Dimanche 18 janvier
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Ma grande soeur et moi-même n'avions jamais été très proches l'un de l'autre, mais nous avions parfois "des moments de franchise". Des moments ou on se posait les questions sur
des sujets que généralement nous n'abordions jamais. Elle approchait de la quarantaine et moi de la trentaine.
Cela faisait 4 mois
que j'étais marié, et j'étais heureux avec ma femme. Je suis marocain et c'est en allant en vacances au maroc que je l'ai rencontrée, dans un village reculé ou une petite partie de ma famille
vivait depuis des décénnies. Je suis pratiquement tombé amoureux d'elle au moment ou je l'ai vue. Physiquement, c'était une arabe "typique" : de grands yeux noirs, de longs cheveux noirs, une
taille de guepe. Une pricesse toute droit sortie d'un conte des mille et une nuits. Elle avait 19 ans et venait de passer son bac.
Il m'a suffit de
toucher quelques mots à mes parents pour que "l'affaire" soit arrangée et quelques mois plus tard, nous étions mariés. Latifa, puisque c'est son nom, n'avait pas refusé : je suis plutôt charmant
et la perspective d'une vie heureuse en suisse(puisque c'est là que je suis né et que je vis) avait dû la convaincre d'accepter. De plus, j'étais tout à fait sincère et ce que je souhaitais le
plus était de la rendre heureuse, et que ce soit réciproque. Je peux dire que jusqu'ici mes attentes étaient comblées.
Bref, tout allait bien
pour moi.
Même mes rapports avec
ma soeur s'étaient améliorés, bien que nous n'ayons jamais été ennemis, mais seulement distants.
En ce jour, je me
trouvais chez Aicha(ma soeur), et nous étions seuls : ses 4 enfants étaient à l'école et son mari travaillait, moi-même j'étais en congé payé et ma soeur était femme au foyer. Quant à ma femme,
je venais de la déposer au centre commercial, j'étais donc passé "dire bonjour" à ma soeur à l'improviste, préférant cela à une séance de shopping.
Nous étions dans le
salon, autour d'une théière fumante qu'elle venait de préparer et nous discutions de choses et d'autres, la télévision en fond sonore.
- Alors, comment ça se
passe avec Latifa, me demanda-t-elle en souriant, tout va bien?
- Oui, ça se passe
super bien, dis-je, enthousiaste. Même mieux que je ne l'aurais imaginé!
- Ah, c'est bien,
dit-elle, je suis vraiment contente!
Je vis qu'elle
hésitait à ajouter quelque chose.
- Et... sexuellement?
osa-t-elle m'interroger avec un large sourire, comme pour mieux faire passer la pillule.
C'est là que je
compris que nous venions d'entrer dans une phase "franchise". Cela ne me genait pas, bien que mes joues durent légèrement rougir.
- Ben, ça se passe
très bien aussi, dis-je, rien à signaler!
- Tu ne m'as jamais
raconté comment ça s'était passé au mariage, dit-elle.
- Tu étais présente,
que veux-tu savoir de plus!
Effectivement, elle
avait fait le voyage jusqu'au maroc pour assister au mariage. J'allais lui rafraichir la mémoire mais elle me devança :
- La nuit de noce, je
veux dire.
- Tout s'est bien
passé, dis-je. Pas de nouvelles, bonnes nouvelles!
Je me demandais si
elle allait avoir le culot de me soutirer des détails.
Mes craintes se
révélèrent fondées.
- Oui mais, a-t-elle
eu peur, ou mal? Elle était bien vierge, au moins?
J'avalai ma
salive.
- Elle était vierge,
et elle a eu peur et sûrement un peu mal aussi. Mais ça s'est bien passé, ajoutai-je, en espérant clore ainsi le sujet.
Peine
perdue.
- Tu l'as excitée en
la caressant avant de la pénétrer, j'espère!
- Oui, dis-je, à court
de mots.
- Tu as titillé son
clitoris?
Nous venions de
quitter la phase "franchise" pour entrer dans une autre dimension.
Dans cette dimension,
ma gorge était sèche.
-
Oui.
- Elle a aimé?
questionna-t-elle, sérieuse.
-
Oui.
- Elle était humide
quand tu l'as pénétrée?
-
Oui.
- Tu as éjaculé en
elle?
-
Oui.
- Tu veux encore du
thé?
-
Oui.
Comme le capitaine
Kirk et son ami Spock, il me faudrait des lustres avant de retrouver la planète Terre.
Je me rendis compte
que je bandais légèrement tandis que le thé chaud hydratait ma gorge.
Je fis mine de
m'interesser à la télévision alors que je n'avais strictement rien à faire des résultats de tennis.
Elle revint à la
charge.
- Vous faites souvent
l'amour?
- Plutôt,
oui.
Je compris qu'elle en
voulait beaucoup plus et je décidai de la prendre à son propre jeu, de l'ettouffer de réponses.
"Elle aime que je la
prenne par derrière, en levrette"
- Dans son ... cul?
hésita-t-elle.
- Non, elle n'aime
pas. Juste bien profond dans sa chatte.
J'avais hésité à
prononcer cette dernière phrase, mais après tout, elle l'avait bien cherché : on récolte ce que l'on sème.
Je vis son visage
rougir légèrement et c'est avec une mine bizzarement concentrée qu'elle posa sa question suivante :
- Elle
suce?
- Oui, dis-je avec un
bref sourire. Au début, elle ne voulait pas, mais depuis qu'elle s'est laissée tenter, elle ne peut pratiquement plus s'en passer.
- Eh bien! Qui aurait
cru ça!
- Et j'ai oublié de te
dire que je jouis à chaque fois dans sa bouche, et qu'elle avale jusque la dernière goutte.
- C'est
vrai?!
- Ben, si je te le
dis! En fait, la plupart du temps, elle ne suce pas vraiment : comme c'est une fainéante, elle reste couchée ou assise, et c'est moi qui fait tout le travail.
- Comment
ça?
- Ben, je me fais
aller dans sa bouche comme si c'était sa chatte et quand je sens que je vais jouir, je me cale au plus profond de sa bouche et j'éjacule. Je peux te dire qu'il ne se passe pas un jour sans
qu'elle ait mon sperme dans l'estomac.
- Et toi, ça te plait
ça?
- Bien sûr que ça me
plait, qu'est-ce que tu crois? Je vis le paradis tous les jours. Faut être un mec pour comprendre ...
- Qui aurait cru
ça!
- Pourquoi, tu
n'arrives pas à nous imaginer, moi et elle, entrain de faire ça?
- Ben, elle semble
tellement gentille, tellement douce, j'ai du mal...
- Ca n'empeche rien :
elle reste douce et gentille, mais elle aime se faire plaisir, c'est tout.
- Oui, c'est
vrai.
- Mais tu ne sais rien
encore de toutes façons...
- Ah oui!?
Raconte!
- Ah ah, tu veux
savoir, hein?
Je savais que je
pouvais lui faire confiance, que jamais elle n'irai repéter ce que je venais de lui dire. Nous avions déja quelques secrets que nous étions seuls à détenir, et jusqu'a maintenant, tout s'était
toujours bien passé.
Je bandais maintenant
assez puissament, heureusement que la table cachait la proéminence de mon jean's.
Je me doutais qu'elle
devait être dans un état similaire, peut-être sa culotte était-elle déja trempée.
- En fait, tu dois
savoir que plus le temps passe, plus elle devient passive. Comme quand je baise sa bouche, par exemple.
J'avais volontairement
utilisé ces termes : "baise sa bouche". Je cru remarquer que cela avait eu l'impact voulu. Elle était très attentive et buvait mes paroles.
"J'ai pris l'habitude
de lui caresser les seins à n'importe quel moment de la journée : quand nous sommes dans le canapé devant la tv, quand elle fait la cuisine, etc... Et il y a 2 mois, un jour au soir, pendant
qu'on regardait un film, j'avais glissé ma main sous son chemisier pour jouer avec ses seins. Je ne sais pas pourquoi, mais il me prit l'envie de lui pincer les
tétons."
- Et c'est
tout?
- Mais non, attend.
J'avais pincé assez fort, elle a sursauté et laché un petit cri. Elle a soulevé la tête pour me regarder. J'ai cru qu'elle allait m'engueuler, et je me préparais à m'excuser. Mais en fait, elle
n'a rien dit. Elle s'est juste peletonnée contre moi. Alors, j'ai recommencé. Je lui ai pincé l'autre téton. De plus en plus fort. Chaque fois que je la pinçais, elle prenait une courte
inspiration bruyante. Et voila, depuis ce jour-là, elle veut toujours que je lui pince les tétons.
- Eh bien! J'ai
difficile à croire ça! Ca te plait de lui faire ça?
- Pourtant, c'est la
stricte vérité. Et oui, ça me plait. Comme je suis un peu sadique, ça m'arrange, dis-je en souriant. Je lui ai déja donné la fessée, aussi.
- La
fessée?!
- Oui, jusqu'a ce que
ses fesses deviennent rouges, jusqu'à ce que ça lui brule. En fait, elle devient de plus en plus passive, de plus en plus soumise, et c'est pas pour me déplaire. C'est elle qui me demande de lui
faire tout ça. Et elle en veut toujours plus.
- C'est incroyable,
j'en reviens pas...
- Le fait est que je
deviens de plus en plus brutal avec elle quand il est question de sex. Mais ne te trompe pas, je l'aime profondément, et elle me le rend bien.
-
Brutal?
Je ne reconnaissais
plus le visage de ma soeur. Sa mine était un mix de curiosité, de trouble et ses joues étaient rouges.
- Disons que quand
j'ai envie d'elle, je me sers. Je l'ai déja sautée dans toutes les pièces de l'appartement. Maintenant, je lui donne la fessée avec ma ceinture. Je peux te dire que ça lui fait mal. J'aime baiser
sa bouche et la frapper en même temps.
- Et ça lui arrive de
pleurer?
- Dernièrement, j'ai
voulu connaitre ses limites, et là elle a pleuré. Faut dire que je m'étais laché.
- Raconte, dit-elle
dans un souffle.
- Je venais de rentrer
du boulot et elle était attablée, entrain de feuilleter un catalogue, je crois. J'avais passé une sale journée et j'avais envie de me détendre. Je l'ai embrassée longuement, puis je ne pouvais
plus attendre. J'ai baissé mon froc, je l'ai attrapée par les cheveux et je me suis enfoncé dans sa bouche. Je me souviens qu'elle a failli vomir, mais je m'en foutais royalement. Je crois bien
que j'avais inconsciemment décidé de passer mes nerfs sur elle. Je l'ai faite tomber de sa chaise en la tirant par les cheveux, puis je l'ai trainée sur un mètre. Elle était à genoux, et pour la
première fois, je l'ai frappée au visage. Je lui ai donné une claque dont elle doit encore se souvenir. Elle ne pleurait pas encore, mais je sentais les premiers sanglots arriver. J'ai continué à
lui baiser la bouche pendant quelques minutes, en lui tenant fermement la tête par les cheveux. Puis j'ai pratiquement arraché son chemisier, j'ai enlevé ma ceinture et j'ai cravaché son dos nu
jusqua ce que mon bras soit fatigué.
- Elle
criait?
- Oui. Quand j'ai
laché ses cheveux, elle s'est laissée tomber au sol, sur le coté. Elle s'est mise à pleurer pleinement. J'ai poussé sa hanche du pied pour la mettre sur le dos. Je l'ai contemplée un moment en me
branlant. Puis je me suis mis entre ses cuisses et je l'ai baisée. Je lui faisais mal aux nichons, je lui pinçais les tétons de toutes mes forces, ça la faisait se plier. Je l'embrassais, et je
sentais le gout de ses larmes. J'étais surexcité. Finalement, j'ai jouis sur son visage. Après quelques minutes, j'ai nettoyé son visage avec une serviette en papier, je l'ai soulevée et j'ai été
la coucher dans notre lit. Je me suis mis nu et je me suis couché près d'elle. J'avais eu peur d'avoir été trop loin, mais elle m'a rassuré en me demandant de la serrer très fort. C'est ce que
j'ai fait, et on s'est endormi.
Après un moment
d'hésitation, ma soeur posa une nouvelle question :
- Et qu'est-ce qu'elle
a dit, le lendemain?
- Pas grand chose. En
fait, on parle rarement de ces moments là. Si elle m'avait demandé d'arreter, j'aurais immédiatement arreté. Je commence à bien la connaitre : si elle ne dit rien, c'est que ça va. Mais sinon, le
lendemain, pendant qu'on préparait le diner, sans y penser, j'ai posé la main sur son dos. Ca l'a faite tressaillir, et par réflexe elle s'est écartée. J'ai soulevé son t-shirt et j'ai vu que son
dos était tout rouge. On voyait bien les traces de la ceinture, c'était gonflé par endroits. Je me suis amusé à taquiner ses blessures. J'ai vite commencé à bander. On est allé s'asseoir dans le
canapé et d'une pression sur la nuque, je lui ai fait comprendre que j'avais envie de sa bouche. Pendant qu'elle suçait, puisque j'avais son dos juste sous les yeux, je jouais à lui faire mal. Je
suis étonné par sa capacité de résistance à la douleur, mais je sais quelles sont les limites à ne pas dépasser, ne t'inquiète pas.
Ma soeur avait les
yeux baissés, semblant fixer un objet sur la table. Finalement, elle releva la tête.
- Elle doit vraiment
t'aimer pour se donner à toi comme ça.
- Oui, je crois,
dis-je en souriant. J'y ai déja refléchi, et j'en suis arrivé à la conclusion qu'elle aime simplement être possédée, dominée. Et pour ce qui est de la douleur, ça fait partie du jeu. Ca la
conforte dans l'idée qu'elle m'appartient. Mais de là à dire qu'elle aime vraiment avoir mal, je n'en sais rien. Je pense qu'il ne faut pas chercher à comprendre : il existe des gens qui aiment,
et d'autres non. En tous cas, ce qui est sûr, c'est que je me sens extrêmement proche d'elle. Et elle doit ressentir la même chose, je pense. Mais si un jour elle me demande d'arreter, de ne plus
jamais lui faire mal, j'arreterai, même si ça risque de m'être difficile.
-
Difficile?
- Oui, difficile. J'y
ai pris gout, qu'est-ce que tu crois? Latifa est une femme superbe et je l'aime à la folie. Tu ne peux pas savoir ce que c'est de lui faire toutes ces choses tant que tu ne l'as pas vraiment
fait. C'est vraiment un autre monde. Quand elle est tout contre moi, que je sens sa respiration chaude dans mon cou pendant que je claque sévèrement ses fesses avec le cuir de ma ceinture, que je
la sens tressaillir à chaque coup que je lui donne... Je ne peux plus m'en passer.
- Je
vois.
- Bon, maintenant que
tu sais à peu près tout de ma vie sexuelle, c'est ton tour!
- Il n'y a pas grand
chose à dire, dit-elle en souriant légèrement.
- Il y a toujours plus
à raconter qu'on le pense.
Elle souleva
légèrement une épaule.
Je n'allais pas lui
faire de cadeau.
"Tu
suces?"
Si elle était
surprise, elle ne le montrait pas.
-
Parfois.
- C'est quand la
dernière fois que tu as sucé?
- Je ne sais pas, ça
fait longtemps.
Après tout ce que je
venais de lui raconter, elle allait me faire l'affront de jouer à celle qui en dit le moins possible.
- Je suppose que tu
aimes la bite? Avec 4 enfants, le contraire m'étonnerait!
- Oui, mais je ne suis
pas comme toi, ou comme Latifa, j'aime les choses normales.
- Eh bien, dis moi ce
que tu aimes, alors.
Elle n'ajouta
rien.
j'allais tenter
quelque chose.
"Ca te dirait de
regarder, pendant que je la fais souffrir?"
Elle souleva la tête
et acquiesça.
J'avais touché quelque
chose.
"Je peux essayer
d'arranger ça"
- Tu es fou? Qu'est-ce
qu'elle va dire?
- Tu ne te montreras
pas, tu seras cachée. Tu nous verrais sans qu'on te voit. Que voudrais-tu que je lui fasse?
Elle hésita un court
instant.
- Fais-lui
mal.
- Comment? Frapper son
dos et ses fesses ou bien tu préfères que je m'occupe de ses seins?
- Fais-lui mal aux
seins.
- Je la ferai se plier
tellement je lui ferai mal, et puis je la ferai se mettre à 4 pattes, je m'assoirai sur son dos et je fouetterai ses fesses et ses cuisses. Je m'arrangerai pour que tu aies une vue parfaite de
son petit cul. Ca te plairait?
- Oui. Baise-la,
aussi.
La machine était en
route.
Je bandais si fort que
j'en avais mal.
- Tout ce que tu
voudras. Je peux aussi lui baiser la bouche, si tu veux.
- Oui, vite et fort.
Et lache tout ton sperme dans sa bouche.
- Et elle avalera
comme une gourmande, elle adore ça.
J'en rajoutais quand
même un peu.
"Imagine qu'elle se
rende compte que tu es là."
- T'es
fou!
- Imagine, simplement.
Imagine qu'elle fasse comme si elle ne t'avait pas vue. Imagine qu'elle est à 4 pattes entrain de me sucer, mais bien consciente de ta présence. Elle n'attendrait qu'une chose, c'est que tu
prennes la ceinture et que tu la frappes, j'en suis sûr. T'en aurais envie?
Elle fit oui de la
tête.
"Et on pourrait
échanger les positions : je la prends en levrette pendant qu'elle te lèche."
- Elle aime
ça?
-
Oui.
J'en étais pas
sûr.
"Tu pourrais t'amuser
avec elle quand tu en aurais envie."
- Je la ferai me
lécher du matin au soir. Je m'assoirai sur son visage pour qu'elle me lèche le cul et je lui pincerai les seins.
Je commençais vraiment
à avoir mal aux couilles, ça devenait intenable.
- Bon, on va arreter
de parler de tout ça.
- Pourquoi?
demanda-t-elle.
- Parce que ça
m'énerve.
- Ca
t'énerve?!
- Oui, je bande trop
fort depuis trop longtemps et ça m'énerve.
- Tu
bandes?
- Ben, oui. Pourquoi?
Ne me dis pas que tout ce qu'on s'est dit jusque maintenant ne t'a fait auncun effet.
- Si, un
peu.
- Un peu? T'es
mouillée?
-
Oui.
- Je parie que tu es
toute trempée!
Elle ne répondit
pas.
-
Montre-moi.
- Quoi? Que je te
montre ma bite?!
Elle resta
muette.
Il ne me fallu pas
longtemps pour me lever, malgré que je n'en croyais pas mes oreilles.
Je me mis debout à 2
mètres de ma soeur et sortis ma bite qui était tendue comme un morceau de bambou.
Je la tendis vers elle
et commençai à me branler doucement.
Ses yeux étaient fixés
sur elle.
Je fis un pas en
avant, puis un autre, pour enfin m'appuyer contre la table, à une trentaine de centimètres de ma soeur.
Je me branlais
doucement.
"T'en as envie,
Aicha?"
Elle me jeta un regard
rapide et reporta son attention sur ma queue tendue.
"Branle-moi"
Elle ne bougea pas
d'un poil.
Je pris sa main et la
portai à ma bite, puis j'imprimai un mouvement de va-et-vient. Je me mis à caresser sa joue de la paume de ma main libre, elle était brulante. Je passai mes doigts dans ses
cheveux.
Je me rendais compte à
quel point j'aimais cette femme, ma soeur. C'était bizzare et j'avais l'impression de ne rien controler. Comme dans un rêve incertain où le danger pouvait surgir à tout
moment.
Elle était belle, mais
je lui préférais de loin Latifa. Non seulement parce qu'elle était plus jeune, mais aussi parce qu'elle avait un physique à tomber par terre. Latifa était svelte, même un peu trop à mon gout,
tandis que ma soeur était largement en sur-poids. On devinait aisément les bourlets de graisse sous ses chemisiers et pulls qu'elle s'obstinait - me semble-t-il - à acheter une taille en moins.
Je ne l'avais jamais vue nue, du moins pas depuis très longtemps, mais je pouvais l'imaginer à poils. Elle avait des seins lourds en apparence, des fesses larges et des biceps
tombants.
J'étais de toutes
façons décidé à la déshabiller, le suspens n'allait pas durer longtemps.
Je caressai sa lèvre
inférieure puis j'introduisis mon index dans sa bouche.
Elle resta
inerte.
"Suce"
Après un moment
d'hésitation, elle commença à suçoter mon doigt.
"On
monte?"
Elle se leva
silencieusement pour se diriger vers l'escalier qui menait à l'étage.
Je la suivis, queue en
main. Mon coeur battait si fort que j'en vins à me demander, une demi-seconde, si c'était normal.
Arrivés dans la
chambre, elle se laissa choir sur son lit conjugual, un peu bordélique.
Trop conventionnel à
mon gout.
- Non, assieds-toi sur
le bord du lit.
Elle
s'exécuta.
Je fis glisser mon
jean's et mon caleçon sur mes chevilles puis j'approchai mon gland de sa bouche.
"Prends-la en
bouche"
Elle hésita, puis
léchouilla timidement le bout de mon gland.
Je dus m'approcher
encore pour que ma bite soit tout contre son visage. Sa langue devint plus énergique et elle parcourait maintenant mon sexe de la base à l'extremité.
Je fis voyager ma bite
tendue sur l'entièreté de sa face, tapotant par-ci, caressant par-là.
J'avais une envie
terrible et implacable de la dominer, et de le lui faire savoir.
"Prends-la en bouche
maintenant, et suce"
Je dus légèrement
forcer le passage, la résistance fut molle. J'étais enfin dans sa bouche. Elle amorça un mouvement de va-et-vient mais elle était maladroite.
Je me retirai et
soulevai son visage par le menton.
"Je ne dois pas sentir tes dents. Je ne veux sentir que ta
langue, tes lèvres et l'intérieur de tes joues. T'as compris?"
Ce disant, je réintroduisis sans ménagement ma queue humide
dans sa moiteur buccale. Au bout de quelques courtes minutes, le mouvement devint régulier et sa bouche était devenue très agréable.
"C'est bien, t'apprends vite, petite salope."
Je prenais mon pied.
"Fais-moi voir ces gros nichons que tu caches depuis si
longtemps"
Elle s'interrompit un instant pour enlever son pull si
étroit, ce qui fit se déverser sa double vague de graisse ventrale. Elle dégraffa ensuite son soutien-gorge et libéra ses 2 mamelles qui retombèrent mollement. Elle avait la peau très blanche,
trop blanche. On distinguait aisément les veines bleutées qui parcourait ses seins.
Je soulevai une de ces mamelles et la laissai retomber pour
en faire ressortir le côté flasque. Bien que flasques, ils étaient pourtant encore bien pleins. Ils ressemblaient plus à un ballon de rugby aplati qu'à un ballon de football dégonflé. Ils me
faisaient penser à des melons ovales très mûrs.
Je les pris tous 2 en mains et les soupesai. Aicha avait la
tête baissée et regardait mes mains palper ses mamelles.
"C'est des bons gros melons que tu as là"
Elle souleva la tête en souriant.
- T'aimes pas?
- Si, ça fond sous la main, dis-je en lui rendant son
sourire. Continue à sucer, ajoutai-je après une courte pause.
Elle reprit sa besogne et je cru détecter de l'enthousiasme.
Elle se remit à sucer presque méticuleusement. Comme soucieuse de bien faire.
Je pressais ses seins comme pour faire sortir le jus d'une
orange. Leur maléabilité était très agréable.
Mes pressions s'accentuèrent et je la fis sursauter en
geignant quand, sans m'en être vraiment rendu compte, j'enfonçai mes ongles dans sa chair molle.
Elle extirpa de sa bouche ma queue raide qui ruissela de
salive.
- Tu m'as fait mal! dit-elle en aspirant in extremis un
filet de salive qui tentait de s'échapper de sa bouche.
- Excuse-moi, lui dis-je. Je suis tellement habitué avec
Latifa. Ca t'a vraiment fait mal? Pourtant j'y ai pas été si fort. Faut dire que Latifa est tellement résistante. Je vais y aller doucement.
Elle reprit sa pipe mais semblait maintenant
vigilante.
Au bout d'un moment, j'en eu assez de sa bouche.
Je sortis ma queue de sa bouche et lui tapotai la joue du
gland.
"Allez, je veux ton gros cul maintenant. A
poils."
Elle se leva et commença à se déshabiller tandis que je
m'étais assis sur le lit sans avoir cessé de me branler. Quand le boudin eut fini son strip-tease, je lui demandai de rester debout, devant moi. Ses grosses cuisses tremblotantes étaient
surmontées de 2 énormes fesses dégoulinantes de graisse. Elle était dégoutante à voir, et elle devait s'en douter. La beauté de son visage n'était pas de taille à rivaliser avec la répulsion
spontanée que l'on pouvait éventuellement ressentir à regarder son corps informe. Sa peau blafarde, ses mamelles obscènes, son ventre éléphantesque, son cul et ses cuisses flasques pouvaient
donner envie de gerber. Pour couronner le tout, ses cheveux étaient en bataille.
J'affichais un léger rictus de dégout.
"Ca te dérange si je te dis que t'es une grosse
vache?"
Elle fit non de la tête, le regard vague.
"Je te le dis alors : t'es une grosse vache. Une truie avec
des grosses mamelles et un gros cul de vache qui devrait payer pour qu'on la baise."
Elle baissa les yeux et eut l'air d'un chien
battu.
"Amène ton gros cul ici."
Elle s'approcha.
"Ecarte les cuisses et penche-toi."
Elle était très poilue.
"Tu le rases jamais ton gros cul?" dis-je avec une pointe
d'agacement à moitié calculée dans la voix.
Elle ne répondit pas.
J'approchai mon visage de sa croupe et humai. Ca ne sentait
pas la rose, mais ça ne sentait pas mauvais non plus.
"T'as pris une douche aujourd'hui?"
Elle fit non de la tête après avoir hésité.
"Quand?"
- Hier.
- Mets toi à 4 pattes.
Il lui fallu un certain temps : elle n'était pas
acrobate.
J'écartai ses fesses pour mieux voir son anus et sa vulve
touffue. Sa chatte n'était pas toute fraiche.
"Combien de bites sont déja passées par là?"
- Une seule, dit-elle à demi-voix.
- Monte sur le lit et écarte bien les cuisses.
Elle y grimpa. La gravité attirait ses nichons et la graisse
de son ventre vers le matelas.
"Ecarte tes grosses fesses avec les mains."
Elle dut faire reposer ses épaules contre le lit.
Je la penetrai profondément d'un seul mouvement
puissant.
"Bouge un peu ta graisse, comme une pétasse. Ondule du
cul."
Elle se mit à tortiller ridiculeusement du
bassin.
Mes mains posées sur mes reins, je la baisais d'un mouvement
plutôt rapide mais régulier. Elle commençait à gémir faiblement. Chaque coup de bite que je lui donnais faisait vibrer son corps obèse.
Je me laissai choir sur son dos, lui faisant supporter tout
mon poids. Je pris ses mamelles en mains et les massai tandis que je baisais de plus en plus vite.
Ma bouche était à hauteur de ses oreilles.
"Tu vois, c'est comme ça que les chiennes se font baiser.
T'es juste bonne à sucer des bites et à te faire baiser comme une chienne. Grosse vache."
Je me lachais totalement. J'avais envie de la rabaisser plus
bas que terre, de lui faire ressentir une certaine douleur morale, qu'elle se sente possédée, complètement offerte, lui faire comprendre que c'était comme ça que j'avais envie d'elle. Je voulais
qu'elle se sente laide, sale, immonde, que devant moi elle n'ait plus de dignité. Lui faire comprendre que son cul et sa bouche m'appartenaient. Qu'à partir de ce jour, nos relations ne seraient
plus jamais les mêmes.
J'étais en bonne voie.
"Tu veux être ma petite salope? Ma petite pute? Mon sac de
graisse dans lequel je décharge mon sperme? Dis-le que tu m'appartiens, dis-le!"
- Je t'appartients, lacha-t-elle entre deux
gémissements.
- Petite pute!
Ce disant je lui donnai une gifle sur la fesse, puis une
autre, puis encore une autre.
"Ca fait longtemps que t'a pas été baisée comme ça, hein
dis-moi? Je suis sûr que ton mari ne te baise pas comme moi je te baise, comme une chienne en chaleur."
Je me sentais proche de jouir.
"Tu veux mon sperme dans la bouche?"
- Non ...
- Allez, tu vas aimer, tu vas voir. Laisse moi juter dans ta
petite bouche, allez!
- Non, s'il te plait, j'ai pas envie ...
- Bon, ok. Sur ta gueule alors?
- OK.
- Mets toi sur le dos.
Elle se retourna et j'allai m'asseoir sur sa poitrine, ce
qui fit qu'elle eut mes couilles tout contre sa bouche.
"Lèche."
Elle actionna sa langue tandis que je me branlais audessus
de son visage.
Mine de rien, je m'avançais de plus en plus, et j'étais
presque assis sur sa bouche. Je me demandais comment elle allait réagir. A ma grande surprise, elle n'eut aucune réaction particulière. Elle continuait à faire voyager sa langue. Elle léchait
l'intérieur de mes fesses, mais je remarquai qu'elle évitait soigneusement mon anus.
"Leche mon trou de cul, dis-je en me tortillant sur son
visage."
Elle finit par m'obéir et se mit à léchouiller mon anus.
C'était tellement bon de la sentir sous moi, sa langue fouillant mon cul.
Je lui fis plier les genoux, pour ainsi pouvoir m'appuyer
sur eux. Je fis aller et venir rageusement mon cul sur son visage, me souciant peu de son besoin respiratoire.
Finalement, je n'en pus plus, je me reculai et éjaculai 4 ou
5 giclées de sperme épais sur sa face. Elle en avait dans l'oeil, sur le nez, la joue, et une giclée s'était écrassée juste sur sa bouche, qu'elle avait fermé.
Je me laissai choir sur son ventre et l'embrassai à pleine
bouche, mêlant le sperme et nos salives. J'adorais faire ça. J'aime les baisers mouillés.
"T'inquiètes, tu vas apprendre à aimer mon sperme. Si ça ne
tenait qu'à moi, je te ferai déjeuner et diner au sperme."
- Ne dis rien à Latifa, me demanda-t-elle.
- Pourquoi? T'as plus envie qu'elle te lèche le cul? J'étais
sérieux, tu sais.
- Parce que je suis ta soeur et qu'on ne devrait pas faire
ça, personne ne doit savoir, jamais! Tu te rends pas compte?
- Ecoute : Latifa, je l'ai dans la poche, je suis sûr que si
j'abordais de temps en temps le sujet avec elle - sans parler de toi - et qu'au bout d'un moment on la mettait devant le fait accompli, elle se contenterait de suivre la marche.
- Non ... ne lui dis rien! Si tout le monde sait ce qu'on
vient de faire, ça va tout détruire.
- N'aie pas peur. Elle sait garder un secret. T'a-t-elle
déja raconté notre vie sexuelle, pourtant débridée? Jamais! Pourtant vous parlez souvent toutes les deux! Ecoute, je vais juste voir avec elle, essayer de diriger la conversation, pour voir sa
réaction. Je te jure de ne pas lui parler de toi tant que je ne suis pas sûr de sa réaction, ça te va? Il n'y a aucun risque.
Elle sembla pensive, et son mutisme me fit penser que je
l'avais convaincue.
"Allez, arrange-toi, moi je descend, Latifa ne devrait pas
tarder à arriver, elle m'a dit qu'elle allait revenir à pieds."
J'étais retourné m'asseoir devant la tv, m'étant servi un
verre de thé.
Aicha me rejoignit quelques minutes plus tard. Elle semblait
éviter mon regard, comme honteuse.
"Ca t'a plu? la questionnai-je."
Elle me tournait le dos.
- Oui...
- Assieds-toi.
Elle s'assit.
"Tu sais, je ne pense pas tout ce que je t'ai dit. C'est
juste ... que j'aime ça."
Elle évita encore mon regard et souleva brièvement les
épaules.
"Ca te plait, peut-être?" lui demandai-je.
- Un peu, ça m'excite.
- Moi, ça m'excite terriblement! dis-je,
enthousiasmé.
C'est à ce moment que la sonnerie de l'entrée
retentit.
"Ca doit être Latifa."
Je me levai pour aller ouvrir la porte.
Effectivement, c'était Latifa, portant deux sacs remplis de
ses achats au centre commercial.
"T'es déja là, mon coeur?" lui dis-je en la faisant
entrer.
Nous nous assîmes autour de la table.
"Justement, on parlait de toi!" lançai-je sur le ton de la
plaisanterie.
Ma soeur sembla me foudroyer du regard.
- Qu'est-ce que vous disiez? Du bien, j'espère!
- Bien-sûr, mon coeur, que veux-tu qu'on puisse dire d'autre
sur toi?
- Il me disait juste combien il t'aimait, Latifa! dit
Aicha.
Nous discutâmes de choses et d'autres. Latifa était égale à
elle même, mais ma soeur semblait réservée, surtout quand je prenais la parole. Elle laissait Latifa faire le gros du bavardage.
Finalement, ce fut l'heure de nous en aller. Latifa me le
fit remarquer.
- On y va? me demanda-t-elle.
- Oui, on y va.
En me levant, je dis à Aicha :
"Passe plus souvent nous voir, Aicha. Moi et elle on
s'ennuie, ces temps-ci."
Et nous quittâmes sa maison.
Chers lecteurs, le site nouveau est entrain de se faire
http://www.incest.over-blog.com/
Par maxime
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Bonjour,
il y aura-t-il une suite à cette passionante aventure avec la soeur ? vooir entre la soeur l'épouse et le mari ?