baiser des plus langoureux, pendant que sa main caresse tendrement le sein de sa maman sous la robe. Nullement surpris, Albert et Sylvie observent cette scène si tendre, qu’ils viennent à s’étreindre fortement comme par contamination. Albert, à son tour picore le visage de sa fille, ses doigts s’infiltrent à l’intérieur des cuisses moites de Sylvie, il joue avec la légère toison brune. Sylvie entrouvre les cuisses pour appeler d’autres caresses plus osées et surtout pour montrer à ses complices à quel point elle est liée avec son papa.

Jeanne majestueuse,  souffle à son fils :

- Caresse Maman… Là… Doucement comme je t’ai appris mon chéri…

Bernard descend sa main lentement à l’intérieur des cuisses de sa mère en fixant Sylvie, il adore sentir sous sa paume la chair veloutée qui frémi juste avant le contact avec les poils pubiens. Sous la caresse aguichante, Jeanne se laisse aller dans le fauteuil en s’ouvrant d’avantage.

En face d’eux, Sylvie et son papa les considèrent, à la recherche d’un signe, d’une expression. Ils ne parlent pas, tous les deux excités par ce spectacle. Dans un geste sensuel, Sylvie ouvre la braguette du short pour soulager la verge qui se tend. Elle entame une masturbation en fixant les deux autres amoureux.
Albert suit la main de Bernard qui caresse la chatte de sa mère, la robe remontée jusque sur la poitrine. Les doigts minces du jeune garçon se faufilent sous la culotte entre les poils drus pour enfin disparaître entre les lèvres humides et charnues de sa maman.

Sylvie caresse son papa de plus belle, pendant qu’il flatte la jeune poitrine en jouant avec les tétons sous le débardeur. Sylvie est très émue ci bien qu’une tache d’humidité sur sa petite culotte dénonce son trouble. Jeanne a sorti les bretelles de sa robe pour permettre à Bernard de s’occuper de ses seins. Habitué aux désirs maternels, c’est avec la bouche et la langue que son fils s’exécute. Jeanne lui empoigne les cheveux et pousse sur sa tête pour le diriger au grès de ses envies.
Il y a dans ces deux couples une sorte de rivalité comme si ils voulaient absolument prouver que leurs révélations secrètes faites au cours des mois précédents, sont bien réelles.
Ce tableau vivant ne pourrait exister si les parents n’avaient pas parlé pendant plusieurs heures de leurs gamins. Durant ces instants, Sylvie et Bernard se connaissent mieux que s’ils avaient passé ensemble toute leur jeunesse. Leurs passions dévoilées par les parents ont agi considérablement sur leur libido. Nos quatre protagonistes n’ont plus aucune timidité, plus de pudeur, grâce à ce dialogue, tous les quatre ont appris à dévoiler leur entière intimité.

- Oh ! Mon chéri… Montre à Albert et à Sylvie comme tu aimes ta maman… Va plus bas mon bébé… Embrasse ta Maman en bas…

Bernard se glisse sur le tapis entre les jambes de sa maman et se laisse guider là ou elle attend son bonheur. Bernard pousse un gémissement d’aise en sentant les effluves acres de sa mère qui lui montent aux narines. Déjà sa bouche se perd dans l’abondante toison brune et luisante de moiteur.

Albert et Sylvie paraissent subjugués par cette scène si forte. Blottie dans les bras de son papa elle le caresse avec beaucoup de grâce malgré l’émotion qui semble la gagner et lui assécher la gorge. Son père se laisse aller au plaisir en passant sa main tendrement dans les cheveux de sa fille. Albert se rend compte soudain que Jeanne est une belle femme attirante, que son corps est appétissant, ses seins menus sont gracieux, son cul de femme épanouie et sa toison bien fournie.
L’hommage que lui rend son jeune fils affectueux est très excitant. Il est de plus en plus raide par les câlineries de sa fille. Cette vision l’excite comme jamais, Sylvie sent bien la chaleur montée dans le corps de son père, elle le couvre de baisers, elle ouvre la chemisette pour frotter son visage dans la douce toison qui garni le torse. 

- Papa c’est bien qu’on soit là avec Bernard et Jeanne !
- Oui ma chérie. Oui, on est bien là… Toi et moi… 

Sylvie sait comment fonctionne son père, elle s'est mise en devoir de montrer qu'elle a bien apprise les leçons prodiguées par son papa. Elle masse les couilles, la verge, puis la bouche de l’amoureuse arrive très vite sur le gland baveux.

Tous les quatre sont pris dans une tourmente où les deux adultes prennent un plaisir gigantesque fourni par leur enfant ainsi que la scène produite en face d’eux. Les gémissements propagent une atmosphère de douce perversion qui fait battre les cœurs à cent à l’heure. Jeanne et Albert se regardent intensément, il est prêt de cracher sa semence dans la bouche si délicieuse de sa fille et par cette maman qu’il trouve si belle, qui se trémousse sous la bouche de son garçon.
Albert se retient du mieux qu’il peut, il dégage sa petite Sylvie, la prend dans ses bras pour l’embrasser fougueusement et finissant de se débarrasser de son short ainsi que les trois vêtements de Sylvie. Ils sont maintenant nus tous les deux, enlacés, s’embrassant à pleine bouche.
Jeanne frétille dans son fauteuil sous les coups de langue de Bernard, ses complices la stimulent au maximum, elle ne sait si elle doit continuer à se laisser aller au bonheur complet. Pour couper court elle se manifeste :

- Albert, comme c’est trop beau de vous voir tous les deux à vous aimer. Comme vous vous aimez et comme vous m’exaltez.

- Vous aussi vous êtes magnifiques comme ça …. Jeanne, tu es si belle…. Viens… Viens avec Bernard….Vient près de nous !

Elle ne souhaite que ça, elle pousse gentiment son fils en lui disant :

- Mon chéri, vient, on va dans le canapé, on sera mieux. 

La mère et le fils rejoignent Albert et Sylvie, en chemin la robe de Jeanne tombe à terre la laissant avec sa petite culotte, elle s’assoit à coté d’Albert, ils se précipitent dans les bras l’un de l’autre, leurs bouches se soudent pour la première fois dans un long baiser sous les yeux de leurs enfants enchantés. Albert en profite pour sortir l’ultime sous vêtement de Jeanne aidée par Sylvie qui l’envoie sur le fauteuil. Aussitôt Sylvie s’installe à genoux sur le tapis entre les jambes de son papa pour reprendre sa caresse sur le membre. Bernard comme un robot se place de la même façon à coté de Sylvie et replonge entre les cuisses de sa maman. Les deux ados sont branchés sur leurs parents toujours bouche à bouche. 


Après quelques instants, Bernard se dégage, pose son visage sur la cuisse de sa mère pour voir et maintenir la température, il regarde sa copine sucer ce sexe qui lui parait énorme. La salive coule le long de la hampe, la rendant luisante. Bernard est fasciné par le spectacle qu’il contemple, il caresse le dos de la suceuse avec grâce.

- C’est génial comme tu fais Sylvie ! Combien tu es belle comme ça ! Dit Bernard d’une voix rauque et haletante. 

Sylvie interrompt sa fellation et répond :

- Si tu savais comme c’est bon Bernard ! 
- Tu es très belle Sylvie. Réitère Bernard.

Il approche légèrement son visage de celui de Sylvie pour lui donner un baiser sur la joue. Mais Sylvie détourne son visage pour lui présenter ses lèvres, le baiser est inattendu et surprenant, bien que ces jeunes soupirants soient habitués à embrasser leur parent, pour eux c’est nouveau et plus frais. Le baiser est assez court sous le regard des parents admiratifs. Sylvie et Bernard se regardent comme si ils découvrent un trésor et pour reprendre le sujet en cours elle dit subtilement à Bernard :

- Embrasses la toi aussi Bernard... Goûte- la ! Tu verras comme c’est bon.

Très étonné par cette proposition et il faut quelques fractions de secondes à Bernard pour prendre une décision, il est très excité par ce baiser et la folle ambiance, il ne veut décevoir personnes, surtout par sa nouvelle petite vénérée,  il se penche sur la virilité que lui présente Sylvie, un peu hésitant, il lape le gland brillant, il aime tout de suite. Il le suce comme il a vu faire Sylvie, il le sort pour l’examiner et le reprendre dans sa bouche. Sylvie lui caresse sa nuque, le dos et le bas des reins, heureuse de voir son copain s’occuper de cette façon de son papa.

Albert et Jeanne sont aux anges, ils ne réagissent pas d’emblée pendant leur baiser, Jeanne a bien senti l’absence de son fiston entre ses cuisses, elle l’a remplacé par ses doigts pour une douce masturbation, elle est sur le point de prendre son pied.
C’est Albert qui réagit le premier car il sent la pression des têtes des deux gamins sur ses cuisses. Sylvie lèche les couilles de son père pendant que Bernard avale le gland. Les deux adultes cessent leur patin, Jeanne voyant le jeu des deux jouvenceaux, se caresse de plus belle en gémissant.
Albert s’agite affolé par le plaisir que lui donnent les deux ados. L’excitation est si forte que cette fois il ne peut se retenir. Sa queue sort de la bouche du gamin et de longs jets blanchâtres sortent par saccades venant asperger les visages des deux lycéens.

La verge encore agitée de petits soubresauts quand les deux suceurs passent leur langue mutuellement sur leur visage pour enlever le sperme. Puis ils s’embrassent à leur tour à pleine bouche. Les deux parents à peine remis de leurs émotions regardent ce joli tableau formé par leurs descendances, en leur susurrant des mots doux et les caressant le plus passionnément.



********* 





Jeanne et Albert se perçoivent différemment. Leur vie a complètement changé depuis ce dernier dimanche, ils ont envie l’un de l’autre, alors qu’avant il n’y en avait que pour leurs enfants. Ils ont trouvés un moyen pour se rencontrer très rapidement sans les enfants. Ils se sont donné rendez-vous dans un restaurant de bonne table le mardi à midi. La conversation traîne un peu sur le sujet mais la bonne humeur est présente. Le repas se déroule à merveille. La cuisine est excellente et les deux amants passent un merveilleux moment. Le temps presse pour Jeanne et Albert qui se sentent attirer de plus en plus. Les jambes se touchent, se frôlent. Albert propose de prendre le café à son domicile, Jeanne n’a pas le temps de répondre que déjà les lèvres d’Albert se posent délicatement sur les siennes. Ils vont à l’automobile et échangent encore un long baiser. Jeanne s’abandonne totalement entre les bras d’Albert qui la serrent avec amour. 

Juste arrivés à la maison d’Albert, ils s’étreignent, les mains courent de part et d’autre sur les corps, Albert masse les fesses avec tendresse puis les seins qu’il flatte tendrement. A son tour, Jeanne caresse le torse d’Albert et descend lentement vers son bas-ventre. Lorsque leurs lèvres se séparent, ils restent enlacés quelques instants. Jeanne s’éloigne un peu d’Albert pour lui dire assez directement :
- On se déshabille ? dit-elle. Qui commence ?
- Heu…… Albert avale sa salive...… Et si on se déshabillait mutuellement ?
Jeanne réfléchit un instant, puis sourit d’un air entendu :
- D’accord ! Mais je sens que je vais libérer un serpent bien malheureux dans sa prison de tissus…
- Je n’y peux rien… C’est grave ?
Ils enlèvent les vêtements un à un, tour à tour, dévoilant les corps petit à petit. Ils ne sont pas sur des terres inconnues. Leurs regards ne se quittent pas. Jeanne respire profondément, sa poitrine s’élève au rythme rapide de son souffle, parcouru par moment de tressaillements incontrôlés. Albert recule tel un sculpteur découvrant son oeuvre, il la contemple en étouffant sa joie. Jeanne prend alors ses petits seins à pleines mains puis les malaxe d’un seul geste, pour les libérer de la pression qui s’était trop longuement exercée sur eux. 

Jeanne demande brusquement :
- Et maintenant ?
- Maintenant ?....……On va bien s’aimer !  Répond Albert.

Il l’accompagne dans la chambre juste à coté et la fait tomber gentiment sur le lit. Jeanne frissonne de plus belle, elle arque les reins, lorsqu’elle sent la pointe de la langue envelopper son mamelon, elle lâche un soupir. Pendant de longues minutes, des mains, des doigts, des lèvres, de la langue et même des dents, Albert rend un hommage vibrant à cette poitrine longtemps désirée. Le corps de Jeanne ploie sous le plaisir trop neuf et trop fort. Ses lèvres gonflées entrouvertes sur un souffle profond, yeux mi-clos dont la lumière assombrie par la fermeture des stores, filtre entre les paupières bistrées, poitrine impudiquement tendue vers le ciel et soulevée par les soupirs de plaisir. Sa taille se creuse par un imperceptible ballet des hanches, jambes nonchalamment repliées et légèrement écartées sur une toison brune, épaisse et palpitante. Jeanne est un irrésistible appel aux sens, le plus puissant des aphrodisiaques. C’est d’une voix grave et basse qu’Albert murmure :
- Mon Dieu, ce que tu es belle.
Jamais il n’a désiré une femme comme il désire Jeanne en cet instant. Tout son corps se tend vers elle, il a soif de sa peau, de ses odeurs, soif de la toucher, de la caresser, de s’enfoncer en elle. Et, en même temps, malgré l’urgence de son désir, il souhaite étirer ce moment jusqu’à l’éternité. Réfrénant son désir de la posséder là tout de suite, désir qui devient douloureux à force de se brider. Ces deux êtres ont l’habitude de prendre du plaisir avec leurs enfants, maintenant il faut passer une étape supérieure.
Albert pose d’abord sa bouche sur celles de Jeanne, il la respire longuement, caresse les lèvres renflées de la pointe de la langue. Instinctivement, Jeanne s’arque, vient à sa rencontre, ouvre ses lèvres et mêle sa langue à celle de son amoureux. Tous les feux se rallument, sa peau réclame de nouvelles caresses, son corps se tend, elle ressent un vide intense au creux du ventre, un vide qu’elle souhaite ardemment remplir. Albert embrasse, caresse, lèche, masse copieusement et consciencieusement chaque parcelle du corps qui ondule de plus en plus. Jeanne a fermé les yeux, concentrée sur des sensations inouïes qui se propagent en elle, depuis nombreuses années qu’elle n’a pas eu un vrai homme expérimenté. Enfin, après l’avoir fait languir de longues minutes, Albert ne lâche pas des yeux le visage de Jeanne, il pose sa main à plat sur le mont de Vénus qu’il masse doucement puis avec plus de force, un doigt s’enfonce et atteint les chairs douces. Electrisée, Jeanne gémit et soupire. Albert plonge le visage entre les cuisses, respirant le parfum suave, cette bouche qui concentre les plus grands plaisirs du monde.
- N’arrête pas, s’il te plait, murmure Jeanne le souffle court, sans réfléchir.
Jeanne gémit doucement d’abord, puis plus bruyamment. Une sensation indescriptible irradie son sexe enflammé, une douceur si violente, une boule de plaisir qui roule, roule, roule et finit par exploser comme un feu d’artifices qui l’incendierait d’étoiles. Jeanne crie. Albert ne cesse pas ses caresses, au contraire. Jeanne crie encore, cri de jouissance, Albert continue à lécher doucement le sexe ouvert.
Jeanne ouvre les yeux et lui sourit avec douceur. Elle le regarde longuement, des pieds jusqu’à la tête
- Je veux te voir. Dit-elle avec une dernière trace de timidité dans la voix.
Fascinée, elle ne peut détacher son regard de l’excroissance qui palpite. Doucement, presque timidement, Jeanne approche la main et l’effleure du bout des doigts. Au comble de l’excitation, Albert retient sa respiration pour que cette simple caresse presque innocente ne le fasse jouir immédiatement. Sans réaliser les tourments qu’elle déclenche, Jeanne continue son exploration manuelle, la raideur de la verge qu’elle mesure en la pressant, mettant Albert au supplice. La paume frôle les bourses, les palpe, s’amusant de voir la verge tressaillir et vibrer de plus belle sous l’assaut. Enfin, Jeanne dépose un baiser léger sur le gland. Albert se mord les lèvres mais ne peut empêcher une goutte de perler. Jeanne suce et tête doucement le gland gorgé de sève. Elle sent le sexe se durcir par à-coups sous sa langue, gonfler et trembler. À quelques secondes de ne plus pouvoir se retenir, Albert quitte l’écrin des lèvres.
Jeanne s’allonge sur le lit et lui tend les bras. Albert la rejoint. Les deux corps s’épousent, hanches contre hanches, ventre contre ventre, poitrine contre poitrine, peau frémissante contre peau frémissante, sexe tendu contre sexe ouvert. Les mains de Jeanne se promènent sur la nuque d’Albert, sur son dos sculpté, sur ses fesses musclées qu’elles attirent contre elle. Enfin, Albert se cale sur ses bras et introduit la bête au bord de l’explosion dans la brèche brûlante et étroite.  Envahie par un sentiment de plaisir nouveau, elle referme ses jambes sur lui comme pour l’enfoncer au plus profond d’elle-même. Albert va-et-vient doucement mais profondément en elle, retenant son plaisir dans l’espoir d’emmener Jeanne avec lui dans l’orgasme. Les battements de son cœur s’accélèrent inlassablement. Cette colonne vivante et trépidante, plantée au plus intime d’elle-même, qui l’emplit, qui fait vibrer ses chairs, qui palpite, tressaute et fait jaillir une nouvelle chaleur dans son ventre. Albert ne peut se retenir plus longtemps, il étouffe un cri dans la chevelure gorgée d’arômes de pluie et de sexe. Jeanne halète, plongée dans l’ouate de l’orgasme, les tensions ont portées l’excitation à bout, l’extase puissant les emmène au plus profond pour se déverser en jets impétueux. 
Epuisés tous les deux, Albert s’effondre sur Jeanne, le nez dans le cou de sa tendre. Doucement, elle lui caresse les cheveux et la nuque. Elle sourit dans le vide, sourit à Albert qui ne la voit pas, sourit au plafond impassible, sourit à la vie qui s’ouvre à elle, sourit à la nouvelle Jeanne amoureuse.

******** 


Le dimanche suivant les deux familles sont à nouveau réunies chez Albert et Sylvie cette fois. Jeanne et Bernard sont venus à midi pour le déjeuner. La conversation va bon train sur les relations précédentes et celles à venir. Tous les jours de la semaine au lycée et à la maison, Sylvie et Bernard n’ont pensés qu’à ce dimanche, ils sont dans un enchantement sans limite, ils sentent monter en eux une véritable passion qu’ils étaient loin de soupçonner il y a seulement huit jours. Ils savent que leurs parents ont fait l’amour dans la semaine et qu’ils sont tombés follement amoureux. Ils sont bien conscients que si leurs parents s’aiment c’est quand même un peu grâce à eux.
Tout le monde a particulièrement soigné son look, sans être vulgaire, chacun a mis un petit accent de sexy. Jeanne et Albert font la conversation comme à l’habitude, les enfants les écoutent avec attention en mangeant. A la fin du repas, Albert fait passer ses deux invités au salon pendant que Sylvie va préparer le café. Jeanne complimente Albert du repas elle dit :
- Chéri, tu es un trésor ! Tu cuisines comme un chef ! Tu fais tout comme ça ?
Il est vrai qu’Albert et Sylvie avaient préparés ce repas avec beaucoup d’engouements.
Jeanne sans attendre de réponse pose sa main sur le bras de son fils : 
- Ca te dérange si j’embrasse Albert ? 
Sans même attendre de réponse, elle embrasse son amant qui à son tour, l’attrape par le cou pour lui rendre le baiser qui se prolonge une minute. 
Sylvie revient avec les cafés qu’elle pose sur la table basse et s’assoie sur le tapis devant le fauteuil de Bernard, tous deux matent leurs parents enlacés, ils sont fiers d’eux, si bien que Bernard rejoint Sylvie sur le sol et ils se mettent à imiter leurs parents en s’embrassant à pleine bouche. Il faut dire qu’ils attendaient impatiemment cet instant depuis une semaine. L’après midi est doux, la température très agréable, la baie vitrée est grande ouverte et les stores mi baissés sur un petit jardin bien entrenu. 
Albert allonge Jeanne sur le canapé, elle met ses mains sous sa nuque, son chemisier remonte, un peu gênée par le vêtement, elle le déboutonne pour découvrir sa petite poitrine libre. Albert s’agenouille devant le canapé, pose sa tête sur l’avant bras pour venir glisser sur un sein. La bouche trouve le bourgeon que la langue taquine. Un ronronnement de l’intéressée répond à cette caresse. La main de Jeanne vient sur les épaules d’Albert pour le soutenir. Albert suçote les tétons en caressant le ventre de son amoureuse.
Fascinés, les ados contemplent ce manège, l’atmosphère particulière leur fait perdre tous repères familiers. Ils sont comme sur un nuage de voir cette scène. Bernard se redresse, pose une main sur la hanche de Sylvie, juste au-dessus de la ceinture du jean, l’autre remonte sous le débardeur et saisit un sein. Elle se laisse aller sans quitter des yeux les gestes de son père. Un souffle vient caresser sa nuque, lui murmurer des mots doux qu’elle entend mais n’écoute pas :
- Regarde comme ils sont beaux, comme ils sont heureux. On ne peut pas être jaloux devant un tel bonheur. 
La tête de Sylvie bascule en arrière pour mieux écouter les belles paroles de Bernard, puis elle fait passer son débardeur par-dessus sa tête. Bernard la saisit aux épaules et l’invite à s’allonger. Le tapis moelleux l’accueille, une bouche s’empare de ses seins. Elle ferme les yeux, dans ses pensées elle ne sait plus qui la caresse, son père ou son copain, elle est bien. Après quelques minutes Bernard déboutonne le jean, Sylvie se met debout instantanément, sort pantalon et culotte, totalement nue, elle reprend sa position sur le tapis. Bernard ne se dégonfle pas, il se libère de ses vêtements. Sans embarras ni honte, comme si ils se connaissent depuis des années, Bernard reprend ses caresses. Il n’est pas habitué à prendre l’initiative, mais c’est grâce à sa mère qu’il connaît bien le corps féminin, celui-ci est différent, c’est relativement nouveau pour lui. Il caresse doucement du bout des doigts l’entre jambe, c’est bien moins touffu que sa maman, ça lui parait tout neuf. Son majeur se replie, suit la fente qui commence à suinter. Le bouton lui semble petit par rapport à celui de sa maman. La main de Sylvie s’est glissée sur le bas ventre de Bernard et rencontre le gland au niveau du nombril. Le garçon s’allonge à coté de sa compagne. Il reprend les seins en bouche, il rapproche légèrement son bassin pour que Sylvie puisse saisir la verge afin de le masturber. Elle trouve une verge légèrement plus petite que celle de son père mais plus dure. 
La tête de Jeanne a basculé sur le coté. Elle ouvre les yeux et voit les enfants unis. Cette image ne la choque ni ne la fâche, elle fait tourner le visage d’Albert pour qu’il regarde, il sourit comblé du bien-être et du bonheur de sa fille. Aucun  soupçon d’hostilité dans le regard des parents sur leurs enfants, au contraire, ce sont deux personnes pleines de sagesse et de béatitude qui admirent ce qu’ils ont de plus cher au monde. Dans leur nirvana, ils entendent cette expression de bonheur, ils se regardent, croisent leur regard et s’étreignent fortement. 
Jeanne soulève son bassin pour faire appel. La bouche d’Albert vient se poser sur son triangle. Elle replie les genoux, écarte les jambes pour lui faciliter le travail. Il lèche doucement la saignée, trouve le petit bouton qu’il taquine avec sa langue. Jeanne saisit la tête entre ses mains, la guide et s’en sert comme d’un coussin avec lequel elle se frotterait. Albert soulève les cuisses afin de mieux atteindre le périnée. Sa langue va de la rosette au clitoris, ce contact lui procure comme un choc électrique. La langue s’insinue dans le vagin, Jeanne s’ouvre complètement elle voudrait toute se livrer à la langue. Transmission de pensée ou expérience, Albert comprend ce désir et affûte sa langue en poinçon pour qu’il ouvre ce nouveau chemin. C’est l’apothéose et un long cri modulé, ininterrompu, sort de la bouche de la maman. Jeanne a serré ses cuisses sur la tête d’Albert durant toute sa jouissance. Puis elle se relâche, écartée sur le canapé. Enfin elle attire Albert qui bascule sur elle, les yeux clos, les cuisses grandes ouvertes, 
Jeanne enserre de ses jambes son amoureux, sa main va à la recherche de la bite serrée entre les deux corps et la guide dans sa chatte. Les mains de Jeanne posées sur les fesses d’Albert l’attirent sur elle, sans avoir donné le moindre coup de rein, la verge fichée en elle la fouille comme un intrus. Les souffles s’emmêlent sous le même sentiment qui les traverse. Jeanne referme encore plus ses jambes sur les reins d’Albert qui commence à mouvoir son corps de haut en bas Les corps s'harmonisent dans des mouvements gracieux qui s’impriment l'un à l'autre, ils cherchent et trouvent sans le vouloir un synchronisme naturel, comme une danse initiatique et instinctive. Cela produit un petit bruit de friction humide un peu obscène. Musique sublime du coït, du souffle, des bouches auxquels se mêlent peu à peu les halètements de plaisirs. Le rythme monte encore, les reins se mettent à battre une sarabande de plus en plus folle, le cri venant de Jeanne devient une plainte continue et modulée. Les bras d’Albert sont en appui pour que chaque coup porté soit un coup qui la pénètre profondément.
La machine semble s'emballer, rien ne pourrait la retenir, la sève monte, Albert enfouit sa tête au creux de l’épaule qu’il mord à faire mal. Le cri de Jeanne est devenu une longue plainte rauque avec de curieux accents dans les aigus avant de finir en plainte de bête blessée, presque un sanglot. Le couple reprend son souffle dans une ivresse bien réelle accentuée par le regard des deux jeunes observateurs.
En effet Sylvie et Bernard fascinés par ce spectacle,  ne peuvent détacher leurs yeux de la scène offerte par leurs parents. Après ce terrible tableau, ils se demandent s’ils doivent aller plus loin, se regardant un peu surpris de l’ampleur de l’exhibition. Ils restent enlacés un long moment.
 Revenant à la réalité et pour bouger un peu, Bernard passe une jambe entre celles de Sylvie, sa cuisse vient frôler la petite chatte. Elle écarte largement les jambes pour faciliter ce contact si doux. Bernard masse doucement avec sa cuisse et ce frôlement est absolument délicieux. Le sexe de Bernard est trempé de jus intime. Les deux jeunes amoureux ferment les yeux et savourent cet instant unique. Ils frottent leurs bassins, entament des mouvements désordonnés. Les lèvres ne se quittent plus. Ils se serrent de plus en plus fort. 
Jeanne et Albert ressentent qu’une intense et tendre complicité s’est instaurée entre tous les quatre, ils sont assez satisfait d’avoir montré à leur merveilleux héritier, comment c’est l’amour, qu’il n’y a pas que des sucettes et des branlettes. Ils se lèvent et comme par transmission de pensée, ils avancent doucement vers leur trésor. Jeanne dit :
- Ho mes chéris, combien vous êtes mignons comme ça tous les deux, vous ne pouvez savoir quel plaisir on a, n’es-pas Albert ?
- Oui c’est merveilleux, quand je vois ma petite Sylvie heureuse…… Avec Bernard, on n’aurait pas pu rêver mieux. C’est formidable Jeanne.
L’amour charnel des parents pour leurs enfants est plus que jamais présent, ils viennent de prendre leur plaisir sous les yeux de leurs gamins, maintenant à leur tour d’admirer le joyeux duo formé par leur précieuse famille.
Encouragés par les anciens, les jeunes puceaux font monter la température des corps aussi bien de leurs parents que chez eux en multipliant les caresses manuelles. Albert et Jeanne poussent la table basse pour faire de la place et se glissent de chaque coté du jeune couple et comme tous bons parents qui se respectent ils ont envie de montrer comment ça marche… Mais surtout pour mieux profiter de la scène. 
Enfin les deux jeunes amoureux se détachent, ils font chacun un demi tour pour se retrouver avec leurs parents respectifs comme pendant les soirées à la maison. Les deux nouveaux couples s’enlacent pour se prouver qu’ils sont toujours présents. Les caresses échangées entre parents et enfants vont beaucoup plus loin, ce qui est logique. Jeanne constate que Bernard bande plus fort que d’habitude. 
Bernard chuchote à sa maman en montrant sa tige toute droite et dégoulinante :
- Je suis bien avec Sylvie maman, elle me donne beaucoup de bonheur, vois comme je suis dur. 
- Laisse-moi te nettoyer mon bébé.

Sans attendre la réponse, elle pose sa bouche sur la cuisse de son gamin et se met en devoir de sucer ce gland bien brillant. L'idée vient à Bernard d’en faire autant, il s’incline donc vers le bas ventre de sa mère et fouille de sa bouche dans les poils frisés pour trouver les lèvres et lécher tous les restes de la précédente pénétration. Le bout de sa langue passe le long de la vulve en douceur comme une récompense et comme sa maman lui a bien appris. Ils se retrouvent tête bêche tous les deux ce qui n’arrange pas les choses du coté de Bernard.
Tandis que Sylvie est assise entre les jambes de son père, qui d’une main palpe un sein et l’autre main s’agite sur la jeune fente. Tous les deux regardent avec envie Jeanne et Bernard. Lorsque Jeanne jette un œil vers Sylvie, elle à un petit choc, elle se dit qu’elle doit lui donner son Bernard, que ce n’est pas très correct de sa part de monopoliser ce tendre amour, il lui faut réparer cette petite faute. Elle pousse son fils sur le coté, l’étend sur le dos, la tige bien droite vers le plafond, il se demande pourquoi on l’abandonne si prêt de la jouissance.
Jeanne prend le visage de Sylvie entre ses mains et pose ses lèvres sur la bouche entr’ouverte, le regard dans les yeux d’Albert qui n’est qu’à quelques centimètres. Lentement mais sûrement le baiser prend forme, les bouches se soudent, les langues se lient pour redonner confiance à Sylvie. Jeanne lui caresse en même temps les épaules, la poitrine où elle rencontre une main d’Albert, puis elle s’insinue entre les cuisses. Sylvie s’offre totalement sans pudeur, elle comprend qu’elle a retrouvé une mère, elle saisit cette chance qu’est cette femme qui lui donne en même temps un amoureux et le bonheur de son père. 
- Sylvie tu es vierge, n’es pas peur, aies confiance en moi, tout va bien se passer. 
Lui dit Jeanne pour que tout le monde entende.
- Mais je veux, je veux Bernard, oui, s’il te plait Jeanne.
En disant ses mots, Sylvie se laisse emmener par Jeanne sur le tapis, couchée sur le dos, offerte, Jeanne lui caresse  l’abricot en regardant Albert, ils ne savent plus si ils sont de trop ou si ils doivent soutenir le programme suivant. Evidemment l’amour qu’ils ont en commun pour leurs enfants est plus fort, Jeanne fait signe à son fils, l’amène sur Sylvie, pendant qu’Albert s’est mis à genoux devant le visage de sa fille, il lui prend la tête, la pose sur ses cuisses en guise d’oreiller. Il caresse les cheveux et la poitrine de sa fille ne lui voulant que du bonheur. Bernard se laisse conduire par sa mère, voyant là, un plaisir supplémentaire à cette délicieuse séance. Il est sur les genoux entre les jambes de sa chérie, maintenu par derrière par sa maman, il sait ce qu’il va se passer, il bande comme jamais il n’a bandé. Sa maman prend la tige palpitante, se baisse pour la sucer encore un peu par gourmandise, il faut dire qu’elle est fière de cette bite, elle est belle, bien droite, bien raide. Aucun mot ne sort des bouches, les trois acteurs attendent que Jeanne décide. Elle frotte le gland suintant sur la fente ouverte, Sylvie et Bernard n’en peuvent plus d’attendre, Bernard pousse son membre gonflé dans l’étui brûlant qui s’ouvre progressivement.
- Ho oui Bernard, oui mon Bernard. 
Le cri sourd est venu de Sylvie qui ouvre encore plus les jambes pour aspirer le membre en remontant son fessier. Fou de joie par ce spectacle peu commun, Albert et Jeanne caressent les deux corps assemblés et secoués pas les petits coups de rein successifs de Bernard. C’est Jeanne qui la première pose ses lèvres sur le corps en sueur de son fils, elle glisse sa langue entre les fesses bien exposées, elle ne peut résister aux odeurs excitantes qui s’échappent du couple. Elle ronronne en léchant toute la raie du cul, les couilles, même la petite chatte y passe sous la langue fouineuse. Sans le vouloir, Jeanne prend goût, elle s’attarde sur la tige de son fiston qui rentre et sort entre les lèvres roses un peu malmenées du jeune chaton. Ils ont criés tous les deux en même temps, Sylvie a été surexcitée par la bouche de Jeanne, quand à Bernard il ne pouvait plus attendre, il a jouit dans son amoureuse sous les yeux des parents puis s’est écroulé, abattu sur Sylvie. 

Les deux jeunes amoureux gémissent toujours de bonheur en se séparant pour reprendre leur souffle, Bernard est étendu à coté de Sylvie, Albert est toujours à leurs têtes et Jeanne entre leurs jambes. Ils débitent des paroles apaisantes qui détendent les enfants. Jeanne et Albert sont enchantés de l’excellent déroulement du dépucelage. Albert caresse les cheveux de Bernard par reconnaissance du bonheur qu’il a donné à sa fille. Albert a repris de la vigueur par la beauté de cet accouplement, Jeanne est au ange, elle savoure l’extase de son gamin, ses deux mains n’en finissent pas de caresser les quatre cuisses plus ou moins entrelacées. Le climat se réchauffe rapidement chez les parents émoustillés par cette tragédie surréaliste, Ils sont seuls au monde, concentrés sur leur jeu, en phase les uns avec les autres.

Sylvie sent que Jeanne lui caresse les poils qui dissimulent l’entrée de sa grotte, alors qu’Albert est émerveillé par l’adresse et la douceur de Bernard envers sa fille, il ne sait que faire pour le remercier. Il balade ses mains sur les poitrines des jeunes corps. Toutefois la curiosité l’emporte et la nature lui a donné le goût de l’excès, il va d’un sein de sa fille aux petits tétons de Bernard. Il détaille, avec une lenteur qui ne fait qu’augmenter son plaisir

Jeanne se fait progressivement indiscrète à l’entrée de la jeune chatte. Le contact est merveilleux pour Sylvie qui tout comme Bernard éprouvent une sensation de bien être dans ce repos bien mérité. La maman caresse les lèvres intimes de Sylvie puis le clitoris qui se réveille à nouveau. Immédiatement Sylvie recommence à s’humidifier, instinctivement, Jeanne accélère ses caresses, elle est enchantée de voir Albert manifesté sa joie sur Bernard. Les mains des parents vont et viennent sur les corps des ados en se croisant, ils sont pris d’une joie nouvelle qui s’accroît encore par l’espèce d’interdit qui flotte dans l’air depuis toujours.
Les visages se penchent sur les bouches des jeunes, Jeanne embrasse son fils et Albert sa fille. Ils veulent en faire plus, dans leur emportement, les baisers s’approfondissent davantage et chaque main continue l’exploration suivit cette fois par les lèvres. Ils contournent les poitrines, se glissent sous les aisselles, tournant en cercle, souples et agiles. Ils ne sont même plus conscients, qui embrasse qui. Quand Albert sent peser ce membre moyen contre sa joue, splendide, jeune, droit et bien dur, parcouru par des vibrations insensibles qui frémissent le long de son visage. Il s’écarte un peu pour voir cette chose qu’il trouve formidable, il l’a prend en main plus par amusement en regardant Jeanne. Puis voyant que ses trois partenaires attendent la suite, Albert effleure lentement de son museau la colonne de chair qui fait un doux mouvement de roulis, puis s’attache définitivement au gland qu’il pénètre dans sa bouche. La jeunesse palpitante d’où se dégage une légère épaisseur de mousse âcrement odorante sur la petite toison chaude, Albert sombre dans les plus obscures profondeurs qu’il n’est imaginé. Les mains d’Albert vont alternativement des fesses aux couilles, alors qu’il se concentre sur la jeune verge.
Les deux femmes sont restées un moment à observer les deux hommes avec beaucoup d’attention. Jeanne ne peut plus attendre, elle se jette pratiquement sur Sylvie, elle pose ses lèvres sur la fine toison noire qu’elle absorbe. Sylvie sent le souffle chaud sur mon pubis, complètement anéanti, elle laisse à Jeanne toute à son initiative. La bouche arrive aux lèvres intimes. Evidemment Sylvie mouille de plus en plus, la langue caresse les grandes lèvres avant de s'attarder sur le bourgeon qui n'attend que cela. Pendant toute cette opération Jeanne s'est progressivement placée tête bêche par rapport à Sylvie qui voit maintenant la chatte à quelques centimètres de son visage. L instinct la pousse à poser ses lèvres sur le pubis épais et soyeux. Jeanne écarte largement les jambes et présente alors son sexe à la jolie demoiselle. Les deux femmes sont attirées comme des aimants, elles passent leurs bras autour des fesses pour bien se coller l’une à l’autre.
Bernard s'étale dans un bienheureux étirement, tout en laissant son sexe pénétrer la gorge triomphante, il se retourne avec un savant mouvement pour saisir la queue d’Albert pleine de vigueur, plus grosse et plus longue que la sienne, Bernard n’est pas impressionné, au contraire, armé d’une volonté de faire du bien, il absorbe la verge en manquant de s'étouffer, tandis qu’à deux mains il palpe les fesses et tente leur plis central.
Les longs murmures ajoutent à cette atmosphère une volupté foudroyante, où les quatre monstres touchent le point crucial et plus aigu que la première secousse, ça éclate et jaillit en même temps. Ils sont tous accablés et pantelants mais sûrement prêts à recommencer.

Par maxime
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Dimanche 18 janvier 7 18 /01 /Jan 04:58

C’est un chouette DVD porno – super bandant – que nous regardons, ma mère et moi.
Du temps de mon père, lorsqu’ils désiraient voir ces films, mes parents me demandaient d’aller me coucher.
Je sais très bien, pour les avoir observés plusieurs fois à la dérobée, qu’ensuite, ils s’embrassaient et se pelotaient en continuant à regarder les scènes où des filles et des mecs à poil baisaient à couilles rabattues.

Depuis 2 ans que Papa nous a laissés tomber pour une merdeuse, maman se montre plus cool et cela fait plusieurs fois qu’elle tolère que je regarde des films pornos avec elle.

« Je sais très bien que tu les regarderas tout seul, si je te l’interdis… ! Me dit-elle.
.. Tu sais ce que c’est maintenant et je ne comprends pas qu’on fasse toute une histoire pour des gens qui font simplement l’amour… !
.. Il n’y a que les gros plans sur les sexes qui me dérangent… !
.. Et toi ? Tu aimes ça, mon grand ? »

C’est la première fois que Maman commente les images très crues que nous regardons. Un peu troublé par sa question, je bafouille :

« Oui, euh !! J’aime bien voir les chattes des nanas de près, on voit bien l’intérieur et je trouve ça très excitant ! ».
– Je me rends parfaitement compte que ça te fait de l’effet, rigole ma mère, en matant mon pantalon gonflé par ma bite en érection, espèce de vicieux !! »

Elle est un peu plus triste et je l’entends souvent soupirer devant des scènes d’amour à la TV. Ils baisaient beaucoup tous les deux et je suis certain que papa lui manque. Il m’arrive de me branler devant sa porte et d’aller l’écouter gémir pendant qu’elle se masturbe toute seule dans son lit. J’aimerais bien la voir faire, mais elle reste toujours enfermée.

Depuis que je suis tout gamin, elle adore s’allonger et poser ses jambes sur moi en me demandant de la masser et, surtout, d’insister sur ses mollets endoloris : « Allez, Serge, pense à ton boulot du soir, tu dois détendre ta Maman !! ».
Bien que mes massages dépassent rarement les genoux, ces derniers temps, elle se laisse beaucoup plus aller et je la trouve beaucoup moins pudique.
Est-ce ses longues branlettes solitaires qui l’excitent, mais elle n’a pas l’air de se soucier de ses légers déshabillés du soir, souvent retroussés très haut, ni de ses cuisses, parfois bien ouvertes qui me dévoilent effrontément des bouts de son ventre et de sa culotte.

Si maman s’est toujours pavanée dans la maison, en légers sous-vêtements ou petites nuisettes sexy, elle a toujours su maintenir une attitude si distante entre nous que je n’ai jamais été incité à tenter des gestes trop déplacés.
Elle sait très bien qu’après avoir contemplé ses cuisses et ses seins toute la soirée, je me branle comme un fou et que je balance d’abondantes décharges de foutre dans mes draps et sur mes pyjamas.
Plusieurs fois elle m’a parlé en me demandant de penser à prendre une serviette :

« J’en ai assez de changer tes draps et tes pyjamas remplis de sperme, mon chéri… !
.Je ne te reproche pas de te faire jouir, mais essaye de te soulager dans une serviette !
.Tu auras tout autant de plaisir et j’aurais moins de linge à laver… !! »

Je lui fais simplement remarquer que mon foutre arrive si brutalement et gicle si fort, que je n’ai jamais le temps de prendre quelque chose.

« Je mettrai une serviette de toilette sous ton oreiller, continue Maman, tu la sortiras quand tu commenceras à te masturber et tu pourras te vider dedans… !
.. Tu n’auras qu’à la mettre au sale le matin, après t’en être servi… !
.. Car je suppose, vu l’état de ton lit, que tu te fais aussi plaisir le matin ? »

Tout content de parler de mon foutre avec Maman, je lui réponds :

« Bien sûr que je me branle tous les matins, c’est là que c’est le meilleur et que je décharge le plus… !
– Bon ! Ça suffit, conclut ma mère, je trouve que tu t’excites un peu trop et que tu me regardes bizarrement, cochon !!
.. J’espère que tu as compris et que tu feras attention où tu jutes ! »

C’est quand même étrange ce deal tacite entre nous.
Lorsqu’elle me demande de masser ses jambes, elle sait très bien que je vais profiter de son relâchement passager et de ses tenues très légères, pour la mater.

J’ai le sentiment qu’elle se complait à me faire bander, sachant, en raison de nos liens familiaux, que cela n’ira pas plus loin. Je me dis qu’au fond, ma Mère se comporte comme une vraie bonne salope en manque de coups de pine, qui s’échauffe sans risque à mon contact, pour mieux se faire jouir toute seule.
D’ailleurs, les déshabillés de dentelle qu’elle enfile le soir, sont si fins et si largement décolletés, qu’ils conviendraient mieux pour recevoir son amant que pour se faire, soit disant, masser par son fils.

Dans ces tenues affriolantes, elle s’abandonne à mes massages, les yeux mi-clos, me laissant admirer, sans réagir, ses longues cuisses entrouvertes et découvertes si haut, que je peux voir la couleur de sa petite culotte. Tout aussi impudiquement, elle m’exhibe ses gros seins à peine cachés sous la dentelle. Mais si elle se dévoile aussi aisément, jamais je ne sens dans son attitude de véritable provocation.
Lorsqu’elle est bien détendue, je laisse mes mains remonter plus haut sur ses cuisses et caresser sa peau si douce, ce qui me procure des érections d’enfer.

Une fois où je ne pouvais plus contenir mes ardeurs, je lui ai même carrément peloté un sein, roulant la pointe entre mes doigts, jusqu'à ce qu’elle me demande d’arrêter.
Un autre soir, encouragé par sa passivité, j’ai moi-même soulevé sa nuisette qui me cachait trop sa culotte. Complètement exposée, elle m’a juste jeté un coup d’œil amusé en se laissant trousser sans rien dire.
Malgré l’envie qui me tenaille, je n’ai encore pas osé passer mes mains sous sa culotte et, à plus forte raison, sur sa minette.

Pourtant, ce soir, à un certain amollissement de ses jambes posées sur mes cuisses, je la sens encore plus réceptive que d’ordinaire. À tort ou à raison, je suis persuadé qu’elle est impatiente que je prenne l’initiative. C’est à moi, de lui faire comprendre que, bien qu’elle soit ma mère, je la désire vraiment !!!!
À force d’y penser, je me persuade qu’elle a les mêmes désirs pervers que moi, et que si je me lance, elle ne refusera pas de me laisser toucher ce sexe qui me fait fantasmer depuis si longtemps. 

Si, comme une bonne garce avide de sensations lubriques, elle ne bandait pas pour son fils, pourquoi chercherait-elle à m’exciter en m’exposant, chaque jour un peu plus, son corps largement dénudé par ses tenues affriolantes ?
Maman est à demi couchée sur le divan, le dos surélevé par des coussins, les jambes allongées, ses pieds posés sur mes cuisses et je caresse ses jambes comme d’habitude.

Emporté par l’érotisme des images qui passent sur l’écran, je chatouille langoureusement ses creux poplités, m’y attardant longuement, puis je laisse remonter mes mains sur l’arrière de ses cuisses. Sa peau est douce, lisse et tiède et je me laisse glisser presque jusqu’au pli des fesses.
Silencieuse et la respiration un peu rapide, Maman n’a pas l’air de s’offusquer de mes massages qui se sont transformés en caresses sensuelles.
Je ne sais pas si c’est l’effet de mes papouilles salaces, mais elle se met à gigoter, à replier une jambe, puis l’autre, à écarter et à resserrer brusquement les genoux, ce qui fait remonter son déshabillé au point de découvrir son ventre.
Maintenant persuadé que son complet abandon est bien dû à mes caresses érotiques, je décide à pousser mon avantage et de me lancer à la caresser franchement.

Pour m’échauffer encore plus, je la mate et comme la vue de sa culotte orange, sous laquelle se dessine nettement la fente de la moule, me fait bander, je ne peux m’empêcher de me toucher plusieurs fois la queue, comprimée dans mon short étroit.
Je ne vais pas me plaindre du beau spectacle qu’elle m’offre et je suis si captivé par son entrecuisse et par les caresses que je projette de lui faire que j’en oublie de regarder la télé.

Pourtant le film est vraiment bandant, car l’héroïne, une superbe jeune fille d’à peine 18 ans, pédale sur son vélo, exposant aux regards hallucinés des passants médusés, ses jeunes et gros seins dénudés pointant insolemment sous un corsage grand-ouvert.
Sa jupe légère, entièrement ouverte par le vent, dévoile impudiquement sa minette dotée d’une abondante toison brune naturelle, à peine recouverte par la dentelle arachnéenne d’un mini slip, plus symbolique qu’efficace.
Lorsqu’elle se soulève de sa selle, son merveilleux pétard oscille au rythme de son pédalage, présentant à tous, le trait du slip séparant les deux globes de ses fesses.

J’aperçois à peine les images salaces de la télé, les yeux scotchés aux cuisses évasées et à la moule maternelle de plus en plus visible sous le slip maintenant taché par une large trace humide.

« Dis-donc, petit cochon, tu veux que je t’aide, s’exclame Maman, ne te gêne surtout pas !
.. Le film ne te suffit pas, pour qu’en plus, tu te rinces l’œil en matant entre mes jambes ?
.. Ça te plaît tant que ça de voir la culotte et la craquette de ta Maman ? »

Elle fait mine de rouspéter, ma mère, mais elle n’a, cependant, ni refermé les cuisses, ni baissé son déshabillé. Sans répondre à sa question, je continue à caresser ses cuisses et n’écoutant que mes sens en ébullition, je remonte même bien plus haut, arrivant à sa culotte humide.

« Décidément, tu n’es qu’un petit coquin plein de vices, constate Maman, mais je dois reconnaître que tu me fais du bien en me caressant et que tu as réussi à drôlement m’exciter… !
.. C’est très agréable, tes papouilles, bien qu’elles soient plutôt cochonnes… !
.. Tu vas me promettre de ne pas trop exagérer, mon chéri, si je te laisse continuer un peu ?? »

Toujours muet, je glisse sous ses jambes pour me rapprocher de son ventre, entrouvre encore un peu plus ses genoux et je passe lentement mes deux mains sur ses cuisses, très haut, furetant d’un doigt coquin sur la fente de sa motte gonflée. Je palpe longuement sa connasse, enfonçant le tissu mouillé dans le sillonet insinuant plusieurs doigts sous la dentelle.

Maman s’offre, ses seins nus palpitant sous la dentelle, le ventre en avant, les jambes grandes ouvertes et à totalement oublié que c’est son fils qui la caresse. D’ailleurs, l’abondante mouille qui coule sur mes doigts et tache maintenant tout le devant de sa culotte montre bien son haut degré d’excitation.
Je décide de pousser aussi loin qu’elle me permettra et d’explorer le con maternel tant qu’elle me laisse faire.

À presque 18 ans, je n’ai pas souvent connu de pareille occasion et le côté pervers et interdit des caresses incestueuses que Maman accepte, m’empêchent de réfléchir. Nous ne sommes plus mère et fils, mais un homme aux sens exacerbés et une femme en manque de sexe qui s’excitent amoureusement.
Remontant jusqu'à la taille, je caresse longuement son ventre, m’attardant sur le trou du nombril et je saisis l’élastique de la culotte pour la descendre le long de ses hanches.

Sans ouvrir les yeux, elle me laisse la dénuder, soulevant légèrement les reins pour me faciliter la tâche. Le dernier rempart enlevé, je découvre un sexe rose aux grosses lèvres boursouflées, largement fendu et vierge de tous poils, si large, si profond et si beau que j’en reste muet.

« Profites-en bien, petit salaud, me dit-elle dans un souffle, je ne serai pas souvent aussi chaude que ce soir… !
.. C’est fou, mais tes caresses sur mes jambes et mes cuisses ont agi comme un aphrodisiaque !
.. À un moment, je croyais sentir les mains de ton père… !
.. Il y a si longtemps que je ne me suis pas laissé aller comme ce soir… !
.. Je suis complètement folle, tout mon corps s’ouvre et s’abandonne sous les caresses interdites que me prodigue mon fils… ! »

Puis, tandis que mes doigts remontent sur sa chatte et branlent lentement son énorme clito dressé :

« Oh oui, continue, mon chéri branle…, branle bien…, plus fort…, encore plus fort…, ramone-moi la chatte, mon fils…, fais-moi juter comme tu le fais avec tes copines…, oui !!! Fais-moi vite jouir… !
.. Ne t’arrête pas, mon bébé, astique bien le con de ta Maman…, fais lui mouiller sa moule, petit salaud…, fais-la bien couler, ta salope de mère… !
.. Oh, mon dieu, je n’ai même pas honte de me laisser fouiller la cramouille par mon fils…, je suis une sale pute, une catin vicieuse…, mais que c’est bon…, c’est trop bon…, mon dieu, je vais mourir… !!! »

Je n’en peux plus, je crois bien que je vais cracher dans mon slip, tellement je suis excité. Ma pine est raide et dure, mais j’ai tellement peur de briser le charme en interrompant ma branlette sur le con trempé de Maman que je n’ose pas la sortir.

« Attends, Maman, je vais me relever, je ne veux pas me juter bêtement dessus… !
.. Laisse-moi te bouffer la chatte et faire couler ton jus dans ma bouche… ! »

En un instant, nous nous sommes redressés. Comme deux sauvages, nous avons arraché nos derniers vêtements et nous avons plongé dans un voluptueux 69.
Ma bouche affamée dévore avidement ses chairs intimes délicieusement odorantes, tandis qu’elle a entrepris sur mon nœud, raide comme une barre de fer, une pipe goulue et profonde comme je pourrais l’attendre d’une habile putain et non pas de la femme qui m’a enfanté.

« Quelle biroute, mon lapin… ! S’exclame Maman, en relâchant ma tige un instant.
.. Je ne me doutais pas que mon bébé soit monté comme un âne !!
.. Elles doivent vachement se régaler, toutes tes petites salopes de copines, en s’enfilant un morceau pareil… !
..Tu vas voir, mon chéri, ça sera encore meilleur quand ta Maman fera juter, ta grosse bite !!!
.. Je vais complètement te vider les couilles, mon trésor… ! » Termine-t-elle, en embouchant sauvagement mon chibre dressé. !!!

L’intense excitation provoquée par nos incestueuses caresses ne nous permet pas de supporter longtemps le traitement que nous faisons subir à nos deux sexes échauffés.
C’est avec mille gargouillis érotiques, d’innombrables coups de reins saccadés et des gémissements étouffés par les merveilleux sucs que nous dégustons, que nous remplissons simultanément la bouche qui accueille nos abondantes liqueurs.

Nous restons longtemps emboîtés, la bouche encore engluée au sexe que nous venons de faire jouir, savourant notre plaisir, encore stupéfaits du déchaînement soudain de nos sens, mais avec au fond de la tête, une trace d’inquiétude pour la suite de nos relations familiales.

« Nous parlerons demain de ce qui nous est arrivé, mon grand… ! Me dit Maman.
.. Maintenant, allons nous coucher, tu m’as complètement tuée et je n’ai plus de force… !
.. Tu peux dormir avec moi, si tu en as envie, mais à condition d’être sage… !
.. Allez, ouste, au lit, mon chéri !!! »

Notre profond sommeil nous a lavé des douces fatigues de la veille. Lorsque je m’éveille, Maman me tourne le dos et j’apprécie la chaleur de ses fesses nues, appuyées contre mon ventre. Je frotte lentement le gland de ma bite érigée par une solide érection matinale contre la fente de sa cramouille.

« Enfin, tu te réveilles, me dit-elle, il y a un moment que je me colle à toi… !
.. Continue à m’échauffer, petit salaud, tu commences déjà à me faire mouiller… !
.. Enfonce tes doigts bien profond dans la chatte, mon chéri, martyrise-moi bien, j’ai envie de plaisirs sauvages, ce matin… !
– J’ai trop envie de faire l’amour à ma petite salope de Maman… !
.. Laisse-moi te piner et juter dans ta chatte maintenant !
.. Je te foutrai la main au fond de la cramouille après, si tu veux… ! »

Je n’ai qu’à exercer une petite poussée, pour que ma pine envahisse le con maternel. Bien abuté dans son vagin, je savoure cet ignominieux, mais délicieux inceste. Ses chairs intimes se sont ouvertes pour m’accueillir, lui arrachant un long frisson et de sourds grognements de plaisir.

« Tu me baises, petit con, tu baises la chatte de ta Maman !!
.. Comme j’ai honte de ressentir autant de plaisir pendant que mon fils enfonce son dard dans le trou par où je l’ai mis au monde… !
.. Pine, mon salaud, pine ta mère, pine-moi bien fort que je sente au plus profond de mon ventre la puissance de ta queue… ! »

Mes longs coups de reins cadencés barattent lourdement la chatte ruisselante de mouille. Maman me répond par de lascives ondulations de ses reins, me faisant pénétrer encore plus avant dans son vagin.

« Reste bien au fond, mon amour, hurle ma mère, je vais jouir…, c’est bon…, c’est si bon…, je jute, chéri… !
.. Tu me fais couler comme une fontaine, petit salopard…, mon dieu… !! Je pars, je jouiiiiiis… !!! »

Emporté par ce déferlement de plaisir, je la rejoins :

« Je viens, Maman, je viens moi aussi… !
.. Tu veux bien que je crache ma crème dans ton vagin, dis-moi, tu veux bien… ? »

Je n’entends pas sa réponse et mon foutre explose en myriades de puissantes giclées éclaboussant, tout au fond du vagin, l’utérus maternel. Je me déverse très longtemps dans ce ventre qui m’a porté, irrigant de ma jeune semence fertile, l’intimité maternelle.
Dans la fulgurance de mon plaisir, une pensée m’effleure, que je m’empresse d’oublier : « J’espère que Maman prend la pilule !! ».
Quel pied extraordinaire et comme, en comparaison, elles me semblent fades, les très rares baises avec mes copines.

« J’ai toujours su qu’un jour ou l’autre, nous ferions l’amour… ! Me murmure Maman, enfin remise de sa jouissance.
.. C’est ton père, lorsque je lui ai dit que je trouvais souvent tes draps tachés de sperme, qui a voulu que je te laisse voir mes seins et mes culottes… !
.. Mets-toi en nuisette et laisse-le te mater, me disait-il, en me baisant comme une brute, ça n’ira pas bien loin et puis ça m’excite que tu te laisses regarder par notre fils… !
.. Au moins, il bandera pour quelque chose et pourra se faire cracher en repensant à toi… !
.. Dès qu’il sera plus grand, je te promets qu’il te baisera, ma chérie, c’est même moi qui le lui demanderai… !
..Pourquoi crois-tu, maintenant qu’il est parti, que je te laisse caresser mes jambes jusqu’en haut des cuisses et que je fais tout pour t’affoler en portant des déshabillés et des strings de plus en plus impudiques ?
.. Depuis son départ, je pense sans cesse à toi pour étancher mes pulsions sexuelles et mon corps te réclame encore plus fort… !
.. Heureusement que tu es un homme, maintenant, car je n’en pouvais vraiment plus d’attendre que tu grandisses, mon chéri… !! »

Après plusieurs jours d’une merveilleuse vie de couple ordinaire, Maman se pose quelques questions. Si nos relations sexuelles et nos liens familiaux ne lui posent aucun problème, elle craint surtout que notre différence d’âge (27 ans) ne pose vite des problèmes insurmontables.

« Tu t’emballes vite, mon amour, faire l’amour à ta Maman est peut-être une chose très agréable, mais vivre aux côtés d’une femme de mon âge en est tout autre… !
.. Je pense que tu vas rapidement te lasser et retourner voir tes copines, ce serait bien normal… ! »

Je coupe court en lui disant que j’avais eu le temps de réfléchir et que pour le moment, je ne désire que vivre à ses côtés.

« Ne t’énerve pas, mon ange, très bien, je serai, donc à la fois, ta Maman et ta maîtresse, puisque tu le veux… !
– Non, je préfère que tu sois tout à la fois et dans n’importe quel ordre, ma mère, ma pute et ma femme… ! » Lui dis-je en riant.

Depuis un long moment, Maman est au téléphone avec ma sœur Laurence, qui vit à Lyon. Agée de 23 ans, c’est une grande fille très sympa et superbement gaulée, mais collée avec un vrai con que je déteste, qui travaille sur les chantiers et est en déplacement toute la semaine.

« Ta sœur arrive demain matin, m’explique Maman, elle s’est encore accrochée avec son abruti, mais qu’est-ce qu’elle attend pour le quitter… !
.. Il faudra être gentil avec elle et, surtout, très discret pour qu’elle ne s’aperçoive de rien pour nous deux… !
.. Elle a beau avoir les idées larges, j’ai peur qu’elle n’apprécie pas le côté pervers et incestueux de nos rapports familiaux, d’accord, mon amour ? »

Nous avons été attendre Laurence à la gare et arrivée à la maison, elle raconte ses malheurs à Maman :

« Je suis certaine que Bernard a une autre gonzesse… !
.. Certaines semaines, il me dit qu’il ne peut pas rentrer pour le week-end… !
.. Je l’ai déjà prévenu plusieurs fois que j’allais me tirer, mais il s’en fout… !
.. Cette fois, j’en ai ras le bol, si tu peux m’héberger le temps que je m’organise, je le laisse tomber… !
.. J’ai déjà contacté mon ancienne boîte et ils sont disposés à me reprendre… !
– Aucun problème, répond Maman, nous pouvons aller récupérer tes affaires quand tu veux et ici nous avons beaucoup de place, tu es chez toi, ma chérie… ! »

Un petit voyage à Lyon dans le meublé qu’elle habitait avec l’autre con et Laurence a retrouvé ses frusques et une ou deux babioles qui lui appartiennent.
Nous sommes assis au salon et Maman range la vaisselle dans la cuisine.

« Tiens compagnie à ta sœur, m’a-t-elle dit, et sois cool, elle ne doit pas avoir un gros moral… !
– Alors, gamin, me dit Laurence, en me toisant l’air narquois, content de pouvoir recommencer à mater sa grande sœur à poil sous la douche, en train de faire pipi ou dans sa piaule quand elle se déshabille ?
.. Ah…, tu as l’air tout surpris, tu croyais peut-être que je ne te voyais pas ?
.. Si tu as vu mon cul ou mes seins, c’est que j’ai bien voulu te les montrer, j’aime bien que tu me mates… !
.. Au fait, tu continues toujours à te rincer l’œil en faisant semblant de masser les mollets de Maman, petit cochon… ?
.. À force de la zieuter, tu dois connaître toutes ses petites culottes… !
.. Tu en es à combien de branlettes, mon salaud ?
.. Chut !! Nous en reparlerons tranquillement, Maman arrive, pas un mot devant elle, elle n’appréciera certainement pas… ! »

J’ai quand même le temps de lui dire : « Ne t’inquiète pas, elle n’est pas du tout comme tu crois, Maman, elle aime bien se laisser aller, parfois… !!! ».

Comme tous les mômes, je matais ma mère et aussi ma sœur, pour me palucher en imaginant tout ce que j’aimerais faire avec leurs corps dénudés. Laurence le savait, la garce, mais elle a continué à me laisser faire. Un peu salope, mais plutôt sympa, ma frangine !!!

« Ce soir, le frangin est de repos, c’est moi qui m’occupe de tes jambes, a décidé Laurence, installe-toi bien, Maman, ça va être du massage grand luxe !!
.. Ça va, tu es bien ? Tu me dis si tu aimes… ! »

Juste vêtue de son habituel déshabillé, Maman s’abandonne, les yeux mi-clos, aux mains de sa fille. Sous la douce caresse ses jambes s’ouvrent machinalement.

« Je comprends mieux pourquoi Serge avait tous les soirs la trique, s’écrie Laurence, avec tes cuisses et ta chatte sous le nez, c’était normal qu’il bande !
.. Tu ne trouves pas que c’est drôlement coquin, pour une Maman, d’étaler ses dessous pour exciter son fils… ?
– Et d’allumer son frère en ne fermant pas la porte de la douche ou de la chambre, ce n’est pas aussi très coquin, ça… ? Réplique Maman.
.. Je crois que nous sommes quittes, ma grande, nous aimons toutes deux que Serge nous contemple. .. !
.. Quel mal faisons nous, tu n’aimes pas ça, mon chéri… ? »

Ces deux garces me font bander et je pense qu’elles doivent s’en apercevoir. L’air certainement un peu idiot, je ne peux que répondre :

« C’est fantastique le pied que je prends quand vous me laisser vous mater… !
.. Vous avez toutes les deux des corps magnifiques et je vous aime… !
– Tu peux continuer tes caresses, ma chérie, ordonne Maman, on ne peut plus appeler ça des massages, je pense ?
.. Dis-moi, Serge, si tu nous mettais un DVD… ?
.. Je crois que celui que nous avons regardé ensemble doit encore être dans le lecteur… !
.. Tu vas voir, Laurence, pour fêter ta nouvelle vie de célibataire c’est le film idéal !! »

En allumant le lecteur de DVD, je tombe sur les premières images du film que nous n’avons pas retiré :

« C’est vous deux qui regardez ça… ? Demande ma sœur à Maman, en se marrant.
– Oui, nous l’avons regardé ensemble… ! Lui répond Maman.
– Et bien, l’ambiance a changé, depuis mon départ, s’exclame ma sœur, avant, tu n’aurais pas toléré que nous voyons des films de cul, à la maison !
– Il y a deux minutes, tu me reprochais de trop m’exhiber devant mon fils, maintenant c’est de lui faire regarder du porno que tu ne trouves pas normal… !
.. Qu’est-ce que je fais de bien, d’après toi ?
.. Serge a pratiquement 18 ans, c’est un homme, maintenant, décrète ma mère, il peut décider seul de ce qui est bien ou mal… !
– N’empêche, retrousser ses nuisettes pour que son fils se régale ou visionner des films de cul toute seule dans son salon, avec lui, je trouve que ça fait un peu vicieux et que ça craint, continue Laurence, tu n’as pas peur que ça dégénère ?
– Dégénérer, comment… ? Réplique Maman.
– Tu comprends très bien, poursuit ma sœur, comme tu le dis, Serge est un homme et de mater tes culottes ou ce genre de films le met en général dans un drôle d’état… !
.. Explique-moi, Maman, s’emporte Laurence, il se soulage comment, mon frangin ?
..Il se branle tout seul, c’est toi qui l’aides à jouir ou bien vous préférez faire ça ensemble ?
– Tu as du culot, ma chérie de nous poser cette question, balbutie Maman, pourquoi penses-tu que nous pouvons avoir ce genre de rapports ?
– Ne me prenez pas pour une idiote, s’écrie Laurence, j’ai vu le regard que Serge t’a jeté quand tu as dit que vous regardiez le film ensemble… !
.. Je n’ai pas de préjugés et ça serait même plutôt cool et assez excitant de penser que ma Maman et mon frère s’accouplent… !
.. Allez, vous pouvez bien me le dire, j’ai raison ? Vous faites vraiment l’amour ensemble ?
– Et bien oui, ma chérie, accepte Maman, ton petit frère et moi sommes amants depuis déjà deux semaines et nous n’avons pas du tout honte… !
..Je suis soulagée que tu le prennes si calmement, j’avais un peu peur de ta réaction… !
..Ton frère ne me quitte plus depuis notre première fois et ne va même plus voir ses amis… !
.. Il est jeune, tu sais, et inépuisable, nous passons notre temps à parler et à faire l’amour, je me crois revenue à l’époque de mes vingt ans… !
.. Je suis contente de pouvoir t’en parler et de constater que tu ne nous juges pas… ! »

Laurence a du vague à l’âme. Bien qu’elle soit soulagée de s’être débarrassée de son encombrant copain, elle reconnaît que son abstinence sexuelle lui pèse. Elle se montre très discrète et évite de nous déranger.

« Je suis navrée de voir ta sœur aussi triste, me dit Maman, tu devrais t’occuper un peu plus d’elle, mon chéri… !
.. Tu pourrais l’emmener faire un peu de shoping, ça lui changerait les idées… ! »

Moi, j’ai ma petite idée et je lui en fais part :

« En fait de shoping, je pense qu’elle attend surtout un bon coup de bite, pourquoi ne pas l’inviter, ce soir ?
.. Nous pourrions faire un bon trio, elle me plaît bien, ma frangine et après la mère, je me farcirais bien la fille !
– Tu es insatiable, mon chéri, admet Maman, mais je dois reconnaître que ma petite salope de fille est bien mignonne et qu’elle m’excite… !
.. Ça doit être le pied de se faire un petit plan lesbien incestueux avec sa môme… !
.. Ça me rappellera l’époque où j’étais en pension chez les frangines et où on se gougnottait entre gamines… !
.. Laisse-moi faire, mon grand, j’ai ma petite idée… ! »

Nous suivons plus ou moins les ébats du fameux film, mais Maman, dans un de ses habituels déshabillés suggestifs a posé ses jambes sur ma sœur et lui a dit :

« Ce soir, c’est à ton tour de me détendre, alors, masse-moi lentement les jambes et sois bien douce avec ta Maman, ma chérie !! »

Laurence joue le jeu et masse les jambes et les mollets maternels, remontant sur les cuisses encore cachées.

« Tu aimes, Maman, demande-t-elle, ça te plairait que je te retrousse et que je fasse la petite vicieuse ?
– Tout ce que tu veux, ma chérie, je suis à toi entièrement… !
.. Tu as vu ton frère, il faudra faire quelque chose pour lui, sinon il va exploser… ! »

La nuisette toute tirebouchonnée, ne parvient plus à cacher grand-chose du ventre offert ni des gros seins blancs de ma mère. Sous les caresses appuyées de Laurence, Maman se tortille en exhortant sa fille à encore plus l’affoler.

« C’est bon, ma chérie, roucoule Maman…, j’aime bien sentir tes doigts fouiller ma chatte… !
.. C’est bon d’être une grosse salope et de se laisser tripoter par ses enfants… !
.. Occupez-vous de moi ensemble, petits merdeux… !
.. Allez, viens, mon Serge, faites du bien à votre grosse poufiasse de Maman… !
.. Oui, mes amours, c’est très bien vos doigts ensemble dans mon con… !
.. Oh, bon sang… !! Que vous me faites du bien, petits salauds… !
.. Sors ta pine, Serge, je veux la sucer pendant que Laurence me branle le con… !
.. Putain, quelle famille de salopards… !
.. Oh oui ! Continue à étirer mon clito, espèce de pute…, écrase-le entre tes doigts…, serre le plus fort…, n’hésite pas, catin, étire-le… ! Allez, fais-moi mal…, ah, j’adore quand tu me fais souffrir !!! »

Sous les doigts habiles de ma sœur, la chatte maternelle se liquéfie peu à peu.

« Allons plutôt sur ton lit, demande Laurence, je ne suis pas à l’aise pour bien m’occuper de ta minette… !
.. Viens vite, Maman, j’ai trop hâte de m’allonger et de me faire bouffer le con par une salope comme toi ! »

Ma queue trempée de salive et toute raide à la main, je suis mes deux compagnes. Superbement nues et impudiques, elles se bouffent bruyamment le con tête-bêche, comme de véritables gouines voraces. Maman dégage la rosette de sa complice et la lèche langoureusement, se repaissant des goûts salés de l’anus plissé. Ne voulant pas être en reste, ma sœur écarte l’entrée de la rondelle et y introduit sa langue dardée.

Agenouillé derrière Laurence, je frotte ma bite contre son fion, juste au-dessus du visage maternel. Maman s’empare de mon paf et l’avale goulûment.

« Encule-moi, si tu veux, mais laisse Maman me faire minette, demande ma sœur, je veux lui juter dans la gueule, à cette pute ! »

Obéissant à son injonction, j’engouffre ma bite dans son sphincter, jusqu'à butter contre ses fesses.

« Connard, tu m’as fait mal au cul, s’exclame Laurence, ne pousse pas si brutalement et laisse-moi le temps de m’habituer à la grosseur de ton chibre… !
.. Voilà !! Tu vois quand tu veux bien faire doucement !!
.. Si tu m’en enfiles moins long d’un seul coup, je préfère… !
.. Vas-y par petits bouts et tu pourras entrer tout entier dans mon anus sans me faire mal… !
.. C’est bien, frangin, continue doucement…, pousse, chéri…, pousse encore…, rentre salaud…, vas-y, rentre tout…, allez ramone-moi comme au début… !
.. Oh putain, je jouis du fion…, vas-y…, .lime salaud…, lime plus vite…, plus fort… ! Ohlala, je jute…, je jute..., je jute encore… ! »

Je ne sais pas si elle jouit du fion, ma frangine, mais en tous cas, elle remplit la gueule de Maman avec sa mouille. Purée !! Qu’est-ce quelle crache, cette chienne, le visage de ma mère est inondé par son foutre. Ça ne l’arrête pas, Maman, et elle continue, de toutes ses forces, à bouffer l’abricot dégoulinant de sa fille et à lui arracher de véritables hurlements de plaisir.

Dès que mes deux goules en furie arrêtent leurs léchages de cramouilles, je rejoins Maman et j’enfonce voluptueusement mon chibre, tout juste déculé, dans son vagin béant et trempé.

« Ah oui !! Baise-moi, mon petit, s’égosille ma mère, baise-moi fort. C’est bien de garder ton foutre pour ta Maman, mon chéri… !
.. Fais gicler ta semence fertile au fin fond de mon vagin… ! »

Complètement dopé pars les triviaux encouragements maternels, je vide longuement mes couilles bien au fond du ventre accueillant de ma mère. Mes puissantes giclées fusent et fouettent les parois vaginales jusqu'à l’utérus. Putain, avec toute cette excitation, je lui ai filé une sacrée dose, d’ailleurs, elle m’en félicite.

« Je suis complètement folle à l’idée que tu vas me mettre enceinte, mon grand… !
.. Lorsque tu m’as baisée, la première fois, j’ai décidé que tu me ferais un enfant… !
.. C’est avant tout le côté plus qu’immoral, presque pornographique, de la pine du fils ensemençant avec son jeune et vigoureux sperme l’utérus maternel qui me fait beaucoup mouiller… !
.. En ce moment, je suis en pleine période fertile et je compte sur toi pour me tartiner l’intérieur du con, comme tu viens de le faire, plusieurs fois par jour… !
.. Si par hasard, ça ne marche pas, nous recommencerons le mois prochain ou un autre… !
.. Je veux un enfant de toi, Serge, je tiens à ce que tu sois près de moi pour élever ton fils… !
.. Tu entends, Laurence, j’ai décidé que ton salopard de frère allait m’engrosser… !
.. Tu te rends compte, c’est merveilleux, je vais porter dans mon ventre le fruit de mes amours incestueuses avec mon propre enfant… ! »

Je suis encore sous le coup des propos de Maman, ayant un peu de mal à admettre qu’elle désire vraiment que je l’engrosse :

« Je vois que tu as encore un peu de force… ! Me demande ma frangine, en me léchant amoureusement la pine.
.. Si Maman le permet, j’aimerais bien, moi aussi, me faire ramoner le con par mon petit frère… !
.. Viens, mon chéri, viens commettre un autre inceste, mais cette fois, avec ta grande sœur… ! »

Après m’être lentement introduit dans son ventre, je pistonne la cramouille encore bien dilatée de Laurence, Maman lui aspire le bout des seins en l’étirant démesurément. Ses doigts cochons furètent dans mon anus décuplant les sensations qui m’assaillent. Je baratte lentement la moule offerte, m’y enfonçant jusqu’aux couilles, puis en ressortant presque entièrement. Lorsque je sens les prémices de l’explosion de mon foutre, j’en préviens ma sœur :

« Je peux te cracher dans le con, ma chérie, tu prends la pilule ?
– Non, non, Serge, je n’ai aucune contraception, répond Laurence, mais vas-y, jute-moi dedans sans te gêner… !
.. Vous m’avez complètement retourné la tête avec vos folles idées de grossesses entre parents… !
.. Ça serait vachement bien si tu engrossais mère et fille en même temps… !
.. Avec Maman, nous n’avons qu’à nous partager équitablement tes décharges de sperme !!
.. Ça va être formidable, nous allons te faire chacune un bébé, comme cela nous aurons deux enfants qui seront tes fils ou filles, tes frères ou sœurs et tes neveux ou nièces, tout cela en même temps… !
.. Quel bordel ce sera pour s’y retrouver dans la famille… ! »

Elles ont tenu parole, mes deux salopes, non seulement elles se gouinent très souvent, mais elles ont continué à exiger que je leur foute mon sperme à tour de rôle.
Et ça a marché, car aujourd’hui, elles sont toutes deux enceintes jusqu’aux yeux, Maman de 7 mois et demi et ma sœur de 10 jours de moins.

Leur prise de poids et la rotondité de leur ventre ne les empêchent pas de se bouffer la cramouille et de juter comme de vulgaires traînées.
Si je ne peux plus chevaucher leurs ventres énormes, je les prends en levrette ou sur le côté et elles me demandent toujours de foutre ma verge dans leurs vagins maintenant dilatés et, bien que ce soit maintenant inutile, je continue à asperger de mon foutre, l’intérieur de leurs gros ventres habités.

La petite factrice d’à peine 30 ans qui nous porte le courrier, se joint souvent à nos folles séances de cul avec sa jeune sœur de 25 ans. Elles vont toute deux devoirs arrêter bientôt leur travail, étant, elles aussi, enceintes d’un peu plus de 6 mois. Pour notre plus grande joie, elles ont toutes deux décidé de venir habiter avec nous.

Si mes quatre salopes vicieuses passent le plus clair de leur temps libre dans d’interminables et salaces partouses lesbiennes, elles continuent néanmoins à me demander de leur remplir la cramouille à tour de rôle.
Pour, comme elles disent, ne pas épuiser le gisement, je réserve toujours mes éjaculations pour celle que je bourre en dernier.

Elles sont ravies de se voir enceintes et feront certainement d’excellentes Mamans.
Toutes les quatre ont déjà programmé, à grand renfort d’agendas et de calendrier, la date de conception du second enfant.

« Dans quelque mois, m’ont-elles prévenu, il va falloir recommencer à nous crémer l’utérus, nous voulons d’autres lardons, mon amour… !
.. Il faudra être prêt à nous foutre tout ton bon jus et à te montrer aussi efficace que tu l’as été cette fois !
.. Ne t’inquiète pas, tu n’auras pas besoin de nous niquer toutes les quatre à la suite,
nous établirons un roulement pour que tu reconstitues tes réserves de foutre et pour que tu nous mettes la bonne dose à chacune !!! »

Je ne vais jamais pouvoir reprendre mes cours avec ces goulues pendues à mes basques.

Fabricant incestueux de mouflets ou père de famille bizarre, c’est un métier, ça ???

Chers lecteurs, le site nouveau est entrain de se faire

 

  http://www.incest.over-blog.com/ 


Par maxime
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Samedi 17 janvier 6 17 /01 /Jan 03:28

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Ceci est un blog pour vous donner une autre image sur l'inceste. celle du plaisir entre adultes et consentants. celle où l'on ne se pose pas de questions autres que celles qui nous mènent à la volupté. Nous ne voulons pas de conseils psychologiques ni de morale religieuse.

 

De grâce, si le contenu vous choque ou ne vous plaît pas passez votre chemin vers là où vous-vous sentirez mieux. Bienvenue aux commentaires de tous ceux qui veulent une amélioration et aussi aux propositions voir récits et textes à publier. Bonne lecture à tous et à toutes et surtout laissez-vous emporter par le plaisir sans aucune résistance.

 

 

Maxime

Par maxime
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Lundi 12 janvier 1 12 /01 /Jan 15:20

DSCF2028.jpgmmmmmmmmmmmmmmmmmmpppppppppppp.jpgJ'allais avoir seize ans, nous étions fin septembre, la rentrée scolaire approchait...

Mon père avait repris le travail et j'étais resté seule avec ma mère, dans la petite maison ou nous passions traditionnellement nos vacances. Maman en avait hérité de ses parents à la mort de ma grand-mère, huit ans plus tôt.

Ma mère avait épousé mon père de presque quinze ans son aîné, très jeune: elle avait maintenant à peine trente quatre ans. Subitement, je réalisais qu'elle n'avait que dix huit ans à ma naissance; elle était donc « tombée enceinte » suivant l'expression consacrée à dix sept ans...

À part cela, en ce qui concernait le sexe, mes connaissances étaient succinctes. Tout au plus en fin de cinquième, j'avais appris de copains plus avancés que moi l'existence d'un « liquide visqueux et blanchâtre » que l'on pouvais libérer en se « branlant »: « la jute ». 

La nuit suivante j'avais aussitôt tenté l'expérience... Et dessiné ma première « carte de France » dans mes drap. La sensation que j'en avais retiré m'ayant procuré une certaine forme de plaisir, depuis, je me « branlais » presque toutes les nuits. 

Avec le temps j'éprouvais le besoin de passer à un stade supérieur, et depuis une semaine que nous étions seuls, je passais mon temps à épier les moindres gestes de ma mère. Le matin après le petit déjeuner, comme d'habitude je m'éclipsais pour rejoindre mes copains, sauf... 

Que depuis le début de la semaine je n'allais nulle part, mais attendait que maman s'enferme dans sa chambre pour faire sa toilette et s'habiller. En passant par le jardin, je me faufilais jusqu'à un poste « guet » d'où je pouvais observer l'intérieure de cette chambre. Grâce au jeu combiné de l'armoire à glace et d'un autre miroir peu de détails échappaient à ma curiosité.

Généralement maman se mettait « à poil » pour procéder à sa toilette. Le premier jour j'avais été subjugué en la reluquant ainsi. Ses « doudounes » étaient comme celles des filles que j'avais pu voir sur les magazines « cochons » de mon ami Claude G., mais le bas de son ventre était lui tout différent. Une touffe de poils noirs, bien plus importante que celle qui encadrait maintenant ma « bite ». Elle se lavait cet endroit à l'aide d'un gant de toilette et parfois s'accroupissait sur un « bidet » en émail qu'elle remplissait préalablement d'eau avec un broc.

Il faut préciser qu'à cette époque la commune n'avait pas encore l'eau courante. D'une pompe dans le jardin nous tirions l'eau nécessaire à la maison dans un seau, ou dans un grand broc d'une dizaine de litres.

Pour en revenir à ma nouvelle distraction matinale, dès le deuxième jour, au stade que je viens d'évoquer, j'avais ouvert ma braguette et je me livrais activement à une branlette éffrénée. Après quatre jours de ce régime j'avais décidé de passer à un stade supérieur. et improvisais un plan pour passer à l'action.

La nuit suivante j'attendis donc fiévreusement que le clocher du village égrene les douze coups de minuit... Alors, entièrement nu, je traversais notre logis à pas de loup et me glissais subrepticement dans la lit de ma mère...

Doucement, tout doucement, je glissait ma main sous sa chemise de nuit. Au toucher de sa peau douce et tiède ma « bite » était entrée en éveil, mais dès que j'eus atteint sa toison, j'eus l'impression qu'elle était devenu aussi dure qu'une barre de fer!

A ma grande satisfaction, je sentis la pression de ses cuisses se relâcher. Mon cœur battait à tout rompre. J'essayais de me frayer un passage entre les poils frisés, craignant à tout instant le réveil maternel.

À la seconde ou mon majeur avait finalement trouvé un « passage » à travers les poils et découvert l'orée du bonheur, maman s'éveilla. 

C'est toi mon petit François, mais que fais-tu?

Ma gorge se noua. Que dire, que faire, que répondre... J'optais pour la force: je retirais promptement ma main et pris ma mère à bras le corps.

Mais que fais-tu mon chéri? Tu es tout nu! Et ... Oh tu... Tu es tout dur...

Pardon maman, je ne voulais pas te faire du mal...

Et je m'apprêtais à fuir tout honteux, mais comme je la tenais toujours fermement enlacé, les déhanchements qu'elle exécutais pour tenter de se dégager ne contribuèrent qu'à porter mon excitation au paroxysme, mon sexe turgescent était terriblement douloureux.

Qu'est-ce qui te prend mon petit garçon? Arrête, je suis ta maman...

Finalement, je finis par balbutier:

Je voulais juste savoir... Je ne suis plus un bébé maman chérie, je te demande pardon.

Et improvisant je glissait ma tête sous les draps pour poser mes lèvres sur son « minou »

pensant y déposer un baiser pour me faire pardonner.

J'avais ainsi maintenant le nez dans sa touffe. L'odeur qui en émanait décupla mon désir. J'étais comme enivré par l'effluve. Je me fforçais un passage entre ses cuisses, l'obligeant à les s'ouvrir largement. Mes lèvres déposent dix, cents baisers sur cette motte interdite. Sa résistance faibli à l'instant, ou d'instinct ma langue s'enhardit et entrant en mouvement, écarta sa « fente ».

Maman abandonnant toute velléité de résistance., releva ses jambes. Ma tête est maintenant bien installée et ma langue qui a terminé son œuvre de pénétration s'active dans cette « grotte » subitement toute humide et bien ouverte.

Je me redressais aussi rapidement que je le pu, sans brusquer et m'installais sur cette femelle qui se soumettait. 

Mon gland trouva sa place, et je le sentis s'enfoncer telle un épieu. 

Émoi, douce sensation, l'instinct, l'inné, commandait à mes reins d'entrer en mouvement. J'allais et venais. Tel un piston de chair mon sexe s'activa dans la matrice maternelle dont il avait pris possession de force.

Bien qu'elle n'offrit plus le moindre signe de résistance, j'éprouvais le besoin d'emprisonner fermement ses poignets pour lui faire comprendre qu'elle était totalement sous ma domination.

Je n'étais plus son petit garçon, mais un jeune mâle en forçant une femelle, sa première femelle! Elle était « prise », et elle le savait, elle savait mieux que moi quelle serait la conclusion de cette copulation. J'exultais des sensations qui parcourant ma « bite » en action, remontaient au plus profond de moi. J'étais fort et instinctivement j'avais besoin de lui faire sentir.

Combien de temps cela dura-t-il, j'avais perdu la notion de temps. Je sentis, je pressentis que quelque chose allait exploser. La « jute » dont je maculais mes draps auparavant, la nuit précédente encore, cette « jute » giclait maintenant en longs jets dans l'utérus accueillant de ma petite maman! 

Je réalisais que je l'avais totalement possédé, soumise. Et je jouissais en elle, je venais de jouir. J'étais, enfin, un « homme »!

Peu à peu, je suis revenu sur terre. Grisé. J'avais baisé une femme. Je m'affalais sur son corps, ivre de plaisir. Je réalisais soudain que vaincue, elle m'étreignait, tendrement, murmurant à mon oreille des mots d'amour de tendresse, de pardon, pour calmer l'angoisse, le remord qu'elle devinait monter en moi. 

Elle me demanda si j'étais heureux, elle ne me parla pas de honte. Je feignis la repentence, alors qu'à cet instant je n'en éprouvais absolument aucune: j'étais délivré de l'angoisse de l'adolescent

Nous restâmes enlacés, peu a peu mon sexe, redevint flasque et ressorti, tout gluant du sien...

Le jour se levait. Je m'éveillais, ma mère était toujours là, tout contre moi, nue. Ses beaux yeux noisette, ouverts n'exprimaient aucun reproche, elle me sourit.

Je t'aime me dit-elle simplement.

Moi aussi maman.

Es-tu heureux maintenant? Alors viens. Viens mon chéri!

Elle m'attire sur elle. S'offre:

Soit gentil, sois doux, mon petit chéri, cette fois. Mais baise moi, baise moi fort, très fort mon petit homme chéri.

Il fait presque jour, son corps est tiède je l'enlace, la couvre de baisers amoureux. Quelle est belle. Ses beaux seins généreux aux larges aréoles sombres attire mes lèvres. Je les suce, alternativement. Ses tétons durcissent, tout comme mon « membre » qu'elle dirige vers sa « chatte » elle me guide en elle. Je me laisse faire. Mon désir monte à nouveau. Lentement, timidement je lui fais l'amour. 

Elle m'encourage, me flatte. Peu à peu son vocabulaire chaste fait la place à des encouragements crus. Elle me félicite de la taille de ma « queue », ondule sous moi, commande, exige . 

Allez, défonce moi, déchire moi, Tu es fort, tu le peux, je sais que c'est ce que tu veux mon salaud... Je suis ta pute... Tu me tiens par la queue.. Aaahhhh.....! Oui! Oh ouiiiii...

Je lui donnais ce qu'elle voulait, je la défonçais, à sa demande, de grands coups de boutoir. J'empoignais ses seins, les pétrissais. Et quand je le pouvais compte tenu de la cadence qu'elle exigeait, je me dressais pour tenter d'apercevoir ma queue si bien empalée qui ramonait sa moule chaude et gluante, ce chibre qui s'agitait frénétiquement. Cette fois nous étions deux amants dominés par leurs seuls désirs de jouissance. Elle noua ses jambes derrière mes reins, m'immobilisant au moment ou j'éclatais, ou je « jutais ». Mon « foutre » jaillit à nouveau au tréfond de sa vulve.

Nous écroulâmes ensemble, épuisés. Avant de m'affaler, je me demandais comment ce

petit bout de femme, si douce, si aimante pouvait devenir dans l'action, cette furie en chaleur.

Je me réveillais seul, cette fois vers neuf heures et demie. Maman était en train de procéder à ses ablutions quotidienne. Détail que je n'avais jamais capté auparavant, à califourchon sur le fameux petit bidet émaillé, elle se lavait le vagin en y enfonçant une grosse canule reliée à une énorme poire en caoutchouc.

Les trois jours et quatre nuits qui nous séparaient de notre retour à Paris, passèrent trop vite à mon gré. J'avais déserté l'alcôve qui m'était dévolu habituellement, et m'étais « définitivement » installé dans le lit conjugal. Sans exagération, nous baisions au rythme de deux à trois coups, l'après-midi, autant et même jusqu'à cinq fois la dernière nuit!

Ultime détail, j'avais rapidement vaincu ses réticences, sur « l'embouchage » et obtenu d'elle qu'elle me suce entre deux « coups » ce qui m'aidait à reprendre la « vigueur » pour l'assaut suivant. Toutefois ce ne fut qu'après le cinquième coup de cette dernière nuit de vacance que je trouvais la force, de lui maintenir fermement la tête sur mon sexe qui la pénétrait de toute sa longueur pour l'obliger à déglutir mon sperme. Je ne la libérais qu'une fois certain, qu'elle eut bien « avalé la fumée » suivant l'expression que j'avais entendu de la bouche des plus âgés de mes copains.

 

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Par maxime
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Lundi 12 janvier 1 12 /01 /Jan 14:02

11bnbnbhj Mon fils, Pierre, a toujours été le plus grand amour de ma vie. Je ne suis pas la seule mère à qui ça arrive. Mais la plupart du temps cet amour n'a rien de sexuel. Dans mon cas, oui. J'ai envie de lui faire l'amour chaque fois que je le vois, chaque fois que je sens sa présence, j'ai le goût de me déshabiller, de lui montrer mon corps et l'accueillir entre mes jambes. Pierre est le plus beau des garçons. Depuis qu'il a atteint l'âge adulte, je cherche un moyen de lui dire, de lui démontrer que je ne suis pas qu'une mère, mais une femme. Une femme en quête d'affection. Un seul geste de sa part et je lui ferais l'amour sur le champ.

Je l'ai surprise l'autre jour alors qu'il se faisait une fleur en regardant des films pornographiques sur son ordi. Il ne s'est jamais rendu compte de ma présence. Je l'ai vu jouir, cracher son foutre sur son corps de rêve. À la vue de son sperme expulsé de son pénis d'adulte, j'ai joui à mon tour. Qu'il est loin le jour où je chageais ses couches. J'aurais aimé m'introduire dans sa CHAMBRE, me glisser sous son bureau et m'emparer de son sexe. Je lui aurais fait la plus mémorable fellation de sa vie, mais je me suis retenue. Mais aujourd'hui, vêtue de ma plus jolie robe, je l'attends. Et lorsqu'il sera à mes côtés, je ferai en sorte qu'il me désire et qu'il vienne à moi. Je suis résolue à lui dire ce que je ressens pour lui. Je ne sais pas encore comment il prendra cet aveu, mais une chose est sûre, je ne peux plus garder ça en moi. Je préfère un rejet de sa part, plutôt que de vivre éternellement avec le fardeau que représente ce secret non dévoilé. Parfois je m'interroge sur ses sentiments envers moi. Si l'adage qui dit que la pomme ne tombe jamais loin de l'arbre, il y a fort à parier qu'il éprouve des sentiments envers moi semblables à ceux que j'éprouve pour lui.

Soudain, j'entends la porte d'entrée qui s'ouvre. Aussitôt, mon cœur s'emballe. Il redouble d'ardeur lorsque le son de la voix de Pierre retentit à mes oreilles.

--- Maman... je suis à la maison.

Il fait irruption dans la cuisine, où je me trouve. Il m'observe d'un air intrigué.

--- Bonjour maman... tu es en beauté... tu attends quelqu'un ?

--- Te t'attendais, mon garçon.

Il esquisse un sourire. Du coup, je me dis qu'avec un tel sourire, il doit faire craquer plus d'une fille. Je lui souris à mon tour.

--- Quoi... qu'est-ce que t'as... t'es tout drôle.

--- Rien... je te regarde me sourire et je fais de même. À quoi tu penses ?

Il prend une longue pause avant de répondre.

--- Il y a des choses dans mes pensées que je me dois de garder dans ma tête.

--- Comme ?

--- Je te le dis... il y a des choses qu'on doit garder pour soi. Si je te le disais, tu te fâcherais.

--- Essaie toujours.

Il hausse les épaules et son visage devient écarlate.

--- Alors... à quoi pensais-tu ?

--- Je pensais à Simon.

--- Simon ?

--- Oui... Simon, le gars avec qui je JOUE au hockey.

--- Et puis ?

--- Il me disait l'autre jour que tu étais le genre de femmes, tus sais, une sorte de MILF.

--- Une quoi ?

--- MILF, mother I like to fuck. Une mère baisable, quoi !

Je m'approche de Pierre. Bien qu'il soit adulte, il est toujours pour moi un petit garçon. Un petit garçon avec un corps d'homme. Je le sens mal à l'aise. J'ose une question;

--- Et toi... tu me trouves baisable... tu crois que je suis une MILF ?

Il avale sa salive avant de balbutier une réponse;

--- C'est que, tu es ma mère, pas juste une mère... la mienne, quoi, pas celle des autres.

--- Et il y a des MILF avec qui tu aimerais baiser ?

--- Non... qu'est-ce que tu racontes? Il n'y en a pas d'autre.

--- Pas d'autre que moi ? Tu aimerais faire l'amour avec moi ?

--- Ce n'est pas ce que j'ai voulu dire.

Sur ces paroles, il quitte sèchement pour se réfugier dans sa CHAMBRE. Ce geste ne me surprend pas. Fuir l'adversité est plus simple que de l'affronter et Pierre, en agissant de la sorte exprime son impuissance à faire face à la situation. Qui de mieux qu'une mère pour comprendre comment son fil se sent ? Sans frapper, j'ouvre la porte de sa chambre et j'entre. Pierre est assis sur le lit et regarde par la fenêtre. Il ne se retourne pas et aucun son ne sort de sa bouche. Je m'assois à côté de lui et j'enroule mon bras autour de sa taille. Il dépose sa tête sur mon épaule. Je luis dis;

--- Tu sais que tu peux tout me confier, mon garçon.

--- Je le sais, maman.

Je l'embrasse sur le front avant de lui dire;

--- À quoi penses-tu en ce moment mon chéri ?

Je sens son cœur battre dans sa poitrine. Je le cajole, l'embrasse et lui dit combien je l'aime. Il me répond qu'il m'aime aussi, puis me sert très fort de ses longs bras musclés.

--- Allonge-toi, mon chéri et dis-moi ce que tu ressens.

Il s'étend sur le dos. Il a le même regard qu'il avait lorsqu'il était gamin. Je me souviens d'un jour où, rongé par la honte d'avoir volé des billets de banque dans mon portefeuille dans le but de s'acheter des friandises, il passa aux aveux alors qu'il était couché dans la même position. Sauf que là, il a le corps d'un homme. Un très beau corps d'homme. Je ne peux résister à la tentation de glisser ma main sous son chandail et caresser ses abdos. Ma main chaude sur sa peau lui procure une agréable sensation apaisante. Il ferme les yeux. Je continue en remontant jusqu'à ses pectoraux. Son corps se tortille sous mes doigts. Il pousse un soupir, puis me dit;

--- Mais, maman, qu'est-ce que tu fais ?

--- Je prends soins de toi, mon AMOUR.

Il dépose sa main sur ma cuisse et il dit en chuchotant;

--- Ho ! maman... maman !

En dedans de moi , je ressens un pincement au cœur. J'ai tellement rêvé de cet instant. Tellement souhaité me retrouver là à caresser sa chair. Je lui dis qu'il est beau et il répond en me disant que je suis belle. Je relève son chandail afin d'observer la beauté de son corps. Puis, je me penche vers lui et dépose mes lèvres sur son ventre. Des mots sortent de sa bouche. Des mots qui expriment à quel point il aime ce que je lui fais, mais aussi des mots qui expriment ses craintes vis à vis des actes que nous sommes en train de commettre. Mais je le rassure. Mes mots font l'effet d'un baume. Du coup, sa main se met à parcourir mon corps. Il n'hésite pas à fouiner à l'intérieur de ma robe, à mettre sa main sur ma petite culotte et à remonter jusqu'à ma poitrine. Lorsque je déboutonne son pantalon, il m'invite à poursuivre. Il m'aide à baisser son pantalon. Je hume son sexe à travers son caleçon. Un peu de préjus sur son slip témoigne de l'effet que lui procurent nos échanges corporels. Son pénis est bien dur. Son gland dépasse de son slip. Il est beau, bien rouge, gorgé du sang qui bout à l'intérieur de lui. Son pénis est appétissant, comme une fraise qui se laisserait fondre sous la langue. Mais j'hésite à me ruer sur ses parties génitales. Je fais une bise à son pénis avant de remonter le long de son corps en le couvrant de doux baisers. Je m'allonge face à lui et le regarde dans les yeux. Il est beau mon fils, mon AMOUR, mon amant. Il a mes yeux et les lèvres de son père. Ça me donne envie de l'embrasser. Comme deux amants qui font connaissance, nous effleurons nos lèvres doucement. Nous devons nous apprivoiser avant de passer à l'acte. Il est nerveux, ça se voit à sa respiration. Je me dois de le calmer, de le rassurer sur ce que nous nous apprêtons à faire ensemble. Lui faire comprendre via mes caresses accompagnées de mots bien choisis que ces actes que la société puritaine condamne sont en fait l'aboutissement de l'amour que nous partageons. Par son faciès, je devine que cela le gêne, mais je lui dis;

--- Je veux que tu sache que j'ai envie de toi et je sais depuis longtemps que c'est réciproque. N'est-ce pas que c'est réciproque ?

Il fait oui de la tête.

--- Mais, jamais je ne te forcerai à faire des choses sans que tu sois consentant. Est-ce que tu comprends ?

--- Oui maman.

--- Tu es tellement beau.

--- Toi aussi.

Nos lèvres s'unissent tendrement, puis se séparent. On se regarde dans les yeux. Il y a de la lumière dans les siens qui me laissent croire qu'il se sent bien.

--- Je t'aimes... tu es mon amour et j'ai envie de toi.

--- Ho! maman, je t'aime tellement.

 

 

En prononçant ces mots, il dépose une main sur ma chatte et l'autre sur un sein. Puis, nos bouches s'ouvrent et comme DEUX aimants, elles sont attirées l'une vers l'autre. Nous échangeons un baiser passionné. Celui-ci est suivi d'un deuxième, puis d'un troisième et ainsi de suite. Nos corps se tortillent l'un sur l'autre. Nos peaux se soudent. On se goûte. Nous avons l'impression que rien ni personne ne peut plus retenir la passion charnelle qui nous habite. Je perçois son membre sur mon ventre. Pierre est prêt à me faire l'amour sans retenue. Il m'aurait pénétré sur le champ, sans même enlever ses caleçons si je ne l'avais pas retenu en déposant mes mains sur ses hanches et en lui disant;

--- Laisse-moi goûter à ton sexe avant de me pénétrer, mon chéri.

Comme un bon garçon docile, il se couche sur le dos et me présente généreusement son sexe en érection. Il l'exhibe tel un paon déployant fièrement sa queue pour faire savoir qu'il est le plus beau. Je dois avouer que si l'intention derrière ce geste avait pour but de m'impressionner, c'est réussi, car elle est belle, droite, avec un gland bien ROND, gonflé à bloc et prête à l'action. J'imagine déjà l'effet que cette tête chercheuse me fera lorsqu'elle sera dans mon vagin et qu'elle exécutera des mouvements de vas et viens. Mais, avant tout, je meurs d'envie de la plonger dans ma bouche et l'amener le plus profond possible au fond de ma gorge. Lorsque mes lèvres se déposent sur le bout de son pénis, j'entends Pierre dire "ho, maman !". Puis, lorsque son membre glisse lentement dans ma bouche il ajoute ;

--- Haaaah, tu es la meilleure, maman.

Quelques secondes plus tard, alors que sa queue me caresse le pharynx, je l'entends grogner. Comme si sa queue n'était pas assez profondément enfouie dans ma gorge, il donne des coups de bassin à répétition. Mais son gland est trop gros pour parvenir à franchir mon pharynx. Heureusement, car je serais sûrement morte étouffée. Heureusement aussi que je contrôle bien les haut-le-cœur causés lorsqu'on pratique le sexe oral extrême, comme j'aime si bien le faire. Enivré par sa queue et par les gouttes de jus d'amour qu'il me laisse au passage, ma chatte se mouille et a envie de se faire lécher. Sans retirer le pénis de Pierre de ma bouche, je place mes cuisses entre sa tête et je lui offre ma vulve bien humectée de doux plaisirs. Pierre ne se fait pas prier pour me lécher le clitoris pendant que son pénis va et vient dans ma bouche à un rythme de plus en plus rapide. Il me lèche, introduit sa langue dans mon vagin, puis fait place à son majeur. Pendant qu'il s'occupe de mon clitoris, qu'il le suce tel un bambin qui tète le sein d'une mère, son doigt entre et ressort de mon nid d'amour. Soudainement, toutes sortes d'idées cochonnes me viennent à l'esprit. Je me sens complètement déchaînée. Littéralement, puisque les chaînes qui m'empêchaient de commettre les actes sexuels que nous sommes en train de faire mon fils et moi sont déliées à jamais. Nous nous abandonnons l'un à l'autre sans aucune gêne. Plus nous faisons l'amour et plus nous agissons en symbiose. Ainsi, tout naturellement, on se retourne en même temps. Je me mets sur le dos et j'écarte les jambes. Pierre se couche sur moi et il introduit sa langue dans ma bouche. Nous échangeons nos fluides. Sa langue goûte ma chatte et la mienne contient son jus d'amour. On se déguste langoureusement puis, Pierre dirige sa belle queue dans mon vagin et l'introduit en douceur. Quelle douce sensation de toucher à un corps aussi beau et aussi jeune que le sien alors qu'il me fait l'amour. Sa peau est si douce, si tendre, si ferme et savoureuse. J'adore lécher ses mamelons, caresser ses pectoraux à peine velus et faire promener mes doigts sur la peau de son ventre pendant qu'il me prend. Et il me prend comme un dieu. Il se donne entièrement à moi, avec force, mais avec douceur aussi. Il affiche un bon dosage de sensualité et de virilité. Sa peau ruisselle de sueur. J'ai envie de croquer dans sa peau. Incapable de résister à sa chair tendre, je le mords. Il en fait autant. Je me délecte ensuite de sa bouche, de ses lèvres et de sa langue. Je me sens comme s'il s'agissait de ma première expérience sexuelle à vie. J'ai envie qu'il me prenne de plus en plus fort. Je veux sentir sa queue me transpercer le corps, qu'elle me fasse mal jusqu'à me donner un orgasme. La ligne est mince entre le plaisir et la douleur et j'aime souffrir lorsque je fais l'amour. C'est quelque chose de viscéral en moi et je n'arrive pas à expliquer pourquoi. Toujours est-il que lorsque je demande à Pierre de me faire mal, il réagit en poussant son membre le plus loin possible dans mon vagin. Ça me fait du bien. Je lui dis de continuer. Pendant qu'il me fait l'amour avec de plus en plus d'ardeur, j'enfonce involontairement mes ongles dans sa peau. Son visage se crispe. Ses mouvements deviennent de plus en plus forts. J'aime ça et je lui fais savoir. Pierre pousse des cris de douleur. Lorsque je me rends compte que ces cris sont reliés au fait que mes ongles pénètrent sa peau et qu'il saigne, je relâche mon emprise, mais il insiste pour que je le serre à nouveau. Telle mère, tel fils, me dis-je. Lorsque je remets mes ongles sur sa peau tendre, il se remet à l'action. Plus je lui fais mal et plus il pousse sa queue au fond de moi. Je l'accompagne dans ses mouvements en faisant bouger mon bassin au même rythme que le sien. Ces mouvements frénétiques me font JOUIR à répétition. Chaque fois que Pierre me donne un orgasme, il ralentit, mais sans s'arrêter, pour unir ses lèvres aux miennes et m'embrasser langoureusement avant de se remettre à l'action. Il sait quand je suis le point de jouir et il sait quand je suis prête pour en débuter un autre. Il se retient, pour mieux jouir à son tour. Mais sa générosité a des limites. Après m'avoir donné trois ou quatre orgasmes, le dernier ayant été le plus intense de tous, il est prêt à éjaculer.

--- Ho ! maman... je vais JOUIR.

--- Oui, mon chéri... viens.

--- Ho ! maman chérie...

--- Viens que je te goûte, mon bébé... viens dans ma bouche.

Il se retire de ma chatte et amène sa queue près de mon visage. Pendant qu'il se fait JOUIR, j'attends patiemment l'expulsion de son sperme la bouche ouverte. Je l'encourage à venir en lui serrant les fesses. Il me dit;

--- Oui, maman, serre-moi les fesses. Griffe-moi avec tes ongles.

Mes ongles bien encrés dans sa peau, telle une tigresse, je fais descendre mes griffes sur ses belles fesses dures. Pierre se met alors à éjaculer. Il long jet atterrit directement sur ma langue. Un deuxième s'étend sur ma JOUE. Résolue à ne rien perdre de son jus d'amour, je mets son organe dans ma bouche. Pierre libère sa semence allègrement dans mon palais en exprimant son plaisir par des gémissements bien sentis. Jamais je n'oublierai le plaisir que j'ai ressenti pendant sa jouissance. Au bord de l'épuisement, Pierre se laisse choir sur moi. Je l'accueille entre mes seins. Nous demeurons ainsi pendant plusieurs minutes, à se cajoler mutuellement. À se serrer l'un contre l'autre, sans mot dire. L'ai embaumé par nos corps empreints d'amour enivre nos sens. Nous nous endormons tous les deux entrelacés. Je ne sais pas combien de temps nous avons dormi. Une heure, peut-être deux. Quoi qu'il en soit, à mon réveil, Pierre me caressait les seins. Dans ses yeux je pouvais lire qu'il voulait répéter les gestes que nous avions commis avant de nous endormir. D'une voix presque éteinte, il me dit;

--- Maman, je t'aime.

Je sais que c'est insensé, mais c'est plus fort que moi, plus fort que tout. Je l'aime aussi, et ce, autant comme fils que comme amant. "

 

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