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Dimanche 18 janvier 7 18 /01 /Jan 18:19

Je suis fils unique. Mon père est Camerounais et maman, une Lyonnaise blanche. Lorsque j'avais à peu près 12 ans, mon père est parti, avec une Camerounaise, laissant ma mère seule avec moi. On s'est retrouvé, ainsi, tous les deux, notre vie devenait plus compliquée car ma mère gagnait bien sa vie et je ne manquais de rien, sauf de l’amour d’un père. Mais peu à peu j’apprenais à être moi-même le père de la situation à la maison. Ma mère était toujours très triste, depuis le départ de papa et elle pleurait souvent le soir. Quand je la voyais pleurer, je venais la prendre dans mes bras et on se faisait des petits câlins pour ne se réconforter ... rien de mal jusque-là. Puis, les câlins le soir sont devenus de plus en plus fréquents, même quand elle ne pleurait pas …

Un soir, en rentrant du travail, ma mère se plaignait d’avoir mal à la poitrine et elle disait qu’elle a du mal à respirer. Elle me demandait de passer du baume sur la poitrine pour l’aider à soulager la douleur. Ce que j’ai fait. Je mettais cette pommade dans la paume de ma main puis je commençais à frotter sur sa poitrine, sur ses seins donc. Dans une sensation étrange, j’ai senti ses bouts de seins se durcir. Je regardais ma mère pour essayer de trouver une réaction chez elle, mais elle fermait les yeux et ne manifestait aucune réaction. Au bout de quelques minutes, je suppose qu’elle se sentait mieux, alors j’ai arrêté la séance de massage pour retourner à mes occupations.

Ces séances de massage se renouvellent par la suite très fréquemment. Lorsqu’elle rentrait tard le soir, ma mère me demande de la masser la poitrine, le dos et le bas du dos. Elle enlevait le haut pendant le massage. J’avais quinze ans à cette époque, et j’éprouve une sensation à la fois gênée mais mélangée avec un certain plaisir. C’est étrange car à un certain moment, je ne vois plus la personne sur laquelle je passe ma main comme ma maman, mais comme une femme quelconque. C’est dans ces moments que j’éprouve un réel plaisir de faire ces gestes : je suis en train de caresser une femme tout simplement. Je pense que ce plaisir est réciproque car elle manifestait de temps en temps quelques gémissements pour me faire comprendre que cela la faisait du bien.

Tant que nous restions dans cette limite, cela ne nous posait pas plus de problème que ça. Ces séances de massage, c’étaient un petit jeu qui nous faisait du bien, surtout à ma mère qui commence à retrouver la joie de vivre. Cette situation a duré jusqu’à mes 16 ans et demi sans trop de souci particulier.

Ce qu’il faut savoir c’est que ma mère est la fille unique d’un grand commerçant de Villeurbanne. Elle avait fini ses études de médecine puis elle s’était engagée dans médecin du monde. Et c’est lors de l’un de ses voyages qu’elle a connu mon père au Cameroun.

J’ai découvert par la suite ses lectures. Des revus et des récits où il ne s’agissait que de noir avec des blanches. J’ai appris plus tard qu’avec mon père, elle s’adonnait aux plaisirs du sexe de groupe et que papa la donnait à des noir venant d’Afrique voir dans des foyers d’immigrés maliens.

Le » jours où j’avais appris cela par les photos que j’ai découvert dans une boite à chaussures déposée négligemment dans l’armoire de sa chambre j’ai eu un choc.
Bien sur ma mère s’en est rendu compte et à partir de ce moment-là, elle ne savait plus comment me prendre, est ce que comme l’enfant de la femme médecin, blanche ouverte sur le monde et ces choses des libertés sexuelles ou alors comme le nègre que j’étais finalement.

Je m’étais même mis à penser à ce qu’elle ait envie de la bite du noir que j’étais mais cela restais dans l’ordre des impossibilités.

A quelques jours de mes 17 ans, un soir, à peine passée la porte de la maison, ma mère m’annonçait qu’elle venait de perdre, un de ses patients, qui venait la voir régulièrement. Elle est tombée dans mes bras en pleurant. Voyant qu’elle était complètement épuisée, je l’amène dans sa chambre pour qu’elle se repose. Mais elle me demandait de rester un peu avec elle. Je suis resté et on a commencé à se faire des petits câlins comme on le faisait souvent. Mais ce soir-là, va marquer ma vie à jamais puisque ma mère a décidé d’aller plus loin. Les « câlins » ne s’arrêtaient plus aux visages et aux mains comme on le faisait avant mais ses mains allaient dans les endroits beaucoup plus intimes de mon corps. Ne voulant pas la contrarier, je me suis laissé faire et me suis pris rapidement au jeu. A mon tour, moi aussi je lui donnais des caresses dans les endroits qui sont normalement interdits entre une mère et un fils. Mais ce soir-là, rien ni personne n’était là pour nous rappeler à l’ordre, donc ce qui devait arriver est arriva.

Je ne sais pas combien de temps nous étions dans ces caresses intenses, tout ce que je me rappelle c’est qu’un moment nous nous sommes retrouvés nus tous les deux. Nous étions à ce moment-là simplement un homme et une femme dans le feu de l’action sans aucune retenue, à la recherche du plaisir. Je n’avais aucune expérience, je n’ai connu encore aucune fille avec qui je pouvais aller jusqu’à cette limite. Evidemment j’étais parfaitement maladroit dans l’action et j’avais du mal à « m’en sortir ». Alors que j’essayais désespérément mais je n’y arrivais pas, ma mère décidait de prendre les choses en main

_Vous êtes terrifiants…

_Qui ça, maman ?

_shuuuut, ne dit rien… Entre dans la couverture

Comme elle si voulait se mentir ! Comme si le fait de ne pas voir ses mains sui s’activaient sur la verge, déjà très grosse, n’était pas de l’inceste et il ne se passait rien.

Du haut de mes 17 ans je devinais que maman tentais de s’arrangeait avec sa conscience. Mais sont «  ne me regarde pas » ne laissait aucun doute là-dessus.

D’un coup j’ai senti une brûlure sur mon gland. C’était le coup de pinceau qu’elle avait entreprit contre l’entrée de sa vulve, toute baveuse et brûlante de désir. Nous avons ahané en même temps.

Elle m’a tiré vers elle qui s’’est mise sur le dos et sans me le demander, elle a gardé la couverture sur nous deux en dirigeant ma verge à l’entrée de son ventre. Avec mon poids, je me suis retrouvé dans e vagin maternel.

_Ahhhhh… Baise-moi, négro…

La dernière fois qu’une personne m’avait appelé comme ça ma mère s’est déplacé chez le directeur de l’école pour s’explique avec lui …

_Tu aimes ça les nègres mamans !
_c’est un nègre qui t’a envoyé dans mon ventre salaud

_lequel d’entre eux salope ?

_T’aimerais bien que je te dise que c’est un immigré malien hein, que tu es un bâtard en vérité ! Mais non tu es bien le fils de ton père et tu es entrain d’engrosser ta mère…

_ahhhhh je crache maman, je jouis dans ton ventre de blanche

_ Ouiii envois tout dans mon ventre mets-moi en cloque sale nègre

Le plaisir immense qui me procurait à ce moment-là m’a fait complètement oublier que la femme qui s’allongeait en dessous de moi était ma propre mère et je suis en train de lui faire un bébé A ce moment précis, et après avoir envoyé toute ma purée juvénile et épaisse  je pense que ma mère est revenue à elle car juste après, elle m’a poussé violemment hors d’elle et m’a demandé calmement en suite de sortir de sa chambre avant de se retourner face au mur, en position du fœtus. En sortant de la chambre, je me retournais pour regarder son corps nu, de dos, en me demandant ce qui m’arrive.

Cet événement a changé notre relation pour toujours. Nous avons arrêté net toutes les séances de câlins et nous n’avons plus jamais reparlé de cette fameuse soirée. C’était l’unique fois que nous avons franchi l’interdit. Par la suite, nous essayions de maintenir un rapport mère fils le plus normal possible dans l’année qui suit, puis je suis parti de la maison à mes 18 ans. Ma mère est décédée depuis, amenée avec elle une partie de notre secret.

Bizarrement, vous me croyez ou pas, mais je ne suis pas plus traumatisé que ça de cette expérience. Je trouvais cette expérience plutôt plaisante et depuis cette nuit, lorsque nous avons décidé d’arrêter tous les comportements incestueux, nous avions retrouvé la place de chacun. Aujourd’hui, j’ai une vie de famille tout à fait normale et lorsque ça m’arrive de penser à ma mère, c’est toujours avec un immense respect et amour, comme tous les fils peuvent penser à une mère. »

 

 

 

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Par maxime
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