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Jeudi 5 février 4 05 /02 /Fév 18:00

 

Je m'appelle Anne-Charlotte et je suis une blonde de 42 ans. Je mesure 1 m 66 et je suis un peu " potelée ". Je devrais avoir un peu honte de le dire, mais à l'heure où les femmes courent après les kilos en trop et cherchent par tous les moyens à les perdre, j'ai pris facilement 5 kilos après mon divorce il y a 2 ans et n'ai pas réellement cherché à les perdre.

 

Pour moi la vie de couple à été sexuellement désastreuse. J'ai aimé mon époux Rolland de mon mieux mais comme il n'était pas du tout porté sur la chose, je suis devenue comme lui une léthargique du sexe. Nos rapports se limitaient au mieux à un coït mensuel, le soir au lit, moi sur le dos et lui sur moi, sans préliminaire.

 

Bien sûr, nos rapports en sortie de mariage étaient un peu plus fréquents mais guère plus. Comme beaucoup de couples, la nuit de noce fut bâclée, et nous avons dû faire l'amour que six ou sept fois en deux ans. Puis est arrivé Jean-Edouard.

 

Nous avons vécu heureux, mon mari en se consacrant à son travail et moi en bonne mère au foyer à l'éducation de Jean-Edouard, puis deux ans plus tard à celle de Tristan, mon second fils.

 

Les années sont passées et hormis quelques rares soirs ou mon mari ayant bu un peu plus que de raison et me prit sauvagement, nos rapports se sont limités à grand maximum une trentaine en sept ans. Au fil du temps, ma libido extravagante d'adolescente était retombée proche du point zéro, et cela me convenait.

 

Après mon divorce, mon ex-mari à revendu la maison et avec ma part je n'ai pu nous acheter à Jean-Edouard, Tristan et moi-même qu'une petite maison isolée dans un village de la Picardie. Mais chacun y avait sa chambre.

 

J'ai trouvé un travail d'assistante dans une petite entreprise familiale située à 11 minutes de la maison ce qui me permettais de rentrer tôt et m'occuper de mes fils, de mes amours.

 

 

Il y a quelques mois, nous avons fêté les 17 ans de Jean-Edouard. Mon petit bout à bien grandi est plus grand que moi. Il a mes magnifiques yeux bleus mais la tignasse brune de son père. J'ai préparé une petite fête d'anniversaire et ai offert à Jean-Édouard un nouveau jeu pour son ordinateur. Je devais découvrir plus tard que ce n'était qu'un prétexte pour passer du temps devant sa machine à des choses que ma morale puritaine de l'époque était loin de pouvoir imaginer.

 

C'était un vendredi. Magie des RTT, je suis rentrée en début d'après-midi et après avoir fait le ménage au rez-de-chaussée de la maison, j'ai entrepris de ranger les chambres de mes fils. Bien sûr, celle de Tristan était emplie de ses jeux vidéu laissés à même le sol et à 15 ans, je n'avais toujours pas réussi à lui faire comprendre le bien fondé d'avoir une chambre propre. Il me fallut un peu de temps pour remettre de l'ordre dans sa chambre.

 

Vint ensuite le rangement de celle de Jean-Edouard. Un véritable capharnaüm. Des slips sales et des chaussettes partout... Il va entendre parler de moi... En nettoyant son bureau j'ai vu que son écran d'ordinateur était en " veille ". Ah Non !!! J’avais interdit que l'on laisse l'ordinateur allumé !

 

Je me suis assise face à l'écran et ai cherché à éteindre la machine... Alors voyons.. Comment ça marche... Ah oui... démarrer... documents... non... Soudain mon regard s'est figé. La petite fenêtre comportant les documents affichait le nom des documents dernièrement lu ou regardé par Jean-Edouard...

 

Mes yeux ont dû sortir de leurs orbites !!! Les titres étaient par trop

évocateurs de luxure et de sexualité.. chiennasse.jpg... anal042.jpg... outrée, j'ai cliqué sur chiennasse.jpg. Ah mon dieu !!! Quelle horreur !!! Devant moi, prenant tout la taille de l'écran, une femme mure, blonde et potelée se faisait prendre sauvagement en levrette par un garçon à peine pubère. Les détails de la photographie était obscènes et on voyait clairement le... le sexe du garçon s'enfoncer dans l'anus de cette femme pendant que sa bouche était envahie par un autre garçon qui lui tenait fermement la tête...

 

J'étais choquée... je savais que de tels clichés existaient mais jamais je n'aurai imaginé que mon petit Jean-Édouard puisse y avoir accès... Mon bébé d'amour, mon petit Jean-Édouard chéri regardait des horreurs pareilles... et sous mon toit !!!

 

Paniquée,  en essayant d'enlever cette " horreur " de sous mes yeux, j'ai cliqué sur un fichier sans regarder le nom... Un film s'est lancé sur l'écran. En voulant l'éteindre ou le masquer, je ne sais plus, j'ai fait sauter plusieurs chapitres de cette œuvre pornographique.

 

Attachée bras et jambes en croix, une infirmière couchée sur le dos, yeux bandés et la bouche obstruée par un bâillon, gémit sous les coups de reins d’un jeune éphèbe possédant un sexe énorme...

 

Trop... trop... cette pornographie jaillissant de nul part et se projetant devant mes yeux innocents de gentille mère me tétanise... Les yeux obnubilés par l'immonde horreur de cette pornographie, je recule en titubant presque... mon corps bute contre quelque chose et je me retourne... Jean-Édouard !

 

Mon fils est là, planté droit comme un i, et d'un regard froid et pénétrant il me toise de toute sa hauteur...

 J.. Jean-Édouard... Qu’est... qu'est-ce que c'est que... Que quoi... me dit-il  d'un ton glacé... Ce.... Ça !!! Dis-je en montrant l'écran en détournant mon regard...

 

Ça ??? C'est MA collection personnelle et je ne pense pas d'avoir donné le droit de regarder et de fouiner dans mes affaires non ??? M... Jean-Édouard... c'est... c'est immonde !!! Arrête ça tout de suite !!! Je t’ordonne d'éteindre...

 

Tu ne m'ordonnes rien !!! L'insolence de la réponse de Jean-Édouard ne fait revenir dans un monde que je connais. Le monde d'une mère qui sait ordonner à son fils et sait se faire écouter. Tu m'éteints ça tout de suite jeune homme et... Slllappppp... une magistrale gifle vient de m'envoyer voler sur son lit... Jean-Édouard se retourne et ferme la porte de sa chambre.

 

Tu n'ordonnes rien du tout... Je suis estomaquée. Je caresse ma joue brûlée par la violence de la gifle qui vient de me donner mon Jean-Édouard... Mon bébé chéri, l'amour de ma vie qui se retourne et s'approche de moi, sourire en coin. Alors ? On fouine comme une cochonne qui cherche de la bite ?

 

Je ne bouge plus... la violence de l'impact psychologique de cette phrase cloue mon esprit contre le mur de la honte... Ah tu veux te régaler ? tu veux voir ce que ton bébé sait de la vie ???

 

Jean-Édouard vient de m'attraper par le bras et sans force, je me laisse traîner devant l'écran de son ordinateur... Regarde salope !!! Jean-Édouard.... Je suis ta mère !!!!

 

Cela ne peut pas arriver... je suis dans un monde irréel. Je suis en plein cauchemar et je vais me réveiller. Mais déjà Jean-Édouard, souris en main lance les adresses internet de plusieurs sites sur son ordinateur... Les bannières provocantes fusent devant mes yeux !!! " Vieilles chiennes en rut pour jeunes mandrins "... " Mères défoncées par tous les trous "... " Inceste SM.... Elles Z aiment " !!! Je ne dis plus rien.. Ou plutôt je n'arrive pas à articuler un mot...

 

Les images défilent devant mes yeux et je suis pétrifiée. Jean-Édouard est fou et ivre de cette débauche qui s'étale devant nous... Regarde salope... regarde toute cette baise c'est beau hein ? Jean-Édouard... Non.... Arrête çà tout de suite... C'est.. C’est immonde...

 

Pourtant tu t'es régalée non le jour ou papa t'a engrossé hein ??? Je veux protester et cherche par tous les moyens à me soustraire de l'étau qui comprime mon bras. Je cherche à fuir, mais Jean-Édouard que je n'ai vraiment pas vu grandir est maintenant un jeune adolescent plus fort que moi et il me tient fermement... Taratata.. Tu restes là... Mate un peu... mate moi ces grosses pouffiasses qui bouffent de la queue... Jeaaannnnn...... Nooooooooonnnnnn... mes yeux sont embrumés par mes larmes et je gesticule pour me libérer...

 

D'un geste brusque Jean-Édouard me fait voler sur son lit et se jette sur moi... de tout son poids il m'écrase et attrapant mes poignets il me cloue sur le dos. Son regard n'est plus celui de mon tendre chérubin mais celui des hommes sur les images, qui ivres de désirs ne contrôlent plus leurs pulsions et laissent libre cours à leurs fantaisies les plus dépravées...

 

Jean-Édouard écarte de ses genoux mes cuisses et se plante contre mon bassin... malgré l'épaisseur de ma culotte, de mon collant, de ma jupe et de son jean je sens le sexe en érection se plaquer contre ma vulve. Tu sens ma bite salope ???

 

Jeannnnn... non !! Je suis ta mère !!!!! Ouaiiiiissss... et si tu savais depuis le temps que j'ai envie de te mettre !!!! Je n'ai pas le temps ni la force de réagir que Jean-Édouard défait sa ceinture et me ligote les poignets à sa tête de lit...

 

Il se redresse et me regarde... Ca t'a plus ??? T’as aimé voir les bites sur les images fourrer les chattes des grognasses ?  Je me mets à sangloter et le supplie... Jean-Édouard mon bébé... détache maman... s'il te plait... Jean-Édouard ???

 

Jean-Édouard ??? Mais Jean-Édouard ne m'écoutes plus... il défait les boutons de son jeans et en sort son sexe en érection. Ce petit bout de tuyau que je nettoyais quand il était bébé est maintenant un sceptre aussi gros que celui que possédait son père. Ce vil et abject objet avec lequel les hommes possèdent les femmes...

 

Que.. que... Oh non.. Noooooonnn.. Je réalise d'un coup  que Jean-Édouard est ivre

D’un plaisir que je ne connais pas... Celui de la luxure... Jean-Édouard non ne fais pas ça.... S'il te plait... Mais déjà ses mains se jettent sur ma chemise blanche et d'un geste violent-ils l'ouvre faisant sauter tous les boutons. Il voit mon soutien-gorge blanc et fait une moue de dégout...

Pas terrible ta lingerie... il faudra y remédier... Sa phrase a peine terminée, il abaisse les bonnets D libérant mes seins... Ouaaiiiiiiiiis... j'adore tes gros nichons !!!!

 

Je hurle. Jean-Édouard non !!!! Pitié ne fais pas ça... mais Jean-Édouard n'a aucune pitié... comment pourrait-il en avoir ? Je ne le reconnais plus... ce n'est plus mon petit bout... C'est un monstre qui attrape ma jupe et la remonte sur mon ventre...

 

Beurrrrk... des collants... crois-moi salope c'est la dernière fois que t'en portes... le Nylon craque, se déchire sous ses doigts et bientôt l'ultime rempart que constitue ma culotte blanche n'est plus qu'un souvenir également. Jean-Édouard l'arrache littéralement me faisant mal aux hanches et au pubis... Je suis dévoilée impudiquement et contre ma volonté aux yeux de mon fils.

 

Je crie et gesticule désespérément afin de ma soustraire à l'étreinte de mon fils. Mon cerveau croit encore que ce n'est pas lui qui agit mais quelqu'un qui le contrôle fils et le force a commettre cet acte...

 

Jean-Édouard ne te laisse pas faire !!!!! Au secours !!! Aidez-moi... mon bébé est fou... Mais Jean-Édouard n'écoute pas... Il attrape les restes de ma culotte et me les enfonce dans la bouche... Mmmmppppfffff... Je suis bâillonnée...

 

Malgré les larmes qui font couler le léger maquillage que je porte, je croise le regard de Jean-Édouard qui s'allonge maintenant calmement de tout son long sur moi... Je tremble et j'aimerais tellement lui dire que je peux l'aider... que le monstre qui est en lui.. On peut aller voir quelqu'un pour... pour... pour que mon bébé redevienne mon bébé...

 

Jean-Édouard ne bouge plus... je me calme... il approche sa bouche de mon oreille et me lécher délicatement le globe...

 

Ma chère et tendre petite maman me dit-il... je crois que ton bébé d'amour va se régaler et je suis sûr que bientôt tu réclameras ces moments tout le temps... Moments ???... Quels moments ....

Jean-Édouard glisse sa main entre nous il descend entre nos jambes...

 

Je réalise soudain qu'il vient de prendre son sexe en main et qu'il le frotte sur ma vulve poilue.

 

Je me mets a pleurer... j'ai beau crier dans mon bâillon, le supplier de se pas faire ce qu'il s'apprête à faire, rien n'y fait. Son gland vient de se positionner entre mes lèvres vaginales. Il m'attrape alors la tête et me fixe droit dans les yeux, s'apprêtant à violer toutes les règles de bien séance de ce monde... Regarde-moi dans les yeux salope... regarde-moi quand tu vas sentir ma queue te prendre...

 

L'irréel est là !!! Cela ne se peut pas... cela ne peut pas exister dans ma vie... et pourtant... lentement je sens Jean-Édouard pousser son bassin en avant. Son gland est en contact avec mon intimité et cherche à entrer. Mais je suis sèche. Mon corps est glacé et se refuse à cet acte contre nature ou un fils et une mère copulent... Le gland entre... millimètre par millimètre le sceptre masculin se fraye un chemin dans l'antre maternel et le visage de Jean-Édouard se crispe de douleur... Il s'arrête... oui.. il s'arrête.. Bébé vient de comprendre que ce n’est pas

bien.. Hein ??, il ne faut pas... maman ne dira rien... Maman aidera même son bébé à se soigner... Mais Jean-Édouard se raidit et replonge dans le lieu le plus interdit... Sale pute !!! T’es étroite !!! Putain c'est bon !!!! Le gland est maintenant tout en moi... malgré la sécheresse de la vulve, la plus abjecte partie de cet enfant que j'ai mise au monde, à qui j'ai donné le sein avec amour, la plus abjecte partie, son sexe, me pénètre...

 

Je suis secouée de spasmes. La douleur me brûle l'intimité. Mais Jean-Édouard s'arc boute et grimaçant continue de forcer son sexe à me prendre... sans lubrifiant, la pénétration est des plus douloureuse. Elle me rappelle l'enfantement. Mais cette fois ci l'enfant ne sort pas : il entre dans sa mère...

 

Sale chienne !!! T’es étroite a souhait !!! Putain t'es bonne !!!!! Dans un hurlement où se mêlent douleur et plaisir, Jean-Édouard se plante au plus profond  de mon vagin. La douleur physique mais surtout psychologique est intenable... Je suis violée par mon enfant, mon petit bébé... mon petit Jean-Édouard qui jouait dans son landau... dans son parc... dans...

 

A nouveau la douleur dans mon intimité me tire des rêves dans lesquels je cherche à me réfugier pour me rappeler la vérité vraie... Jean-Édouard commence a ressortir son sexe de moi... L'absence de rapports depuis des années, a fait perdre à mon corps toute notion de sexualité et je suis étroite comme au premier jour si ce n'est encore plus... La première fois je désirais ce contact, mais là...

 

Je suis violée... Et par mon enfant... Le gland arrive enfin à la vulve qui s'ouvre... Jean-Édouard est ressorti de mon sexe, mais il reste planté là et me force a le regarder... Je t'ai dit de me regarder !!!

 

Reprenant son souffle il me ré-pénètre... Cette fois ci l'ensemble de son sexe coulisse en moi et me brûle comme si on venait de m'enfoncer un tison brûlant en moi... je sens son gland buter contre mon utérus... Sans sollicitation depuis des années, mon intérieur a repris ses dimensions juvéniles et mon vagin pourtant élargit par deux grossesses est redevenu étroit  mais surtout court. Toute la longueur du sexe de mon enfant n'est pas en moi...

 

Mais Jean-Édouard ne s'en soucie guère... il commence déjà à ressortir puis à re-rentrer en moi... La douleur s'estompe et je sens monter en moi un plaisir que je ne connaissais plus depuis des années. Mon intimité se lubrifie malgré moi... Putain de salope !!! Tu mouilles hein ???

 

Jean-Édouard retire son sexe et plonge un doigt en moi.. Mais ouaaaiiiiiiiis... t'es en train de mouiller ma cochonne !!!! Tiens sens... Jean-Édouard met son doit enduit de secrétions sous mon nez... c'est immonde !!!

 

Sens ta mouille sale truie !!! Ah ça joue les coincée du cul mais ça aime se faire fourrer hein ??? Jean-Édouard reprend son sexe en main et le re guide dans mon vagin... D'un coup

violent et en poussant un han il me pénètre entièrement me remplissant de toute

sa virilité.

 

Mon corps réagit de plus en plus à l'agression qu'il subit. Si mon esprit est révolté et que mon âme hurle de douleur en son fort intérieur, mon corps lui se donne à cette copulation contre nature en se lubrifiant et faisant parcourir mon corps de petites décharges électriques qui stimulent ma poitrine et donne à mes tétons une érection obscène...

 

Tu bandes des tétines hein ma salope.... ??? Ah ben putain ... t'es vraiment une cochonne de maman... Les mots orduriers dans la bouche de mon enfant qui révolteraient n'importe quelle mère dans ma situation font disjoncter mon inconscient qui stimule alors mon corps. Je sens mon vagin happer le sexe qui le viol et le " sucer " comme une enfant ferait d'une glace à la vanille un jour d'été. Mon corps tremble... la douleur est partie et pendant une fraction de seconde, je ne suis plus Anne-Charlotte, la mère de Jean-Edouard, mais un immense vagin assoiffé de sexe réclamant les coups de reins comme une génisse le jour de la prise par le taureau... Mon vagin se met à palpiter... mes yeux se ferment... je tremble !!!

 

Je suis secouée de spasmes violents... Jean-Édouard me pistonne comme un fou et hurle: Ouaaaiiiis jouis salope espèce de grosse pute tu prends ton pied !!! Hein ????

 

Je convulse littéralement... et m'évanouis presque... dans une sorte de bonheur et de plaisir refoulé... Jean-Édouard me donne maintenant des coups de reins secs et violents... ses mains tiennent mes fesses et il se plante en moi avec force... salope...salope… salope... tiens... tiens...tiens... ah putain... putain... je... je ..... JE JOUIIIIIIIISSSS.....

 

Le corps s'est raidi... Jean-Édouard s'est planté en moi... je sens de longues saccades inonder mon ventre... il jouit... il jouit en moi... et mon cerveau déconnecte et me ramène 14 ans en arrière, le jour où Rolland me prit pour assurer sa descendance et que sa petite graine fécondait mon œuf... mon ovule... j'étais mère..

 

Jean-Édouard roule sur le côté... Ha.. Putain c'était bon... Je suis ruinée... anéantie… Malgré la chaleur humaine qui emplit la pièce mon corps ressent le froid qui le caresse, livré au regard de n'importe qui entrerait dans cette pièce et découvrirait le spectacle déshonorant d'une mère attachée, les cuisses écartées, la vulve souillée de la semence d'un garçon de 14 ans couché à ses côtés...

 

Mais je n'ai pas le temps de comprendre ce qui m'est arrivé que Jean Edouard me détache les mains et m'attrape sans rien dire par mes cheveux... Viens ici... ouvre la gueule... Le sexe de mon bébé est toujours en érection... La vision se rapproche. Soudain il est devant moi.. Devant mes yeux... le gland frotte sur ma bouche et profitant de mon étonnement, il s'enfonce entre mes lèvres... Jean Edouard vient de me faire faire ce que jamais je n'avais encore fait... une fellation... Sa main appuie sur ma nuque... allez bouffe !!!! Le gland emplit ma bouche. Le goût est acre et salé...

 

La pression continue et lentement la tige maculée de sperme disparaît entre mes dents, frotte ma langue, mes joues et s'enfonce dans mon gosier...

Je manque de vomir et cherche à me dégager, mais a chaque haut le cœur, ma gorge se crispe et se détend laissant entrer plus de chair en moi et m'empale la gorge... je ne peux plus respirer... je hoquette, suffoque et enfin, Jean Edouard relâchant son étreinte, je peux déglutir et ressortir la colonne de chair de ma bouche...

 

La bouche bien ouverte, un filet de bave et de semence relie le fond de ma gorge au gland du sexe de mon enfant. Je n'ai pas le temps de voir autre chose que la colonne s'enfonce à nouveau en moi. Mais seulement dans la bouche... C'est bon grognasse... tu sauras piper comme il faut... en attendant, contente toi de me lécher le sexe... rend le propre...

 

Inconsciente, et sans aucune expérience, je fais rouler ma langue autour du gland et le long de la hampe...
Jean Edouard a ressorti son sexe devenu mou de ma bouche... Il se lève et remonte son pantalon sans me regarder...

T'es bonne et j'ai pris mon pied... merci maman... Ah au fait... va te laver... Tristan ne devrait pas tarder de rentrer du judo... ce serait dommage qu'il te voit ainsi...

 

Tu as 20 minutes pour descendre et préparer a manger... Jean Edouard quitte sa chambre... instinctivement, je couvre mes seins avec les restes de mon chemisier déchiré et rabaisse ma jupe sur mon intimité violée...

 

Je voudrais crier Salaud, mais mon cerveau ne peut pas cracher la rage qui est en moi sur mon fils adoré... je me recroqueville et pleure...

Dix minutes sont passées. Je me lève et vais à la salle de bain... mon bain est déjà coulé et sur le rebord de la baignoire il y a des huiles délassantes... je ne comprends plus... tout  a l'heure mon fils me violait et maintenant il est aux petits soins pour moi... le remords me dis-je...

 

Me délassant un peu la vision de notre coït revint à moi se projeter sur la pâleur du plafond comme un film... L'horreur de cet acte provoque en moi un triple sentiment... le premier... Mon fils m'avait violé. Je devrais rapporter ce crime à la police et... non... les gens diraient que c'est moi qui l'ai... et que c'est de ma faute si l'enfant a eu accès sur internet à toutes les horreurs qui ont forgé sa sexualité... j'ai un sentiment de culpabilité...

 

Le second sentiment est un sentiment de honte... honte d'avoir été prise... et par mon enfant... Ce n'est pas moi qui ai commis l'inceste... c'est lui qui... mais encore une fois la vision du jugement de la société se porte sur moi... Elle a du mal l'élevé... hahaha... Et enfin le troisième sentiment, le plus fort : j'en ai éprouvé du plaisir... J'ai

ressenti en moi naître cette envie.. Celle que certaines femmes se refusent à accepter mais qui germe en moi maintenant comme si la semence de mon fils faisait son travail interne... me féconder le cerveau lui faire admettre l’idée que le sexe, que la débauche donne du plaisir...

 

Mes mains couvrent mon visage... Non... pas ça... c'est... c'est sale me dit mon esprit puritain qui revient à la charge sauver mon âme... pas ça mon dieu... pas ça... aidez-moi...

 

Je me sèche, et je m'habille.. Non, pas le peignoir... Jean Ed pourrait... Je suis confrontée à une énorme et terrible réalité... que dois-je porter pour ne pas éveiller en Jean Ed... C'est de ma faute... ce qui s'est passé... une simple robe opaque noire qui couvre ma poitrine... jusqu'aux chevilles.. Oui.... Ne rien laisser voir...

 

Je suis redescendue quand la porte de la maison s'ouvre. Tristan se rue dans la cuisine et se jette à mon coup... Maman !!! Je ferme les yeux et le laisse m'enlacer. Dans l'encadrement de la porte je croise le regard de Jean Ed qui nous observe, sourire en coin... je détourne mon regard pour ne pas voir en ses yeux la flamme qui brille et pour ne pas avoir à assumer ce qu'il vient de se passer, là-haut, tout a l'heure...

 

Alors mon bébé... comment as été ta journée... ? Regarde le beau dessin !!! Oh oui... il est beau... Il te plait ? Oui mon chéri... va laver tes mains, on passe à table dans cinq minutes...

 

Je passe la tête pour voir que dans la salle à manger le couvert est mis... Jean Ed n'a pas chômé et agit comme si de rien n'était... Nous passons à table... je suis assise en bout de table et Jean Ed me fait face.

 

Les actualités déversent leur flot d'horreurs mondiales. Je croise plusieurs fois le regard de Jean Ed... il sourit...

 

Maman ??? Oui Tristan.... Tu as l'air... bizarre...

 

A ces mots, la vision de Jean Ed me dominant et me faisant l'amour se projette à nouveau devant mes yeux... je mens... Non rien mon bébé... maman pense a autre chose... Ben ça doit pas être de bonnes choses me dit Tristan...

 

Je regarde Jean Ed qui vient de poser sa fourchette et me regarde droit dans les yeux...

Si, si mon chéri.. C’est que maman dois résoudre un problème et qu'elle VA trouver une solution... Mange...

Je n'ai pas baissé les yeux...

 

Je veux que Jean Ed comprenne que ce qu'il s'est passé tout a l'heure est grave...me dis-je en moi même... L'adolescent reprend sa fourchette et mange...

En fin de repas, Jean Ed débarrasse et lorsque Tristan va pour l'aider je lui dis qu'il est tard et qu'il devrait monter se coucher...

 

Oui maman... Je monte avec toi... Quand à toi Jean Ed... je redescends dans quelques minutes... attends-moi... il me sourit et en me regardant droit dans les yeux il me lance... oh mais bien sur ma petite maman chérie...

 

Je discute avec Tristan de choses et d’autres en rapport avec son école et m'assure qu'il va s'endormir très vite et non pas jouer au jeux vidéo... Je redescends. Jean Ed est dans le salon assis sur le canapé... il ne me regarde même pas... Jean Ed, nous devons parler... Mais il ne lève toujours pas les yeux et regarde insensiblement l'écran... je me fige devant lui... Jean Ed... Oui ma chère petite maman me dit-il en souriant...

 

Nous devons parler de ce... qu'est-ce que tu regardes ???? Son regard va de mes yeux à mon... entrejambe... Sympa ta robe... puritaine a souhait...

Jean !!! Et en plus on voit en transparence dessous... Je suis tétanisée... transparence ???

Je baisse mon regard pour constater que je me tiens jambes écartées devant mon fils qui grâce à la lumière du téléviseur regarde entre mes jambes pour voir malgré l'opacité de ma robe se dessiner mes cuisses...

 

Lorsque folle de colère je relève mon regard pour sermonner Jean Ed, celui-ci se tient droit devant moi et m'attrape par les cheveux, me retourne et colle sa main sur ma bouche pour étouffer le cri de surprise qui s'apprête a sortir de ma gorge...

 

Ecoutes moi bien et très attentivement...

 

Mmmpppf...

Si tu veux crier... c'est sans problème et je dirais même que cela peut m'exciter... mais que dirait Tristan s'il se réveillait et qu'en descendant il trouve sa gentille maman à genoux en train de sucer son frère ou de le branler avec ses grosses mamelles de vaches??? Hein ????

 

En disant cela la main libre de Jean Ed remonte sur mon ventre et caresse ma lourde poitrine au travers de la robe...

Ne relâchant pas son étreinte sur ma poitrine, je sens son autre main lâcher ma bouche... je devrais crier... hurler.. Mais il a raison... mon Tristan, mon tout petit bout de 11 ans ne doit pas voir ça...

 

Voilà...c'est bien... Maintenant si tu veux parler on monte dans ta chambre puisqu'elle est à l'autre bout de l'étage, on s'enferme et l'on parle... tu es d'accord petite maman d'amour...

 

Je fais oui de la tête.. Jean Ed relâche son emprise et me pousse en avant... monte !

Je monte les escaliers suivi de près par mon fils aîné et je ne sens plus derrière moi le regard d'un jeune garçon de 17 ans attentif à sa mère d'un regard d'amour, mais celui d'un pervers détaillant le balancement de mes hanches dans l'escalier.

 

Arrivé dans la chambre, il referme derrière nous la porte et me pousse au milieu de la pièce...

Jean, nous devons parler !!!! Ce qui est arrivé cet après-midi est grave et... Je te suggère de baisser d'un ton... Tu ne voudrais pas réveiller Tristan non... ????

 

Oui... je... Je suis perdue, Jean Ed calmement vient de me donner un ordre et au lieu de jouer mon rôle de mère et remettre ce jeune freluquet en place, je lui obéis...

Non... tu... je.. Enfin nous devons nous rendre compte que...

Que je bande pour toi ma maman chérie... ??? Jean Ed vient de faire sauter les boutons de son jean et extirpe son sexe en demi érection devant mes yeux...

 

Jean, dis-je a voix basse... je te parle... Non, maintenant tu te tais !!! Il me toise droit dans les yeux et avance en caressant son sexe du quel je ne parviens pas à retirer mon regard... épouvante ou désir ?

 

Tu regardes ma bite hein cochonne ? Tu mouilles déjà ou je devrais le faire....

 

Jean... Jean non... pas... pas question... nous avons fait une bêtise... et... Oui maman... tu m'as fait faire une bêtise... Tu te rends compte ? Me laisser regarder et enregistrer sur internet des trucs que les petits garçons n’ont pas le droit de voir...

 

Mais... nooooon... je n'ai rien fait.... Moi je sais ma petite maman... mais que dirons les gens quand ils découvriront ce que tu n'as pas fait pour empêcher tout ceci d'arriver ??? Hein ???

Jean Ed est devant moi... je suis glacée... pétrifiée... Sa main se porte sur le devant de ma robe et un a un il défait les boutons de celle ci...

 

Jean.... Noooonnn....

Les larmes me montent aux yeux... je tente sans grande conviction d'empêcher mon fils de défaire les boutons, mais déjà mes épaules se dénudent... on devine maintenant le galbe de ma poitrine... pourquoi n'ai-je pas mis de soutien-gorge... le dernier bouton entre mes seins saute faisant tomber la robe noire à mes genoux. Je suis nue devant mon fils... instinctivement un bras recouvre ma poitrine pendant que mon autre main cache mon sexe.

 

Les larmes coulent sur mes joues... je me sens humiliée... il faudrait que je réagisse... maintenant... pour cesser tout cela... tout arrêter pendant qu'il en est encore temps...

 

Je... je vais crier... Jean.. Je vais hurler et réveiller Tristan...

Oh mon dieu dit Jean... Oh mon dieu... oui.. Crie pour le réveiller et qu'est-ce que c'est que ça ??? Jean tire de sa poche une enveloppe... il me la tend...

 

Estomaquée, je l'ouvre. Ce sont des photos... des photos sales... des photos de scènes... obscènes  !!!! Et zoophiles !!! Et sur les photos... dans des positions obscènes dégradantes et... et... le visage de la femme sur les photos... c'est moi !!!! Tour à tour prise par un chien, suçant un jeune garçon, puis Prise par deux garçons...

 

Bouche grande ouverte, à bout de souffle et choquée je ne bouge plus... plus un cil... Ah bien sûr, ce sont des montages photos... mais Tristan lui il ne comprendra pas et les commerçants non plus dans le village... la.... Laisse toi faire...

 

Jean m'attrape délicatement par les poignets et me fait asseoir sur mon lit... j'ai les yeux grands ouverts... ma bouche ne s'est pas refermée... vraies ou fausses... même mon cerveau ne sait plus penser... les photos ont été trop fortes  pour une femme " vertueuse " comme moi... j'ai l'impression que mon esprit est électrocuté... les détails scabreux de ces images défilent devant moi...

 

Et imagine que quelqu'un les dévoile sur internet ma petite maman... quel scandale... Je suis inerte... mon fils après m'avoir fait asseoir au bord de mon lit me fait basculer tout doucement en arrière... Snap !!!

Un flash puis un second puis un troisième crépite devant mes yeux... je suis aveuglée et je ne réalise pas ce qu'il se passe...

 

La comme ça... snap... snap.... Maintenant maman, tiens tes chevilles... Jean m'a relevé les jambes au-dessus de moi toujours couchée et sans comprendre j'obéis et attrape mes chevilles... snap snap.... La pause est des plus obscènes... snap... le fait de me tenir les chevilles écartes mes cuisses et je dévoile sans m'en douter mon intimité à l'objectif de la caméra... snap snap.... Maintenant avec deux doigts, fait un ciseau.. comme ça oui.. et écartes toi les lèvres... ouiiiii.. Montre-moi ton abricot juteux... snap snap... tiens ton sein avec l'autre main... snap.... Voilà....

 

Combien de flash viennent de crépiter ? Je n'en sais rien... je suis hypnotisée et mon cerveau m'arrive plus à se reconnecter avec l'esprit d’Anne Charlotte la puritaine, mère de famille, gentille maman dévouée à ses enfants.

 

Jean Ed pose l'appareil photo et délicatement s'assied à côté de moi... il me referme les cuisses l'une sur l'autre gentiment...

 

Les flashes m'ont réellement aveuglée. Je commence à revoir doucement...

 

Jean... Oui maman....

Qu'est ce... qu'est-ce que tu as fait ????

Des photos maman... Oh mon DIEU !!!!

Les photos que tu m'as demandé de faire alors que tu t'exhibes devant moi...

 

Oh mon dieu !!!!! Chuuuuut penses à Tristan ...

Prise au piège, je sens se refermer sur moi l'étau. JE pervertie mon fils et je

Le force à faire des... des trucs... Je me vois debout devant un tribunal... les jurés

ne sont autres que mes parents... ma sœur... mon frère.. Mon ex-mari... mes amies...

 

Tous me désignent !!! Je suis la violeuse, l’incestueuse!!!

 

Maman... maman ???? Ca va ????? Je sors de cet affreux cauchemar...

Oui... ??? Jean Ed est à côté de moi... je le regarde dans les yeux... pourquoi... ????

Parce que je t'aime ma petite Maman d'amour... et que tu es si belle...

 

Mais... mais mon bébé ... moi aussi je t'aime.. Mais nous ne devons.... Ne devons pas....

 

Jean Ed m'entoure les épaules et m'embrasse sur la bouche... sa langue entre dans ma bouche...je ne bronche pas... machinalement ma langue répond à la sienne et c'est une vraie pelle que nous nous roulons... snap... tenant à bout de bras son appareil photo, Jean Ed vient d'immortaliser cet instant...

 

Je suis perdue... Les juges et les jurés sont debout !!! Ils hurlent mon nom... les gardes m'attrapent, les télévisions du monde entier zoom sur mon visage et j'ai beau hurler que je suis innocente, tout le monde regarde la photo ou j'embrasse mon fils... Je suis une

Mère incestueuse... !!!

 

Jean Ed vient de me coucher sur le dos... il me remonte dans mon lit. Mon regard est perdu dans le lointain...

Je ne le sens même pas monter sur moi ni son sexe effleurer mes lèvres vaginales et malgré la lente et douloureuse pénétration je ne cherche même pas à me refuser à cette nouvelle étreinte incestueuse...

 

Il me prendra doucement et amoureusement sans me dire une seule obscénité... Seul son orgasme me fera tressaillir lorsque les jets de sa semence tapisseront mes parois vaginales... je ne jouirais même pas... mon cerveau et mon esprit étant trop liquéfiés par la perversité de la soirée qui se termine...

 

Ce qui m’attend n’est rien avec ce qui s’est déjà déroulé…

 

A suivre

 

 

Par maxime
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