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Dimanche 18 janvier 7 18 /01 /Jan 04:58

C’est un chouette DVD porno – super bandant – que nous regardons, ma mère et moi.
Du temps de mon père, lorsqu’ils désiraient voir ces films, mes parents me demandaient d’aller me coucher.
Je sais très bien, pour les avoir observés plusieurs fois à la dérobée, qu’ensuite, ils s’embrassaient et se pelotaient en continuant à regarder les scènes où des filles et des mecs à poil baisaient à couilles rabattues.

Depuis 2 ans que Papa nous a laissés tomber pour une merdeuse, maman se montre plus cool et cela fait plusieurs fois qu’elle tolère que je regarde des films pornos avec elle.

« Je sais très bien que tu les regarderas tout seul, si je te l’interdis… ! Me dit-elle.
.. Tu sais ce que c’est maintenant et je ne comprends pas qu’on fasse toute une histoire pour des gens qui font simplement l’amour… !
.. Il n’y a que les gros plans sur les sexes qui me dérangent… !
.. Et toi ? Tu aimes ça, mon grand ? »

C’est la première fois que Maman commente les images très crues que nous regardons. Un peu troublé par sa question, je bafouille :

« Oui, euh !! J’aime bien voir les chattes des nanas de près, on voit bien l’intérieur et je trouve ça très excitant ! ».
– Je me rends parfaitement compte que ça te fait de l’effet, rigole ma mère, en matant mon pantalon gonflé par ma bite en érection, espèce de vicieux !! »

Elle est un peu plus triste et je l’entends souvent soupirer devant des scènes d’amour à la TV. Ils baisaient beaucoup tous les deux et je suis certain que papa lui manque. Il m’arrive de me branler devant sa porte et d’aller l’écouter gémir pendant qu’elle se masturbe toute seule dans son lit. J’aimerais bien la voir faire, mais elle reste toujours enfermée.

Depuis que je suis tout gamin, elle adore s’allonger et poser ses jambes sur moi en me demandant de la masser et, surtout, d’insister sur ses mollets endoloris : « Allez, Serge, pense à ton boulot du soir, tu dois détendre ta Maman !! ».
Bien que mes massages dépassent rarement les genoux, ces derniers temps, elle se laisse beaucoup plus aller et je la trouve beaucoup moins pudique.
Est-ce ses longues branlettes solitaires qui l’excitent, mais elle n’a pas l’air de se soucier de ses légers déshabillés du soir, souvent retroussés très haut, ni de ses cuisses, parfois bien ouvertes qui me dévoilent effrontément des bouts de son ventre et de sa culotte.

Si maman s’est toujours pavanée dans la maison, en légers sous-vêtements ou petites nuisettes sexy, elle a toujours su maintenir une attitude si distante entre nous que je n’ai jamais été incité à tenter des gestes trop déplacés.
Elle sait très bien qu’après avoir contemplé ses cuisses et ses seins toute la soirée, je me branle comme un fou et que je balance d’abondantes décharges de foutre dans mes draps et sur mes pyjamas.
Plusieurs fois elle m’a parlé en me demandant de penser à prendre une serviette :

« J’en ai assez de changer tes draps et tes pyjamas remplis de sperme, mon chéri… !
.Je ne te reproche pas de te faire jouir, mais essaye de te soulager dans une serviette !
.Tu auras tout autant de plaisir et j’aurais moins de linge à laver… !! »

Je lui fais simplement remarquer que mon foutre arrive si brutalement et gicle si fort, que je n’ai jamais le temps de prendre quelque chose.

« Je mettrai une serviette de toilette sous ton oreiller, continue Maman, tu la sortiras quand tu commenceras à te masturber et tu pourras te vider dedans… !
.. Tu n’auras qu’à la mettre au sale le matin, après t’en être servi… !
.. Car je suppose, vu l’état de ton lit, que tu te fais aussi plaisir le matin ? »

Tout content de parler de mon foutre avec Maman, je lui réponds :

« Bien sûr que je me branle tous les matins, c’est là que c’est le meilleur et que je décharge le plus… !
– Bon ! Ça suffit, conclut ma mère, je trouve que tu t’excites un peu trop et que tu me regardes bizarrement, cochon !!
.. J’espère que tu as compris et que tu feras attention où tu jutes ! »

C’est quand même étrange ce deal tacite entre nous.
Lorsqu’elle me demande de masser ses jambes, elle sait très bien que je vais profiter de son relâchement passager et de ses tenues très légères, pour la mater.

J’ai le sentiment qu’elle se complait à me faire bander, sachant, en raison de nos liens familiaux, que cela n’ira pas plus loin. Je me dis qu’au fond, ma Mère se comporte comme une vraie bonne salope en manque de coups de pine, qui s’échauffe sans risque à mon contact, pour mieux se faire jouir toute seule.
D’ailleurs, les déshabillés de dentelle qu’elle enfile le soir, sont si fins et si largement décolletés, qu’ils conviendraient mieux pour recevoir son amant que pour se faire, soit disant, masser par son fils.

Dans ces tenues affriolantes, elle s’abandonne à mes massages, les yeux mi-clos, me laissant admirer, sans réagir, ses longues cuisses entrouvertes et découvertes si haut, que je peux voir la couleur de sa petite culotte. Tout aussi impudiquement, elle m’exhibe ses gros seins à peine cachés sous la dentelle. Mais si elle se dévoile aussi aisément, jamais je ne sens dans son attitude de véritable provocation.
Lorsqu’elle est bien détendue, je laisse mes mains remonter plus haut sur ses cuisses et caresser sa peau si douce, ce qui me procure des érections d’enfer.

Une fois où je ne pouvais plus contenir mes ardeurs, je lui ai même carrément peloté un sein, roulant la pointe entre mes doigts, jusqu'à ce qu’elle me demande d’arrêter.
Un autre soir, encouragé par sa passivité, j’ai moi-même soulevé sa nuisette qui me cachait trop sa culotte. Complètement exposée, elle m’a juste jeté un coup d’œil amusé en se laissant trousser sans rien dire.
Malgré l’envie qui me tenaille, je n’ai encore pas osé passer mes mains sous sa culotte et, à plus forte raison, sur sa minette.

Pourtant, ce soir, à un certain amollissement de ses jambes posées sur mes cuisses, je la sens encore plus réceptive que d’ordinaire. À tort ou à raison, je suis persuadé qu’elle est impatiente que je prenne l’initiative. C’est à moi, de lui faire comprendre que, bien qu’elle soit ma mère, je la désire vraiment !!!!
À force d’y penser, je me persuade qu’elle a les mêmes désirs pervers que moi, et que si je me lance, elle ne refusera pas de me laisser toucher ce sexe qui me fait fantasmer depuis si longtemps. 

Si, comme une bonne garce avide de sensations lubriques, elle ne bandait pas pour son fils, pourquoi chercherait-elle à m’exciter en m’exposant, chaque jour un peu plus, son corps largement dénudé par ses tenues affriolantes ?
Maman est à demi couchée sur le divan, le dos surélevé par des coussins, les jambes allongées, ses pieds posés sur mes cuisses et je caresse ses jambes comme d’habitude.

Emporté par l’érotisme des images qui passent sur l’écran, je chatouille langoureusement ses creux poplités, m’y attardant longuement, puis je laisse remonter mes mains sur l’arrière de ses cuisses. Sa peau est douce, lisse et tiède et je me laisse glisser presque jusqu’au pli des fesses.
Silencieuse et la respiration un peu rapide, Maman n’a pas l’air de s’offusquer de mes massages qui se sont transformés en caresses sensuelles.
Je ne sais pas si c’est l’effet de mes papouilles salaces, mais elle se met à gigoter, à replier une jambe, puis l’autre, à écarter et à resserrer brusquement les genoux, ce qui fait remonter son déshabillé au point de découvrir son ventre.
Maintenant persuadé que son complet abandon est bien dû à mes caresses érotiques, je décide à pousser mon avantage et de me lancer à la caresser franchement.

Pour m’échauffer encore plus, je la mate et comme la vue de sa culotte orange, sous laquelle se dessine nettement la fente de la moule, me fait bander, je ne peux m’empêcher de me toucher plusieurs fois la queue, comprimée dans mon short étroit.
Je ne vais pas me plaindre du beau spectacle qu’elle m’offre et je suis si captivé par son entrecuisse et par les caresses que je projette de lui faire que j’en oublie de regarder la télé.

Pourtant le film est vraiment bandant, car l’héroïne, une superbe jeune fille d’à peine 18 ans, pédale sur son vélo, exposant aux regards hallucinés des passants médusés, ses jeunes et gros seins dénudés pointant insolemment sous un corsage grand-ouvert.
Sa jupe légère, entièrement ouverte par le vent, dévoile impudiquement sa minette dotée d’une abondante toison brune naturelle, à peine recouverte par la dentelle arachnéenne d’un mini slip, plus symbolique qu’efficace.
Lorsqu’elle se soulève de sa selle, son merveilleux pétard oscille au rythme de son pédalage, présentant à tous, le trait du slip séparant les deux globes de ses fesses.

J’aperçois à peine les images salaces de la télé, les yeux scotchés aux cuisses évasées et à la moule maternelle de plus en plus visible sous le slip maintenant taché par une large trace humide.

« Dis-donc, petit cochon, tu veux que je t’aide, s’exclame Maman, ne te gêne surtout pas !
.. Le film ne te suffit pas, pour qu’en plus, tu te rinces l’œil en matant entre mes jambes ?
.. Ça te plaît tant que ça de voir la culotte et la craquette de ta Maman ? »

Elle fait mine de rouspéter, ma mère, mais elle n’a, cependant, ni refermé les cuisses, ni baissé son déshabillé. Sans répondre à sa question, je continue à caresser ses cuisses et n’écoutant que mes sens en ébullition, je remonte même bien plus haut, arrivant à sa culotte humide.

« Décidément, tu n’es qu’un petit coquin plein de vices, constate Maman, mais je dois reconnaître que tu me fais du bien en me caressant et que tu as réussi à drôlement m’exciter… !
.. C’est très agréable, tes papouilles, bien qu’elles soient plutôt cochonnes… !
.. Tu vas me promettre de ne pas trop exagérer, mon chéri, si je te laisse continuer un peu ?? »

Toujours muet, je glisse sous ses jambes pour me rapprocher de son ventre, entrouvre encore un peu plus ses genoux et je passe lentement mes deux mains sur ses cuisses, très haut, furetant d’un doigt coquin sur la fente de sa motte gonflée. Je palpe longuement sa connasse, enfonçant le tissu mouillé dans le sillonet insinuant plusieurs doigts sous la dentelle.

Maman s’offre, ses seins nus palpitant sous la dentelle, le ventre en avant, les jambes grandes ouvertes et à totalement oublié que c’est son fils qui la caresse. D’ailleurs, l’abondante mouille qui coule sur mes doigts et tache maintenant tout le devant de sa culotte montre bien son haut degré d’excitation.
Je décide de pousser aussi loin qu’elle me permettra et d’explorer le con maternel tant qu’elle me laisse faire.

À presque 18 ans, je n’ai pas souvent connu de pareille occasion et le côté pervers et interdit des caresses incestueuses que Maman accepte, m’empêchent de réfléchir. Nous ne sommes plus mère et fils, mais un homme aux sens exacerbés et une femme en manque de sexe qui s’excitent amoureusement.
Remontant jusqu'à la taille, je caresse longuement son ventre, m’attardant sur le trou du nombril et je saisis l’élastique de la culotte pour la descendre le long de ses hanches.

Sans ouvrir les yeux, elle me laisse la dénuder, soulevant légèrement les reins pour me faciliter la tâche. Le dernier rempart enlevé, je découvre un sexe rose aux grosses lèvres boursouflées, largement fendu et vierge de tous poils, si large, si profond et si beau que j’en reste muet.

« Profites-en bien, petit salaud, me dit-elle dans un souffle, je ne serai pas souvent aussi chaude que ce soir… !
.. C’est fou, mais tes caresses sur mes jambes et mes cuisses ont agi comme un aphrodisiaque !
.. À un moment, je croyais sentir les mains de ton père… !
.. Il y a si longtemps que je ne me suis pas laissé aller comme ce soir… !
.. Je suis complètement folle, tout mon corps s’ouvre et s’abandonne sous les caresses interdites que me prodigue mon fils… ! »

Puis, tandis que mes doigts remontent sur sa chatte et branlent lentement son énorme clito dressé :

« Oh oui, continue, mon chéri branle…, branle bien…, plus fort…, encore plus fort…, ramone-moi la chatte, mon fils…, fais-moi juter comme tu le fais avec tes copines…, oui !!! Fais-moi vite jouir… !
.. Ne t’arrête pas, mon bébé, astique bien le con de ta Maman…, fais lui mouiller sa moule, petit salaud…, fais-la bien couler, ta salope de mère… !
.. Oh, mon dieu, je n’ai même pas honte de me laisser fouiller la cramouille par mon fils…, je suis une sale pute, une catin vicieuse…, mais que c’est bon…, c’est trop bon…, mon dieu, je vais mourir… !!! »

Je n’en peux plus, je crois bien que je vais cracher dans mon slip, tellement je suis excité. Ma pine est raide et dure, mais j’ai tellement peur de briser le charme en interrompant ma branlette sur le con trempé de Maman que je n’ose pas la sortir.

« Attends, Maman, je vais me relever, je ne veux pas me juter bêtement dessus… !
.. Laisse-moi te bouffer la chatte et faire couler ton jus dans ma bouche… ! »

En un instant, nous nous sommes redressés. Comme deux sauvages, nous avons arraché nos derniers vêtements et nous avons plongé dans un voluptueux 69.
Ma bouche affamée dévore avidement ses chairs intimes délicieusement odorantes, tandis qu’elle a entrepris sur mon nœud, raide comme une barre de fer, une pipe goulue et profonde comme je pourrais l’attendre d’une habile putain et non pas de la femme qui m’a enfanté.

« Quelle biroute, mon lapin… ! S’exclame Maman, en relâchant ma tige un instant.
.. Je ne me doutais pas que mon bébé soit monté comme un âne !!
.. Elles doivent vachement se régaler, toutes tes petites salopes de copines, en s’enfilant un morceau pareil… !
..Tu vas voir, mon chéri, ça sera encore meilleur quand ta Maman fera juter, ta grosse bite !!!
.. Je vais complètement te vider les couilles, mon trésor… ! » Termine-t-elle, en embouchant sauvagement mon chibre dressé. !!!

L’intense excitation provoquée par nos incestueuses caresses ne nous permet pas de supporter longtemps le traitement que nous faisons subir à nos deux sexes échauffés.
C’est avec mille gargouillis érotiques, d’innombrables coups de reins saccadés et des gémissements étouffés par les merveilleux sucs que nous dégustons, que nous remplissons simultanément la bouche qui accueille nos abondantes liqueurs.

Nous restons longtemps emboîtés, la bouche encore engluée au sexe que nous venons de faire jouir, savourant notre plaisir, encore stupéfaits du déchaînement soudain de nos sens, mais avec au fond de la tête, une trace d’inquiétude pour la suite de nos relations familiales.

« Nous parlerons demain de ce qui nous est arrivé, mon grand… ! Me dit Maman.
.. Maintenant, allons nous coucher, tu m’as complètement tuée et je n’ai plus de force… !
.. Tu peux dormir avec moi, si tu en as envie, mais à condition d’être sage… !
.. Allez, ouste, au lit, mon chéri !!! »

Notre profond sommeil nous a lavé des douces fatigues de la veille. Lorsque je m’éveille, Maman me tourne le dos et j’apprécie la chaleur de ses fesses nues, appuyées contre mon ventre. Je frotte lentement le gland de ma bite érigée par une solide érection matinale contre la fente de sa cramouille.

« Enfin, tu te réveilles, me dit-elle, il y a un moment que je me colle à toi… !
.. Continue à m’échauffer, petit salaud, tu commences déjà à me faire mouiller… !
.. Enfonce tes doigts bien profond dans la chatte, mon chéri, martyrise-moi bien, j’ai envie de plaisirs sauvages, ce matin… !
– J’ai trop envie de faire l’amour à ma petite salope de Maman… !
.. Laisse-moi te piner et juter dans ta chatte maintenant !
.. Je te foutrai la main au fond de la cramouille après, si tu veux… ! »

Je n’ai qu’à exercer une petite poussée, pour que ma pine envahisse le con maternel. Bien abuté dans son vagin, je savoure cet ignominieux, mais délicieux inceste. Ses chairs intimes se sont ouvertes pour m’accueillir, lui arrachant un long frisson et de sourds grognements de plaisir.

« Tu me baises, petit con, tu baises la chatte de ta Maman !!
.. Comme j’ai honte de ressentir autant de plaisir pendant que mon fils enfonce son dard dans le trou par où je l’ai mis au monde… !
.. Pine, mon salaud, pine ta mère, pine-moi bien fort que je sente au plus profond de mon ventre la puissance de ta queue… ! »

Mes longs coups de reins cadencés barattent lourdement la chatte ruisselante de mouille. Maman me répond par de lascives ondulations de ses reins, me faisant pénétrer encore plus avant dans son vagin.

« Reste bien au fond, mon amour, hurle ma mère, je vais jouir…, c’est bon…, c’est si bon…, je jute, chéri… !
.. Tu me fais couler comme une fontaine, petit salopard…, mon dieu… !! Je pars, je jouiiiiiis… !!! »

Emporté par ce déferlement de plaisir, je la rejoins :

« Je viens, Maman, je viens moi aussi… !
.. Tu veux bien que je crache ma crème dans ton vagin, dis-moi, tu veux bien… ? »

Je n’entends pas sa réponse et mon foutre explose en myriades de puissantes giclées éclaboussant, tout au fond du vagin, l’utérus maternel. Je me déverse très longtemps dans ce ventre qui m’a porté, irrigant de ma jeune semence fertile, l’intimité maternelle.
Dans la fulgurance de mon plaisir, une pensée m’effleure, que je m’empresse d’oublier : « J’espère que Maman prend la pilule !! ».
Quel pied extraordinaire et comme, en comparaison, elles me semblent fades, les très rares baises avec mes copines.

« J’ai toujours su qu’un jour ou l’autre, nous ferions l’amour… ! Me murmure Maman, enfin remise de sa jouissance.
.. C’est ton père, lorsque je lui ai dit que je trouvais souvent tes draps tachés de sperme, qui a voulu que je te laisse voir mes seins et mes culottes… !
.. Mets-toi en nuisette et laisse-le te mater, me disait-il, en me baisant comme une brute, ça n’ira pas bien loin et puis ça m’excite que tu te laisses regarder par notre fils… !
.. Au moins, il bandera pour quelque chose et pourra se faire cracher en repensant à toi… !
.. Dès qu’il sera plus grand, je te promets qu’il te baisera, ma chérie, c’est même moi qui le lui demanderai… !
..Pourquoi crois-tu, maintenant qu’il est parti, que je te laisse caresser mes jambes jusqu’en haut des cuisses et que je fais tout pour t’affoler en portant des déshabillés et des strings de plus en plus impudiques ?
.. Depuis son départ, je pense sans cesse à toi pour étancher mes pulsions sexuelles et mon corps te réclame encore plus fort… !
.. Heureusement que tu es un homme, maintenant, car je n’en pouvais vraiment plus d’attendre que tu grandisses, mon chéri… !! »

Après plusieurs jours d’une merveilleuse vie de couple ordinaire, Maman se pose quelques questions. Si nos relations sexuelles et nos liens familiaux ne lui posent aucun problème, elle craint surtout que notre différence d’âge (27 ans) ne pose vite des problèmes insurmontables.

« Tu t’emballes vite, mon amour, faire l’amour à ta Maman est peut-être une chose très agréable, mais vivre aux côtés d’une femme de mon âge en est tout autre… !
.. Je pense que tu vas rapidement te lasser et retourner voir tes copines, ce serait bien normal… ! »

Je coupe court en lui disant que j’avais eu le temps de réfléchir et que pour le moment, je ne désire que vivre à ses côtés.

« Ne t’énerve pas, mon ange, très bien, je serai, donc à la fois, ta Maman et ta maîtresse, puisque tu le veux… !
– Non, je préfère que tu sois tout à la fois et dans n’importe quel ordre, ma mère, ma pute et ma femme… ! » Lui dis-je en riant.

Depuis un long moment, Maman est au téléphone avec ma sœur Laurence, qui vit à Lyon. Agée de 23 ans, c’est une grande fille très sympa et superbement gaulée, mais collée avec un vrai con que je déteste, qui travaille sur les chantiers et est en déplacement toute la semaine.

« Ta sœur arrive demain matin, m’explique Maman, elle s’est encore accrochée avec son abruti, mais qu’est-ce qu’elle attend pour le quitter… !
.. Il faudra être gentil avec elle et, surtout, très discret pour qu’elle ne s’aperçoive de rien pour nous deux… !
.. Elle a beau avoir les idées larges, j’ai peur qu’elle n’apprécie pas le côté pervers et incestueux de nos rapports familiaux, d’accord, mon amour ? »

Nous avons été attendre Laurence à la gare et arrivée à la maison, elle raconte ses malheurs à Maman :

« Je suis certaine que Bernard a une autre gonzesse… !
.. Certaines semaines, il me dit qu’il ne peut pas rentrer pour le week-end… !
.. Je l’ai déjà prévenu plusieurs fois que j’allais me tirer, mais il s’en fout… !
.. Cette fois, j’en ai ras le bol, si tu peux m’héberger le temps que je m’organise, je le laisse tomber… !
.. J’ai déjà contacté mon ancienne boîte et ils sont disposés à me reprendre… !
– Aucun problème, répond Maman, nous pouvons aller récupérer tes affaires quand tu veux et ici nous avons beaucoup de place, tu es chez toi, ma chérie… ! »

Un petit voyage à Lyon dans le meublé qu’elle habitait avec l’autre con et Laurence a retrouvé ses frusques et une ou deux babioles qui lui appartiennent.
Nous sommes assis au salon et Maman range la vaisselle dans la cuisine.

« Tiens compagnie à ta sœur, m’a-t-elle dit, et sois cool, elle ne doit pas avoir un gros moral… !
– Alors, gamin, me dit Laurence, en me toisant l’air narquois, content de pouvoir recommencer à mater sa grande sœur à poil sous la douche, en train de faire pipi ou dans sa piaule quand elle se déshabille ?
.. Ah…, tu as l’air tout surpris, tu croyais peut-être que je ne te voyais pas ?
.. Si tu as vu mon cul ou mes seins, c’est que j’ai bien voulu te les montrer, j’aime bien que tu me mates… !
.. Au fait, tu continues toujours à te rincer l’œil en faisant semblant de masser les mollets de Maman, petit cochon… ?
.. À force de la zieuter, tu dois connaître toutes ses petites culottes… !
.. Tu en es à combien de branlettes, mon salaud ?
.. Chut !! Nous en reparlerons tranquillement, Maman arrive, pas un mot devant elle, elle n’appréciera certainement pas… ! »

J’ai quand même le temps de lui dire : « Ne t’inquiète pas, elle n’est pas du tout comme tu crois, Maman, elle aime bien se laisser aller, parfois… !!! ».

Comme tous les mômes, je matais ma mère et aussi ma sœur, pour me palucher en imaginant tout ce que j’aimerais faire avec leurs corps dénudés. Laurence le savait, la garce, mais elle a continué à me laisser faire. Un peu salope, mais plutôt sympa, ma frangine !!!

« Ce soir, le frangin est de repos, c’est moi qui m’occupe de tes jambes, a décidé Laurence, installe-toi bien, Maman, ça va être du massage grand luxe !!
.. Ça va, tu es bien ? Tu me dis si tu aimes… ! »

Juste vêtue de son habituel déshabillé, Maman s’abandonne, les yeux mi-clos, aux mains de sa fille. Sous la douce caresse ses jambes s’ouvrent machinalement.

« Je comprends mieux pourquoi Serge avait tous les soirs la trique, s’écrie Laurence, avec tes cuisses et ta chatte sous le nez, c’était normal qu’il bande !
.. Tu ne trouves pas que c’est drôlement coquin, pour une Maman, d’étaler ses dessous pour exciter son fils… ?
– Et d’allumer son frère en ne fermant pas la porte de la douche ou de la chambre, ce n’est pas aussi très coquin, ça… ? Réplique Maman.
.. Je crois que nous sommes quittes, ma grande, nous aimons toutes deux que Serge nous contemple. .. !
.. Quel mal faisons nous, tu n’aimes pas ça, mon chéri… ? »

Ces deux garces me font bander et je pense qu’elles doivent s’en apercevoir. L’air certainement un peu idiot, je ne peux que répondre :

« C’est fantastique le pied que je prends quand vous me laisser vous mater… !
.. Vous avez toutes les deux des corps magnifiques et je vous aime… !
– Tu peux continuer tes caresses, ma chérie, ordonne Maman, on ne peut plus appeler ça des massages, je pense ?
.. Dis-moi, Serge, si tu nous mettais un DVD… ?
.. Je crois que celui que nous avons regardé ensemble doit encore être dans le lecteur… !
.. Tu vas voir, Laurence, pour fêter ta nouvelle vie de célibataire c’est le film idéal !! »

En allumant le lecteur de DVD, je tombe sur les premières images du film que nous n’avons pas retiré :

« C’est vous deux qui regardez ça… ? Demande ma sœur à Maman, en se marrant.
– Oui, nous l’avons regardé ensemble… ! Lui répond Maman.
– Et bien, l’ambiance a changé, depuis mon départ, s’exclame ma sœur, avant, tu n’aurais pas toléré que nous voyons des films de cul, à la maison !
– Il y a deux minutes, tu me reprochais de trop m’exhiber devant mon fils, maintenant c’est de lui faire regarder du porno que tu ne trouves pas normal… !
.. Qu’est-ce que je fais de bien, d’après toi ?
.. Serge a pratiquement 18 ans, c’est un homme, maintenant, décrète ma mère, il peut décider seul de ce qui est bien ou mal… !
– N’empêche, retrousser ses nuisettes pour que son fils se régale ou visionner des films de cul toute seule dans son salon, avec lui, je trouve que ça fait un peu vicieux et que ça craint, continue Laurence, tu n’as pas peur que ça dégénère ?
– Dégénérer, comment… ? Réplique Maman.
– Tu comprends très bien, poursuit ma sœur, comme tu le dis, Serge est un homme et de mater tes culottes ou ce genre de films le met en général dans un drôle d’état… !
.. Explique-moi, Maman, s’emporte Laurence, il se soulage comment, mon frangin ?
..Il se branle tout seul, c’est toi qui l’aides à jouir ou bien vous préférez faire ça ensemble ?
– Tu as du culot, ma chérie de nous poser cette question, balbutie Maman, pourquoi penses-tu que nous pouvons avoir ce genre de rapports ?
– Ne me prenez pas pour une idiote, s’écrie Laurence, j’ai vu le regard que Serge t’a jeté quand tu as dit que vous regardiez le film ensemble… !
.. Je n’ai pas de préjugés et ça serait même plutôt cool et assez excitant de penser que ma Maman et mon frère s’accouplent… !
.. Allez, vous pouvez bien me le dire, j’ai raison ? Vous faites vraiment l’amour ensemble ?
– Et bien oui, ma chérie, accepte Maman, ton petit frère et moi sommes amants depuis déjà deux semaines et nous n’avons pas du tout honte… !
..Je suis soulagée que tu le prennes si calmement, j’avais un peu peur de ta réaction… !
..Ton frère ne me quitte plus depuis notre première fois et ne va même plus voir ses amis… !
.. Il est jeune, tu sais, et inépuisable, nous passons notre temps à parler et à faire l’amour, je me crois revenue à l’époque de mes vingt ans… !
.. Je suis contente de pouvoir t’en parler et de constater que tu ne nous juges pas… ! »

Laurence a du vague à l’âme. Bien qu’elle soit soulagée de s’être débarrassée de son encombrant copain, elle reconnaît que son abstinence sexuelle lui pèse. Elle se montre très discrète et évite de nous déranger.

« Je suis navrée de voir ta sœur aussi triste, me dit Maman, tu devrais t’occuper un peu plus d’elle, mon chéri… !
.. Tu pourrais l’emmener faire un peu de shoping, ça lui changerait les idées… ! »

Moi, j’ai ma petite idée et je lui en fais part :

« En fait de shoping, je pense qu’elle attend surtout un bon coup de bite, pourquoi ne pas l’inviter, ce soir ?
.. Nous pourrions faire un bon trio, elle me plaît bien, ma frangine et après la mère, je me farcirais bien la fille !
– Tu es insatiable, mon chéri, admet Maman, mais je dois reconnaître que ma petite salope de fille est bien mignonne et qu’elle m’excite… !
.. Ça doit être le pied de se faire un petit plan lesbien incestueux avec sa môme… !
.. Ça me rappellera l’époque où j’étais en pension chez les frangines et où on se gougnottait entre gamines… !
.. Laisse-moi faire, mon grand, j’ai ma petite idée… ! »

Nous suivons plus ou moins les ébats du fameux film, mais Maman, dans un de ses habituels déshabillés suggestifs a posé ses jambes sur ma sœur et lui a dit :

« Ce soir, c’est à ton tour de me détendre, alors, masse-moi lentement les jambes et sois bien douce avec ta Maman, ma chérie !! »

Laurence joue le jeu et masse les jambes et les mollets maternels, remontant sur les cuisses encore cachées.

« Tu aimes, Maman, demande-t-elle, ça te plairait que je te retrousse et que je fasse la petite vicieuse ?
– Tout ce que tu veux, ma chérie, je suis à toi entièrement… !
.. Tu as vu ton frère, il faudra faire quelque chose pour lui, sinon il va exploser… ! »

La nuisette toute tirebouchonnée, ne parvient plus à cacher grand-chose du ventre offert ni des gros seins blancs de ma mère. Sous les caresses appuyées de Laurence, Maman se tortille en exhortant sa fille à encore plus l’affoler.

« C’est bon, ma chérie, roucoule Maman…, j’aime bien sentir tes doigts fouiller ma chatte… !
.. C’est bon d’être une grosse salope et de se laisser tripoter par ses enfants… !
.. Occupez-vous de moi ensemble, petits merdeux… !
.. Allez, viens, mon Serge, faites du bien à votre grosse poufiasse de Maman… !
.. Oui, mes amours, c’est très bien vos doigts ensemble dans mon con… !
.. Oh, bon sang… !! Que vous me faites du bien, petits salauds… !
.. Sors ta pine, Serge, je veux la sucer pendant que Laurence me branle le con… !
.. Putain, quelle famille de salopards… !
.. Oh oui ! Continue à étirer mon clito, espèce de pute…, écrase-le entre tes doigts…, serre le plus fort…, n’hésite pas, catin, étire-le… ! Allez, fais-moi mal…, ah, j’adore quand tu me fais souffrir !!! »

Sous les doigts habiles de ma sœur, la chatte maternelle se liquéfie peu à peu.

« Allons plutôt sur ton lit, demande Laurence, je ne suis pas à l’aise pour bien m’occuper de ta minette… !
.. Viens vite, Maman, j’ai trop hâte de m’allonger et de me faire bouffer le con par une salope comme toi ! »

Ma queue trempée de salive et toute raide à la main, je suis mes deux compagnes. Superbement nues et impudiques, elles se bouffent bruyamment le con tête-bêche, comme de véritables gouines voraces. Maman dégage la rosette de sa complice et la lèche langoureusement, se repaissant des goûts salés de l’anus plissé. Ne voulant pas être en reste, ma sœur écarte l’entrée de la rondelle et y introduit sa langue dardée.

Agenouillé derrière Laurence, je frotte ma bite contre son fion, juste au-dessus du visage maternel. Maman s’empare de mon paf et l’avale goulûment.

« Encule-moi, si tu veux, mais laisse Maman me faire minette, demande ma sœur, je veux lui juter dans la gueule, à cette pute ! »

Obéissant à son injonction, j’engouffre ma bite dans son sphincter, jusqu'à butter contre ses fesses.

« Connard, tu m’as fait mal au cul, s’exclame Laurence, ne pousse pas si brutalement et laisse-moi le temps de m’habituer à la grosseur de ton chibre… !
.. Voilà !! Tu vois quand tu veux bien faire doucement !!
.. Si tu m’en enfiles moins long d’un seul coup, je préfère… !
.. Vas-y par petits bouts et tu pourras entrer tout entier dans mon anus sans me faire mal… !
.. C’est bien, frangin, continue doucement…, pousse, chéri…, pousse encore…, rentre salaud…, vas-y, rentre tout…, allez ramone-moi comme au début… !
.. Oh putain, je jouis du fion…, vas-y…, .lime salaud…, lime plus vite…, plus fort… ! Ohlala, je jute…, je jute..., je jute encore… ! »

Je ne sais pas si elle jouit du fion, ma frangine, mais en tous cas, elle remplit la gueule de Maman avec sa mouille. Purée !! Qu’est-ce quelle crache, cette chienne, le visage de ma mère est inondé par son foutre. Ça ne l’arrête pas, Maman, et elle continue, de toutes ses forces, à bouffer l’abricot dégoulinant de sa fille et à lui arracher de véritables hurlements de plaisir.

Dès que mes deux goules en furie arrêtent leurs léchages de cramouilles, je rejoins Maman et j’enfonce voluptueusement mon chibre, tout juste déculé, dans son vagin béant et trempé.

« Ah oui !! Baise-moi, mon petit, s’égosille ma mère, baise-moi fort. C’est bien de garder ton foutre pour ta Maman, mon chéri… !
.. Fais gicler ta semence fertile au fin fond de mon vagin… ! »

Complètement dopé pars les triviaux encouragements maternels, je vide longuement mes couilles bien au fond du ventre accueillant de ma mère. Mes puissantes giclées fusent et fouettent les parois vaginales jusqu'à l’utérus. Putain, avec toute cette excitation, je lui ai filé une sacrée dose, d’ailleurs, elle m’en félicite.

« Je suis complètement folle à l’idée que tu vas me mettre enceinte, mon grand… !
.. Lorsque tu m’as baisée, la première fois, j’ai décidé que tu me ferais un enfant… !
.. C’est avant tout le côté plus qu’immoral, presque pornographique, de la pine du fils ensemençant avec son jeune et vigoureux sperme l’utérus maternel qui me fait beaucoup mouiller… !
.. En ce moment, je suis en pleine période fertile et je compte sur toi pour me tartiner l’intérieur du con, comme tu viens de le faire, plusieurs fois par jour… !
.. Si par hasard, ça ne marche pas, nous recommencerons le mois prochain ou un autre… !
.. Je veux un enfant de toi, Serge, je tiens à ce que tu sois près de moi pour élever ton fils… !
.. Tu entends, Laurence, j’ai décidé que ton salopard de frère allait m’engrosser… !
.. Tu te rends compte, c’est merveilleux, je vais porter dans mon ventre le fruit de mes amours incestueuses avec mon propre enfant… ! »

Je suis encore sous le coup des propos de Maman, ayant un peu de mal à admettre qu’elle désire vraiment que je l’engrosse :

« Je vois que tu as encore un peu de force… ! Me demande ma frangine, en me léchant amoureusement la pine.
.. Si Maman le permet, j’aimerais bien, moi aussi, me faire ramoner le con par mon petit frère… !
.. Viens, mon chéri, viens commettre un autre inceste, mais cette fois, avec ta grande sœur… ! »

Après m’être lentement introduit dans son ventre, je pistonne la cramouille encore bien dilatée de Laurence, Maman lui aspire le bout des seins en l’étirant démesurément. Ses doigts cochons furètent dans mon anus décuplant les sensations qui m’assaillent. Je baratte lentement la moule offerte, m’y enfonçant jusqu’aux couilles, puis en ressortant presque entièrement. Lorsque je sens les prémices de l’explosion de mon foutre, j’en préviens ma sœur :

« Je peux te cracher dans le con, ma chérie, tu prends la pilule ?
– Non, non, Serge, je n’ai aucune contraception, répond Laurence, mais vas-y, jute-moi dedans sans te gêner… !
.. Vous m’avez complètement retourné la tête avec vos folles idées de grossesses entre parents… !
.. Ça serait vachement bien si tu engrossais mère et fille en même temps… !
.. Avec Maman, nous n’avons qu’à nous partager équitablement tes décharges de sperme !!
.. Ça va être formidable, nous allons te faire chacune un bébé, comme cela nous aurons deux enfants qui seront tes fils ou filles, tes frères ou sœurs et tes neveux ou nièces, tout cela en même temps… !
.. Quel bordel ce sera pour s’y retrouver dans la famille… ! »

Elles ont tenu parole, mes deux salopes, non seulement elles se gouinent très souvent, mais elles ont continué à exiger que je leur foute mon sperme à tour de rôle.
Et ça a marché, car aujourd’hui, elles sont toutes deux enceintes jusqu’aux yeux, Maman de 7 mois et demi et ma sœur de 10 jours de moins.

Leur prise de poids et la rotondité de leur ventre ne les empêchent pas de se bouffer la cramouille et de juter comme de vulgaires traînées.
Si je ne peux plus chevaucher leurs ventres énormes, je les prends en levrette ou sur le côté et elles me demandent toujours de foutre ma verge dans leurs vagins maintenant dilatés et, bien que ce soit maintenant inutile, je continue à asperger de mon foutre, l’intérieur de leurs gros ventres habités.

La petite factrice d’à peine 30 ans qui nous porte le courrier, se joint souvent à nos folles séances de cul avec sa jeune sœur de 25 ans. Elles vont toute deux devoirs arrêter bientôt leur travail, étant, elles aussi, enceintes d’un peu plus de 6 mois. Pour notre plus grande joie, elles ont toutes deux décidé de venir habiter avec nous.

Si mes quatre salopes vicieuses passent le plus clair de leur temps libre dans d’interminables et salaces partouses lesbiennes, elles continuent néanmoins à me demander de leur remplir la cramouille à tour de rôle.
Pour, comme elles disent, ne pas épuiser le gisement, je réserve toujours mes éjaculations pour celle que je bourre en dernier.

Elles sont ravies de se voir enceintes et feront certainement d’excellentes Mamans.
Toutes les quatre ont déjà programmé, à grand renfort d’agendas et de calendrier, la date de conception du second enfant.

« Dans quelque mois, m’ont-elles prévenu, il va falloir recommencer à nous crémer l’utérus, nous voulons d’autres lardons, mon amour… !
.. Il faudra être prêt à nous foutre tout ton bon jus et à te montrer aussi efficace que tu l’as été cette fois !
.. Ne t’inquiète pas, tu n’auras pas besoin de nous niquer toutes les quatre à la suite,
nous établirons un roulement pour que tu reconstitues tes réserves de foutre et pour que tu nous mettes la bonne dose à chacune !!! »

Je ne vais jamais pouvoir reprendre mes cours avec ces goulues pendues à mes basques.

Fabricant incestueux de mouflets ou père de famille bizarre, c’est un métier, ça ???

Chers lecteurs, le site nouveau est entrain de se faire

 

  http://www.incest.over-blog.com/ 


Par maxime
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