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L'inceste vu par les yeux du plaisir.

Ceci est un blog pour vous donner une autre image sur l'inceste. celle du plaisir entre adultes et consentants. celle où l'on ne se pose pas de questions autres que celles qui nous ménent à la volupté. Nous ne voulons pas de conseils psychologiques ni de morale religieuse. De grâce, si le contenu vous choque ou ne vous plait pas passez votre chemin vers là où vous-vous sentirez mieux. Bienvenue aux commentaires de tous ceux qui veulent une améliorations et aussi au propositions voir récits et textes à publier. Bonne lecture à tous et à toutes et surtout laissez-vous emporter par le plaisir sans aucune résistance.

Maxime

Jeudi 5 février 4 05 /02 /Fév 18:00

 

Je m'appelle Anne-Charlotte et je suis une blonde de 42 ans. Je mesure 1 m 66 et je suis un peu " potelée ". Je devrais avoir un peu honte de le dire, mais à l'heure où les femmes courent après les kilos en trop et cherchent par tous les moyens à les perdre, j'ai pris facilement 5 kilos après mon divorce il y a 2 ans et n'ai pas réellement cherché à les perdre.

 

Pour moi la vie de couple à été sexuellement désastreuse. J'ai aimé mon époux Rolland de mon mieux mais comme il n'était pas du tout porté sur la chose, je suis devenue comme lui une léthargique du sexe. Nos rapports se limitaient au mieux à un coït mensuel, le soir au lit, moi sur le dos et lui sur moi, sans préliminaire.

 

Bien sûr, nos rapports en sortie de mariage étaient un peu plus fréquents mais guère plus. Comme beaucoup de couples, la nuit de noce fut bâclée, et nous avons dû faire l'amour que six ou sept fois en deux ans. Puis est arrivé Jean-Edouard.

 

Nous avons vécu heureux, mon mari en se consacrant à son travail et moi en bonne mère au foyer à l'éducation de Jean-Edouard, puis deux ans plus tard à celle de Tristan, mon second fils.

 

Les années sont passées et hormis quelques rares soirs ou mon mari ayant bu un peu plus que de raison et me prit sauvagement, nos rapports se sont limités à grand maximum une trentaine en sept ans. Au fil du temps, ma libido extravagante d'adolescente était retombée proche du point zéro, et cela me convenait.

 

Après mon divorce, mon ex-mari à revendu la maison et avec ma part je n'ai pu nous acheter à Jean-Edouard, Tristan et moi-même qu'une petite maison isolée dans un village de la Picardie. Mais chacun y avait sa chambre.

 

J'ai trouvé un travail d'assistante dans une petite entreprise familiale située à 11 minutes de la maison ce qui me permettais de rentrer tôt et m'occuper de mes fils, de mes amours.

 

 

Il y a quelques mois, nous avons fêté les 17 ans de Jean-Edouard. Mon petit bout à bien grandi est plus grand que moi. Il a mes magnifiques yeux bleus mais la tignasse brune de son père. J'ai préparé une petite fête d'anniversaire et ai offert à Jean-Édouard un nouveau jeu pour son ordinateur. Je devais découvrir plus tard que ce n'était qu'un prétexte pour passer du temps devant sa machine à des choses que ma morale puritaine de l'époque était loin de pouvoir imaginer.

 

C'était un vendredi. Magie des RTT, je suis rentrée en début d'après-midi et après avoir fait le ménage au rez-de-chaussée de la maison, j'ai entrepris de ranger les chambres de mes fils. Bien sûr, celle de Tristan était emplie de ses jeux vidéu laissés à même le sol et à 15 ans, je n'avais toujours pas réussi à lui faire comprendre le bien fondé d'avoir une chambre propre. Il me fallut un peu de temps pour remettre de l'ordre dans sa chambre.

 

Vint ensuite le rangement de celle de Jean-Edouard. Un véritable capharnaüm. Des slips sales et des chaussettes partout... Il va entendre parler de moi... En nettoyant son bureau j'ai vu que son écran d'ordinateur était en " veille ". Ah Non !!! J’avais interdit que l'on laisse l'ordinateur allumé !

 

Je me suis assise face à l'écran et ai cherché à éteindre la machine... Alors voyons.. Comment ça marche... Ah oui... démarrer... documents... non... Soudain mon regard s'est figé. La petite fenêtre comportant les documents affichait le nom des documents dernièrement lu ou regardé par Jean-Edouard...

 

Mes yeux ont dû sortir de leurs orbites !!! Les titres étaient par trop

évocateurs de luxure et de sexualité.. chiennasse.jpg... anal042.jpg... outrée, j'ai cliqué sur chiennasse.jpg. Ah mon dieu !!! Quelle horreur !!! Devant moi, prenant tout la taille de l'écran, une femme mure, blonde et potelée se faisait prendre sauvagement en levrette par un garçon à peine pubère. Les détails de la photographie était obscènes et on voyait clairement le... le sexe du garçon s'enfoncer dans l'anus de cette femme pendant que sa bouche était envahie par un autre garçon qui lui tenait fermement la tête...

 

J'étais choquée... je savais que de tels clichés existaient mais jamais je n'aurai imaginé que mon petit Jean-Édouard puisse y avoir accès... Mon bébé d'amour, mon petit Jean-Édouard chéri regardait des horreurs pareilles... et sous mon toit !!!

 

Paniquée,  en essayant d'enlever cette " horreur " de sous mes yeux, j'ai cliqué sur un fichier sans regarder le nom... Un film s'est lancé sur l'écran. En voulant l'éteindre ou le masquer, je ne sais plus, j'ai fait sauter plusieurs chapitres de cette œuvre pornographique.

 

Attachée bras et jambes en croix, une infirmière couchée sur le dos, yeux bandés et la bouche obstruée par un bâillon, gémit sous les coups de reins d’un jeune éphèbe possédant un sexe énorme...

 

Trop... trop... cette pornographie jaillissant de nul part et se projetant devant mes yeux innocents de gentille mère me tétanise... Les yeux obnubilés par l'immonde horreur de cette pornographie, je recule en titubant presque... mon corps bute contre quelque chose et je me retourne... Jean-Édouard !

 

Mon fils est là, planté droit comme un i, et d'un regard froid et pénétrant il me toise de toute sa hauteur...

 J.. Jean-Édouard... Qu’est... qu'est-ce que c'est que... Que quoi... me dit-il  d'un ton glacé... Ce.... Ça !!! Dis-je en montrant l'écran en détournant mon regard...

 

Ça ??? C'est MA collection personnelle et je ne pense pas d'avoir donné le droit de regarder et de fouiner dans mes affaires non ??? M... Jean-Édouard... c'est... c'est immonde !!! Arrête ça tout de suite !!! Je t’ordonne d'éteindre...

 

Tu ne m'ordonnes rien !!! L'insolence de la réponse de Jean-Édouard ne fait revenir dans un monde que je connais. Le monde d'une mère qui sait ordonner à son fils et sait se faire écouter. Tu m'éteints ça tout de suite jeune homme et... Slllappppp... une magistrale gifle vient de m'envoyer voler sur son lit... Jean-Édouard se retourne et ferme la porte de sa chambre.

 

Tu n'ordonnes rien du tout... Je suis estomaquée. Je caresse ma joue brûlée par la violence de la gifle qui vient de me donner mon Jean-Édouard... Mon bébé chéri, l'amour de ma vie qui se retourne et s'approche de moi, sourire en coin. Alors ? On fouine comme une cochonne qui cherche de la bite ?

 

Je ne bouge plus... la violence de l'impact psychologique de cette phrase cloue mon esprit contre le mur de la honte... Ah tu veux te régaler ? tu veux voir ce que ton bébé sait de la vie ???

 

Jean-Édouard vient de m'attraper par le bras et sans force, je me laisse traîner devant l'écran de son ordinateur... Regarde salope !!! Jean-Édouard.... Je suis ta mère !!!!

 

Cela ne peut pas arriver... je suis dans un monde irréel. Je suis en plein cauchemar et je vais me réveiller. Mais déjà Jean-Édouard, souris en main lance les adresses internet de plusieurs sites sur son ordinateur... Les bannières provocantes fusent devant mes yeux !!! " Vieilles chiennes en rut pour jeunes mandrins "... " Mères défoncées par tous les trous "... " Inceste SM.... Elles Z aiment " !!! Je ne dis plus rien.. Ou plutôt je n'arrive pas à articuler un mot...

 

Les images défilent devant mes yeux et je suis pétrifiée. Jean-Édouard est fou et ivre de cette débauche qui s'étale devant nous... Regarde salope... regarde toute cette baise c'est beau hein ? Jean-Édouard... Non.... Arrête çà tout de suite... C'est.. C’est immonde...

 

Pourtant tu t'es régalée non le jour ou papa t'a engrossé hein ??? Je veux protester et cherche par tous les moyens à me soustraire de l'étau qui comprime mon bras. Je cherche à fuir, mais Jean-Édouard que je n'ai vraiment pas vu grandir est maintenant un jeune adolescent plus fort que moi et il me tient fermement... Taratata.. Tu restes là... Mate un peu... mate moi ces grosses pouffiasses qui bouffent de la queue... Jeaaannnnn...... Nooooooooonnnnnn... mes yeux sont embrumés par mes larmes et je gesticule pour me libérer...

 

D'un geste brusque Jean-Édouard me fait voler sur son lit et se jette sur moi... de tout son poids il m'écrase et attrapant mes poignets il me cloue sur le dos. Son regard n'est plus celui de mon tendre chérubin mais celui des hommes sur les images, qui ivres de désirs ne contrôlent plus leurs pulsions et laissent libre cours à leurs fantaisies les plus dépravées...

 

Jean-Édouard écarte de ses genoux mes cuisses et se plante contre mon bassin... malgré l'épaisseur de ma culotte, de mon collant, de ma jupe et de son jean je sens le sexe en érection se plaquer contre ma vulve. Tu sens ma bite salope ???

 

Jeannnnn... non !! Je suis ta mère !!!!! Ouaiiiiissss... et si tu savais depuis le temps que j'ai envie de te mettre !!!! Je n'ai pas le temps ni la force de réagir que Jean-Édouard défait sa ceinture et me ligote les poignets à sa tête de lit...

 

Il se redresse et me regarde... Ca t'a plus ??? T’as aimé voir les bites sur les images fourrer les chattes des grognasses ?  Je me mets à sangloter et le supplie... Jean-Édouard mon bébé... détache maman... s'il te plait... Jean-Édouard ???

 

Jean-Édouard ??? Mais Jean-Édouard ne m'écoutes plus... il défait les boutons de son jeans et en sort son sexe en érection. Ce petit bout de tuyau que je nettoyais quand il était bébé est maintenant un sceptre aussi gros que celui que possédait son père. Ce vil et abject objet avec lequel les hommes possèdent les femmes...

 

Que.. que... Oh non.. Noooooonnn.. Je réalise d'un coup  que Jean-Édouard est ivre

D’un plaisir que je ne connais pas... Celui de la luxure... Jean-Édouard non ne fais pas ça.... S'il te plait... Mais déjà ses mains se jettent sur ma chemise blanche et d'un geste violent-ils l'ouvre faisant sauter tous les boutons. Il voit mon soutien-gorge blanc et fait une moue de dégout...

Pas terrible ta lingerie... il faudra y remédier... Sa phrase a peine terminée, il abaisse les bonnets D libérant mes seins... Ouaaiiiiiiiiis... j'adore tes gros nichons !!!!

 

Je hurle. Jean-Édouard non !!!! Pitié ne fais pas ça... mais Jean-Édouard n'a aucune pitié... comment pourrait-il en avoir ? Je ne le reconnais plus... ce n'est plus mon petit bout... C'est un monstre qui attrape ma jupe et la remonte sur mon ventre...

 

Beurrrrk... des collants... crois-moi salope c'est la dernière fois que t'en portes... le Nylon craque, se déchire sous ses doigts et bientôt l'ultime rempart que constitue ma culotte blanche n'est plus qu'un souvenir également. Jean-Édouard l'arrache littéralement me faisant mal aux hanches et au pubis... Je suis dévoilée impudiquement et contre ma volonté aux yeux de mon fils.

 

Je crie et gesticule désespérément afin de ma soustraire à l'étreinte de mon fils. Mon cerveau croit encore que ce n'est pas lui qui agit mais quelqu'un qui le contrôle fils et le force a commettre cet acte...

 

Jean-Édouard ne te laisse pas faire !!!!! Au secours !!! Aidez-moi... mon bébé est fou... Mais Jean-Édouard n'écoute pas... Il attrape les restes de ma culotte et me les enfonce dans la bouche... Mmmmppppfffff... Je suis bâillonnée...

 

Malgré les larmes qui font couler le léger maquillage que je porte, je croise le regard de Jean-Édouard qui s'allonge maintenant calmement de tout son long sur moi... Je tremble et j'aimerais tellement lui dire que je peux l'aider... que le monstre qui est en lui.. On peut aller voir quelqu'un pour... pour... pour que mon bébé redevienne mon bébé...

 

Jean-Édouard ne bouge plus... je me calme... il approche sa bouche de mon oreille et me lécher délicatement le globe...

 

Ma chère et tendre petite maman me dit-il... je crois que ton bébé d'amour va se régaler et je suis sûr que bientôt tu réclameras ces moments tout le temps... Moments ???... Quels moments ....

Jean-Édouard glisse sa main entre nous il descend entre nos jambes...

 

Je réalise soudain qu'il vient de prendre son sexe en main et qu'il le frotte sur ma vulve poilue.

 

Je me mets a pleurer... j'ai beau crier dans mon bâillon, le supplier de se pas faire ce qu'il s'apprête à faire, rien n'y fait. Son gland vient de se positionner entre mes lèvres vaginales. Il m'attrape alors la tête et me fixe droit dans les yeux, s'apprêtant à violer toutes les règles de bien séance de ce monde... Regarde-moi dans les yeux salope... regarde-moi quand tu vas sentir ma queue te prendre...

 

L'irréel est là !!! Cela ne se peut pas... cela ne peut pas exister dans ma vie... et pourtant... lentement je sens Jean-Édouard pousser son bassin en avant. Son gland est en contact avec mon intimité et cherche à entrer. Mais je suis sèche. Mon corps est glacé et se refuse à cet acte contre nature ou un fils et une mère copulent... Le gland entre... millimètre par millimètre le sceptre masculin se fraye un chemin dans l'antre maternel et le visage de Jean-Édouard se crispe de douleur... Il s'arrête... oui.. il s'arrête.. Bébé vient de comprendre que ce n’est pas

bien.. Hein ??, il ne faut pas... maman ne dira rien... Maman aidera même son bébé à se soigner... Mais Jean-Édouard se raidit et replonge dans le lieu le plus interdit... Sale pute !!! T’es étroite !!! Putain c'est bon !!!! Le gland est maintenant tout en moi... malgré la sécheresse de la vulve, la plus abjecte partie de cet enfant que j'ai mise au monde, à qui j'ai donné le sein avec amour, la plus abjecte partie, son sexe, me pénètre...

 

Je suis secouée de spasmes. La douleur me brûle l'intimité. Mais Jean-Édouard s'arc boute et grimaçant continue de forcer son sexe à me prendre... sans lubrifiant, la pénétration est des plus douloureuse. Elle me rappelle l'enfantement. Mais cette fois ci l'enfant ne sort pas : il entre dans sa mère...

 

Sale chienne !!! T’es étroite a souhait !!! Putain t'es bonne !!!!! Dans un hurlement où se mêlent douleur et plaisir, Jean-Édouard se plante au plus profond  de mon vagin. La douleur physique mais surtout psychologique est intenable... Je suis violée par mon enfant, mon petit bébé... mon petit Jean-Édouard qui jouait dans son landau... dans son parc... dans...

 

A nouveau la douleur dans mon intimité me tire des rêves dans lesquels je cherche à me réfugier pour me rappeler la vérité vraie... Jean-Édouard commence a ressortir son sexe de moi... L'absence de rapports depuis des années, a fait perdre à mon corps toute notion de sexualité et je suis étroite comme au premier jour si ce n'est encore plus... La première fois je désirais ce contact, mais là...

 

Je suis violée... Et par mon enfant... Le gland arrive enfin à la vulve qui s'ouvre... Jean-Édouard est ressorti de mon sexe, mais il reste planté là et me force a le regarder... Je t'ai dit de me regarder !!!

 

Reprenant son souffle il me ré-pénètre... Cette fois ci l'ensemble de son sexe coulisse en moi et me brûle comme si on venait de m'enfoncer un tison brûlant en moi... je sens son gland buter contre mon utérus... Sans sollicitation depuis des années, mon intérieur a repris ses dimensions juvéniles et mon vagin pourtant élargit par deux grossesses est redevenu étroit  mais surtout court. Toute la longueur du sexe de mon enfant n'est pas en moi...

 

Mais Jean-Édouard ne s'en soucie guère... il commence déjà à ressortir puis à re-rentrer en moi... La douleur s'estompe et je sens monter en moi un plaisir que je ne connaissais plus depuis des années. Mon intimité se lubrifie malgré moi... Putain de salope !!! Tu mouilles hein ???

 

Jean-Édouard retire son sexe et plonge un doigt en moi.. Mais ouaaaiiiiiiiis... t'es en train de mouiller ma cochonne !!!! Tiens sens... Jean-Édouard met son doit enduit de secrétions sous mon nez... c'est immonde !!!

 

Sens ta mouille sale truie !!! Ah ça joue les coincée du cul mais ça aime se faire fourrer hein ??? Jean-Édouard reprend son sexe en main et le re guide dans mon vagin... D'un coup

violent et en poussant un han il me pénètre entièrement me remplissant de toute

sa virilité.

 

Mon corps réagit de plus en plus à l'agression qu'il subit. Si mon esprit est révolté et que mon âme hurle de douleur en son fort intérieur, mon corps lui se donne à cette copulation contre nature en se lubrifiant et faisant parcourir mon corps de petites décharges électriques qui stimulent ma poitrine et donne à mes tétons une érection obscène...

 

Tu bandes des tétines hein ma salope.... ??? Ah ben putain ... t'es vraiment une cochonne de maman... Les mots orduriers dans la bouche de mon enfant qui révolteraient n'importe quelle mère dans ma situation font disjoncter mon inconscient qui stimule alors mon corps. Je sens mon vagin happer le sexe qui le viol et le " sucer " comme une enfant ferait d'une glace à la vanille un jour d'été. Mon corps tremble... la douleur est partie et pendant une fraction de seconde, je ne suis plus Anne-Charlotte, la mère de Jean-Edouard, mais un immense vagin assoiffé de sexe réclamant les coups de reins comme une génisse le jour de la prise par le taureau... Mon vagin se met à palpiter... mes yeux se ferment... je tremble !!!

 

Je suis secouée de spasmes violents... Jean-Édouard me pistonne comme un fou et hurle: Ouaaaiiiis jouis salope espèce de grosse pute tu prends ton pied !!! Hein ????

 

Je convulse littéralement... et m'évanouis presque... dans une sorte de bonheur et de plaisir refoulé... Jean-Édouard me donne maintenant des coups de reins secs et violents... ses mains tiennent mes fesses et il se plante en moi avec force... salope...salope… salope... tiens... tiens...tiens... ah putain... putain... je... je ..... JE JOUIIIIIIIISSSS.....

 

Le corps s'est raidi... Jean-Édouard s'est planté en moi... je sens de longues saccades inonder mon ventre... il jouit... il jouit en moi... et mon cerveau déconnecte et me ramène 14 ans en arrière, le jour où Rolland me prit pour assurer sa descendance et que sa petite graine fécondait mon œuf... mon ovule... j'étais mère..

 

Jean-Édouard roule sur le côté... Ha.. Putain c'était bon... Je suis ruinée... anéantie… Malgré la chaleur humaine qui emplit la pièce mon corps ressent le froid qui le caresse, livré au regard de n'importe qui entrerait dans cette pièce et découvrirait le spectacle déshonorant d'une mère attachée, les cuisses écartées, la vulve souillée de la semence d'un garçon de 14 ans couché à ses côtés...

 

Mais je n'ai pas le temps de comprendre ce qui m'est arrivé que Jean Edouard me détache les mains et m'attrape sans rien dire par mes cheveux... Viens ici... ouvre la gueule... Le sexe de mon bébé est toujours en érection... La vision se rapproche. Soudain il est devant moi.. Devant mes yeux... le gland frotte sur ma bouche et profitant de mon étonnement, il s'enfonce entre mes lèvres... Jean Edouard vient de me faire faire ce que jamais je n'avais encore fait... une fellation... Sa main appuie sur ma nuque... allez bouffe !!!! Le gland emplit ma bouche. Le goût est acre et salé...

 

La pression continue et lentement la tige maculée de sperme disparaît entre mes dents, frotte ma langue, mes joues et s'enfonce dans mon gosier...

Je manque de vomir et cherche à me dégager, mais a chaque haut le cœur, ma gorge se crispe et se détend laissant entrer plus de chair en moi et m'empale la gorge... je ne peux plus respirer... je hoquette, suffoque et enfin, Jean Edouard relâchant son étreinte, je peux déglutir et ressortir la colonne de chair de ma bouche...

 

La bouche bien ouverte, un filet de bave et de semence relie le fond de ma gorge au gland du sexe de mon enfant. Je n'ai pas le temps de voir autre chose que la colonne s'enfonce à nouveau en moi. Mais seulement dans la bouche... C'est bon grognasse... tu sauras piper comme il faut... en attendant, contente toi de me lécher le sexe... rend le propre...

 

Inconsciente, et sans aucune expérience, je fais rouler ma langue autour du gland et le long de la hampe...
Jean Edouard a ressorti son sexe devenu mou de ma bouche... Il se lève et remonte son pantalon sans me regarder...

T'es bonne et j'ai pris mon pied... merci maman... Ah au fait... va te laver... Tristan ne devrait pas tarder de rentrer du judo... ce serait dommage qu'il te voit ainsi...

 

Tu as 20 minutes pour descendre et préparer a manger... Jean Edouard quitte sa chambre... instinctivement, je couvre mes seins avec les restes de mon chemisier déchiré et rabaisse ma jupe sur mon intimité violée...

 

Je voudrais crier Salaud, mais mon cerveau ne peut pas cracher la rage qui est en moi sur mon fils adoré... je me recroqueville et pleure...

Dix minutes sont passées. Je me lève et vais à la salle de bain... mon bain est déjà coulé et sur le rebord de la baignoire il y a des huiles délassantes... je ne comprends plus... tout  a l'heure mon fils me violait et maintenant il est aux petits soins pour moi... le remords me dis-je...

 

Me délassant un peu la vision de notre coït revint à moi se projeter sur la pâleur du plafond comme un film... L'horreur de cet acte provoque en moi un triple sentiment... le premier... Mon fils m'avait violé. Je devrais rapporter ce crime à la police et... non... les gens diraient que c'est moi qui l'ai... et que c'est de ma faute si l'enfant a eu accès sur internet à toutes les horreurs qui ont forgé sa sexualité... j'ai un sentiment de culpabilité...

 

Le second sentiment est un sentiment de honte... honte d'avoir été prise... et par mon enfant... Ce n'est pas moi qui ai commis l'inceste... c'est lui qui... mais encore une fois la vision du jugement de la société se porte sur moi... Elle a du mal l'élevé... hahaha... Et enfin le troisième sentiment, le plus fort : j'en ai éprouvé du plaisir... J'ai

ressenti en moi naître cette envie.. Celle que certaines femmes se refusent à accepter mais qui germe en moi maintenant comme si la semence de mon fils faisait son travail interne... me féconder le cerveau lui faire admettre l’idée que le sexe, que la débauche donne du plaisir...

 

Mes mains couvrent mon visage... Non... pas ça... c'est... c'est sale me dit mon esprit puritain qui revient à la charge sauver mon âme... pas ça mon dieu... pas ça... aidez-moi...

 

Je me sèche, et je m'habille.. Non, pas le peignoir... Jean Ed pourrait... Je suis confrontée à une énorme et terrible réalité... que dois-je porter pour ne pas éveiller en Jean Ed... C'est de ma faute... ce qui s'est passé... une simple robe opaque noire qui couvre ma poitrine... jusqu'aux chevilles.. Oui.... Ne rien laisser voir...

 

Je suis redescendue quand la porte de la maison s'ouvre. Tristan se rue dans la cuisine et se jette à mon coup... Maman !!! Je ferme les yeux et le laisse m'enlacer. Dans l'encadrement de la porte je croise le regard de Jean Ed qui nous observe, sourire en coin... je détourne mon regard pour ne pas voir en ses yeux la flamme qui brille et pour ne pas avoir à assumer ce qu'il vient de se passer, là-haut, tout a l'heure...

 

Alors mon bébé... comment as été ta journée... ? Regarde le beau dessin !!! Oh oui... il est beau... Il te plait ? Oui mon chéri... va laver tes mains, on passe à table dans cinq minutes...

 

Je passe la tête pour voir que dans la salle à manger le couvert est mis... Jean Ed n'a pas chômé et agit comme si de rien n'était... Nous passons à table... je suis assise en bout de table et Jean Ed me fait face.

 

Les actualités déversent leur flot d'horreurs mondiales. Je croise plusieurs fois le regard de Jean Ed... il sourit...

 

Maman ??? Oui Tristan.... Tu as l'air... bizarre...

 

A ces mots, la vision de Jean Ed me dominant et me faisant l'amour se projette à nouveau devant mes yeux... je mens... Non rien mon bébé... maman pense a autre chose... Ben ça doit pas être de bonnes choses me dit Tristan...

 

Je regarde Jean Ed qui vient de poser sa fourchette et me regarde droit dans les yeux...

Si, si mon chéri.. C’est que maman dois résoudre un problème et qu'elle VA trouver une solution... Mange...

Je n'ai pas baissé les yeux...

 

Je veux que Jean Ed comprenne que ce qu'il s'est passé tout a l'heure est grave...me dis-je en moi même... L'adolescent reprend sa fourchette et mange...

En fin de repas, Jean Ed débarrasse et lorsque Tristan va pour l'aider je lui dis qu'il est tard et qu'il devrait monter se coucher...

 

Oui maman... Je monte avec toi... Quand à toi Jean Ed... je redescends dans quelques minutes... attends-moi... il me sourit et en me regardant droit dans les yeux il me lance... oh mais bien sur ma petite maman chérie...

 

Je discute avec Tristan de choses et d’autres en rapport avec son école et m'assure qu'il va s'endormir très vite et non pas jouer au jeux vidéo... Je redescends. Jean Ed est dans le salon assis sur le canapé... il ne me regarde même pas... Jean Ed, nous devons parler... Mais il ne lève toujours pas les yeux et regarde insensiblement l'écran... je me fige devant lui... Jean Ed... Oui ma chère petite maman me dit-il en souriant...

 

Nous devons parler de ce... qu'est-ce que tu regardes ???? Son regard va de mes yeux à mon... entrejambe... Sympa ta robe... puritaine a souhait...

Jean !!! Et en plus on voit en transparence dessous... Je suis tétanisée... transparence ???

Je baisse mon regard pour constater que je me tiens jambes écartées devant mon fils qui grâce à la lumière du téléviseur regarde entre mes jambes pour voir malgré l'opacité de ma robe se dessiner mes cuisses...

 

Lorsque folle de colère je relève mon regard pour sermonner Jean Ed, celui-ci se tient droit devant moi et m'attrape par les cheveux, me retourne et colle sa main sur ma bouche pour étouffer le cri de surprise qui s'apprête a sortir de ma gorge...

 

Ecoutes moi bien et très attentivement...

 

Mmmpppf...

Si tu veux crier... c'est sans problème et je dirais même que cela peut m'exciter... mais que dirait Tristan s'il se réveillait et qu'en descendant il trouve sa gentille maman à genoux en train de sucer son frère ou de le branler avec ses grosses mamelles de vaches??? Hein ????

 

En disant cela la main libre de Jean Ed remonte sur mon ventre et caresse ma lourde poitrine au travers de la robe...

Ne relâchant pas son étreinte sur ma poitrine, je sens son autre main lâcher ma bouche... je devrais crier... hurler.. Mais il a raison... mon Tristan, mon tout petit bout de 11 ans ne doit pas voir ça...

 

Voilà...c'est bien... Maintenant si tu veux parler on monte dans ta chambre puisqu'elle est à l'autre bout de l'étage, on s'enferme et l'on parle... tu es d'accord petite maman d'amour...

 

Je fais oui de la tête.. Jean Ed relâche son emprise et me pousse en avant... monte !

Je monte les escaliers suivi de près par mon fils aîné et je ne sens plus derrière moi le regard d'un jeune garçon de 17 ans attentif à sa mère d'un regard d'amour, mais celui d'un pervers détaillant le balancement de mes hanches dans l'escalier.

 

Arrivé dans la chambre, il referme derrière nous la porte et me pousse au milieu de la pièce...

Jean, nous devons parler !!!! Ce qui est arrivé cet après-midi est grave et... Je te suggère de baisser d'un ton... Tu ne voudrais pas réveiller Tristan non... ????

 

Oui... je... Je suis perdue, Jean Ed calmement vient de me donner un ordre et au lieu de jouer mon rôle de mère et remettre ce jeune freluquet en place, je lui obéis...

Non... tu... je.. Enfin nous devons nous rendre compte que...

Que je bande pour toi ma maman chérie... ??? Jean Ed vient de faire sauter les boutons de son jean et extirpe son sexe en demi érection devant mes yeux...

 

Jean, dis-je a voix basse... je te parle... Non, maintenant tu te tais !!! Il me toise droit dans les yeux et avance en caressant son sexe du quel je ne parviens pas à retirer mon regard... épouvante ou désir ?

 

Tu regardes ma bite hein cochonne ? Tu mouilles déjà ou je devrais le faire....

 

Jean... Jean non... pas... pas question... nous avons fait une bêtise... et... Oui maman... tu m'as fait faire une bêtise... Tu te rends compte ? Me laisser regarder et enregistrer sur internet des trucs que les petits garçons n’ont pas le droit de voir...

 

Mais... nooooon... je n'ai rien fait.... Moi je sais ma petite maman... mais que dirons les gens quand ils découvriront ce que tu n'as pas fait pour empêcher tout ceci d'arriver ??? Hein ???

Jean Ed est devant moi... je suis glacée... pétrifiée... Sa main se porte sur le devant de ma robe et un a un il défait les boutons de celle ci...

 

Jean.... Noooonnn....

Les larmes me montent aux yeux... je tente sans grande conviction d'empêcher mon fils de défaire les boutons, mais déjà mes épaules se dénudent... on devine maintenant le galbe de ma poitrine... pourquoi n'ai-je pas mis de soutien-gorge... le dernier bouton entre mes seins saute faisant tomber la robe noire à mes genoux. Je suis nue devant mon fils... instinctivement un bras recouvre ma poitrine pendant que mon autre main cache mon sexe.

 

Les larmes coulent sur mes joues... je me sens humiliée... il faudrait que je réagisse... maintenant... pour cesser tout cela... tout arrêter pendant qu'il en est encore temps...

 

Je... je vais crier... Jean.. Je vais hurler et réveiller Tristan...

Oh mon dieu dit Jean... Oh mon dieu... oui.. Crie pour le réveiller et qu'est-ce que c'est que ça ??? Jean tire de sa poche une enveloppe... il me la tend...

 

Estomaquée, je l'ouvre. Ce sont des photos... des photos sales... des photos de scènes... obscènes  !!!! Et zoophiles !!! Et sur les photos... dans des positions obscènes dégradantes et... et... le visage de la femme sur les photos... c'est moi !!!! Tour à tour prise par un chien, suçant un jeune garçon, puis Prise par deux garçons...

 

Bouche grande ouverte, à bout de souffle et choquée je ne bouge plus... plus un cil... Ah bien sûr, ce sont des montages photos... mais Tristan lui il ne comprendra pas et les commerçants non plus dans le village... la.... Laisse toi faire...

 

Jean m'attrape délicatement par les poignets et me fait asseoir sur mon lit... j'ai les yeux grands ouverts... ma bouche ne s'est pas refermée... vraies ou fausses... même mon cerveau ne sait plus penser... les photos ont été trop fortes  pour une femme " vertueuse " comme moi... j'ai l'impression que mon esprit est électrocuté... les détails scabreux de ces images défilent devant moi...

 

Et imagine que quelqu'un les dévoile sur internet ma petite maman... quel scandale... Je suis inerte... mon fils après m'avoir fait asseoir au bord de mon lit me fait basculer tout doucement en arrière... Snap !!!

Un flash puis un second puis un troisième crépite devant mes yeux... je suis aveuglée et je ne réalise pas ce qu'il se passe...

 

La comme ça... snap... snap.... Maintenant maman, tiens tes chevilles... Jean m'a relevé les jambes au-dessus de moi toujours couchée et sans comprendre j'obéis et attrape mes chevilles... snap snap.... La pause est des plus obscènes... snap... le fait de me tenir les chevilles écartes mes cuisses et je dévoile sans m'en douter mon intimité à l'objectif de la caméra... snap snap.... Maintenant avec deux doigts, fait un ciseau.. comme ça oui.. et écartes toi les lèvres... ouiiiii.. Montre-moi ton abricot juteux... snap snap... tiens ton sein avec l'autre main... snap.... Voilà....

 

Combien de flash viennent de crépiter ? Je n'en sais rien... je suis hypnotisée et mon cerveau m'arrive plus à se reconnecter avec l'esprit d’Anne Charlotte la puritaine, mère de famille, gentille maman dévouée à ses enfants.

 

Jean Ed pose l'appareil photo et délicatement s'assied à côté de moi... il me referme les cuisses l'une sur l'autre gentiment...

 

Les flashes m'ont réellement aveuglée. Je commence à revoir doucement...

 

Jean... Oui maman....

Qu'est ce... qu'est-ce que tu as fait ????

Des photos maman... Oh mon DIEU !!!!

Les photos que tu m'as demandé de faire alors que tu t'exhibes devant moi...

 

Oh mon dieu !!!!! Chuuuuut penses à Tristan ...

Prise au piège, je sens se refermer sur moi l'étau. JE pervertie mon fils et je

Le force à faire des... des trucs... Je me vois debout devant un tribunal... les jurés

ne sont autres que mes parents... ma sœur... mon frère.. Mon ex-mari... mes amies...

 

Tous me désignent !!! Je suis la violeuse, l’incestueuse!!!

 

Maman... maman ???? Ca va ????? Je sors de cet affreux cauchemar...

Oui... ??? Jean Ed est à côté de moi... je le regarde dans les yeux... pourquoi... ????

Parce que je t'aime ma petite Maman d'amour... et que tu es si belle...

 

Mais... mais mon bébé ... moi aussi je t'aime.. Mais nous ne devons.... Ne devons pas....

 

Jean Ed m'entoure les épaules et m'embrasse sur la bouche... sa langue entre dans ma bouche...je ne bronche pas... machinalement ma langue répond à la sienne et c'est une vraie pelle que nous nous roulons... snap... tenant à bout de bras son appareil photo, Jean Ed vient d'immortaliser cet instant...

 

Je suis perdue... Les juges et les jurés sont debout !!! Ils hurlent mon nom... les gardes m'attrapent, les télévisions du monde entier zoom sur mon visage et j'ai beau hurler que je suis innocente, tout le monde regarde la photo ou j'embrasse mon fils... Je suis une

Mère incestueuse... !!!

 

Jean Ed vient de me coucher sur le dos... il me remonte dans mon lit. Mon regard est perdu dans le lointain...

Je ne le sens même pas monter sur moi ni son sexe effleurer mes lèvres vaginales et malgré la lente et douloureuse pénétration je ne cherche même pas à me refuser à cette nouvelle étreinte incestueuse...

 

Il me prendra doucement et amoureusement sans me dire une seule obscénité... Seul son orgasme me fera tressaillir lorsque les jets de sa semence tapisseront mes parois vaginales... je ne jouirais même pas... mon cerveau et mon esprit étant trop liquéfiés par la perversité de la soirée qui se termine...

 

Ce qui m’attend n’est rien avec ce qui s’est déjà déroulé…

 

A suivre

 

 

Par maxime
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Jeudi 22 janvier 4 22 /01 /Jan 01:52

                          J'ATTIRE VOTRE ATTENTION

        chers lecteurs, le nouveau blog est entrain de se faire.

                                   

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Merci pour voytr compréhension

Maxime

Par maxime
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Mardi 20 janvier 2 20 /01 /Jan 19:08

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Je vous présente le récit de deux lecteurs du blog.: "...Notre histoire est longue ! Voulez-vous des photos ? Cela nous exciterait de les partager. Nous avons caché, un peu, nos visages..."


Je vais vous raconter le commencement de notre aventure, si passionnante et excitante. Je m’appelle Thomas. J’avais l’habitude d’aller avec mon frère et sa femme, passer nos vacances en bord de mer, pour la plus grande joie de mon neveu et ma nièce.

Le fait que nous n'ayons que 8 ans de différence d’âge, ma nièce Delphine et moi-même, fait que nous avons toujours été proches l'un et l'autre. J'avais 24 ans et elle, 16 ans, plutôt grande, 1m65 et son corps déjà bien formé.

 

Chaque soir elle quittait la tante de son frère pour rejoindre la mienne où nous parlions des heures. Un jour où elle n'avait pas trop le moral je lui proposais pour qu'elle se détende un massage dénué, si j’ose dire, de toute arrière-pensée.

Je n'ai, à ce moment-là, pas imaginé qu’une histoire allait naitre entre ma nièce et moi-même, c’est-à-dire son oncle direct.

 

Elle enleva son T-shirt pour que je puisse la masser. Tranquillement, je commençais à poser mes mains sur la peau de sa nuque, chaude.

Je massai en effleurant cet épiderme délicat. Je fis attention à ce qu’elle ne vive pas cela comme une contrainte mais comme un moment d’évasion.

_Cela me fait un grand bien mais la sangle de mon soutien-gorge me gêne.

Je n’ai pas osé lui demander de l’enlever. Cela aurait été malvenue du tonton, de déshabiller sa propre nièce. Mais c’est sans compter sur la dextérité des femmes. Oui, à seize ans elles ont accumulé assez de doigté pour faire face à la gent masculine. Ainsi, c’est elle qui me demanda si elle pouvait le retirer sans que cela ne me dérange.

 

 Je n'imaginais toujours pas ce qui allait suivre. Je n’étais pas dans cette configuration où l’inceste prendrait le pas sur la raison du tonton puis de la nièce. Je n’avais aucun dessein qui prévoyait de baiser la fille de mon propre frère.

Je continuais, donc, avec plus de liberté, sans le soutien-gorge et j’explorais plus de surface sur sa peau.

 

 L’absence de ce morceau de tissu qui faisait obstacle entre les seins interdits de ma nièce et moi-même, commençait à me mettre des idées en tête. Un désir montait en moi et je décidais de mettre fin à ce massage.

_Cela t’a fait du bien ?, _oh oui c'est trop bon tonton t'arrête pas maintenant…

D’un coup, sa voix n’était plus celle de ma jeune nièce mais celle d’une femme qui a des besoins et des besoins monstres ! Et le mot monstre n’est rien devant la monstruosité de ce qui nous attendait, Delphine la sœur de mon frère et moi, son toton chéri.

 _J’ai un peu mal aux jambes. Tu peux me les masser stp.

 

Elle était allongée sur le ventre. Je regardais sa courbure de hanche ainsi que ses seins qui dépassaient de chaque côté. À ce moment-là j'étais déjà obligé de cacher une érection naissante. Pendant ce temps elle retirait son pantalon de pyjama pour que je puisse lui masser les jambes. Elle portait un string. Je me secouais la tête comme pour enlever mon désir et continuer mon massage.

Bien sûr, je me mentais. Et probablement elle aussi. Nous étions tous les deux dans un marché de dupes, mais consentants.

 

J'y parvins enfin, jusqu'au moment où je passais près de ses seins. Elle eut un mouvement de hanches, ce qui a fait que mes mains se sont trouvées clairement sur ses seins. Je montais et descends le long de son corps et à chaque passage sur le contour de ses seins était une excuse pour moi comme pour elle d’aller un peu plus loin.

Chacun de ses silences me faisait gagner des millimètres sur la peau douce et fine des seins de ma nièce.

 J'étais assis sur ses fesses. Elle bougeait ses hanches de désir ; en ma direction. Un réflexe naturel certainement, dicté par la charge du désir qui montait en elle. Je ne pouvais cacher mon érection, ce qui a dû l'exciter beaucoup, normalement. En ces instants nous n'étions plus tonton et nièce, mais bien deux corps, masculin et féminin débordant de désir l'un pour l'autre.

 

Puis d’un geste, alors que je ne m’y attendais pas du tout, elle enleva son string et se frotta sur ma cuisse en y laissant son jus de bonheur.

Je lui ai demandé, avec une voix étranglée par un désir fou et interdit, si elle avait déjà eu des rapports sexuels ce à quoi elle me dit oui. Mais elle était encore vierge. Nous décidions donc de continuer notre jeu prohibé, sans pénétration.

Ceci dura toute la nuit à se frotter, se caresser et se masturber.

_Lèche-moi la chatte.

Ce que je fis avec grand plaisir et étonnement car j’étais dans une bulle.

Je humais les senteurs juvéniles, musqués, de ma propre nièce.

 

Elle s’est branlée sur mon sexe en venant se mettre dessus ma hampe en allant et venant. Nous avons joui tous les deux, au petit matin.

Cela a été pour moi le moment le plus excitant de ma vie.

         Après ce fameux soir, nous eûmes des rapports tous les jours, même plusieurs fois            par jour. Et je pense, aujourd'hui, que nous étions tous les deux aussi demandeur de          exe sans limite. Nous avons fait l'amour a plusieurs nous nous sommes exhibé et              notre histoire dure encore même si elle est en couple avec deux enfants aujourd'hui.

        15092009371.jpgm.jpglllllllmmmmmmoooo.jpgMais tout ça je vous le garde pour la                    prochaine fois.

 

         Thomas

            Contact incestueux : avarnus@lavache.com

 

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Par maxime
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Dimanche 18 janvier 7 18 /01 /Jan 18:19

Je suis fils unique. Mon père est Camerounais et maman, une Lyonnaise blanche. Lorsque j'avais à peu près 12 ans, mon père est parti, avec une Camerounaise, laissant ma mère seule avec moi. On s'est retrouvé, ainsi, tous les deux, notre vie devenait plus compliquée car ma mère gagnait bien sa vie et je ne manquais de rien, sauf de l’amour d’un père. Mais peu à peu j’apprenais à être moi-même le père de la situation à la maison. Ma mère était toujours très triste, depuis le départ de papa et elle pleurait souvent le soir. Quand je la voyais pleurer, je venais la prendre dans mes bras et on se faisait des petits câlins pour ne se réconforter ... rien de mal jusque-là. Puis, les câlins le soir sont devenus de plus en plus fréquents, même quand elle ne pleurait pas …

Un soir, en rentrant du travail, ma mère se plaignait d’avoir mal à la poitrine et elle disait qu’elle a du mal à respirer. Elle me demandait de passer du baume sur la poitrine pour l’aider à soulager la douleur. Ce que j’ai fait. Je mettais cette pommade dans la paume de ma main puis je commençais à frotter sur sa poitrine, sur ses seins donc. Dans une sensation étrange, j’ai senti ses bouts de seins se durcir. Je regardais ma mère pour essayer de trouver une réaction chez elle, mais elle fermait les yeux et ne manifestait aucune réaction. Au bout de quelques minutes, je suppose qu’elle se sentait mieux, alors j’ai arrêté la séance de massage pour retourner à mes occupations.

Ces séances de massage se renouvellent par la suite très fréquemment. Lorsqu’elle rentrait tard le soir, ma mère me demande de la masser la poitrine, le dos et le bas du dos. Elle enlevait le haut pendant le massage. J’avais quinze ans à cette époque, et j’éprouve une sensation à la fois gênée mais mélangée avec un certain plaisir. C’est étrange car à un certain moment, je ne vois plus la personne sur laquelle je passe ma main comme ma maman, mais comme une femme quelconque. C’est dans ces moments que j’éprouve un réel plaisir de faire ces gestes : je suis en train de caresser une femme tout simplement. Je pense que ce plaisir est réciproque car elle manifestait de temps en temps quelques gémissements pour me faire comprendre que cela la faisait du bien.

Tant que nous restions dans cette limite, cela ne nous posait pas plus de problème que ça. Ces séances de massage, c’étaient un petit jeu qui nous faisait du bien, surtout à ma mère qui commence à retrouver la joie de vivre. Cette situation a duré jusqu’à mes 16 ans et demi sans trop de souci particulier.

Ce qu’il faut savoir c’est que ma mère est la fille unique d’un grand commerçant de Villeurbanne. Elle avait fini ses études de médecine puis elle s’était engagée dans médecin du monde. Et c’est lors de l’un de ses voyages qu’elle a connu mon père au Cameroun.

J’ai découvert par la suite ses lectures. Des revus et des récits où il ne s’agissait que de noir avec des blanches. J’ai appris plus tard qu’avec mon père, elle s’adonnait aux plaisirs du sexe de groupe et que papa la donnait à des noir venant d’Afrique voir dans des foyers d’immigrés maliens.

Le » jours où j’avais appris cela par les photos que j’ai découvert dans une boite à chaussures déposée négligemment dans l’armoire de sa chambre j’ai eu un choc.
Bien sur ma mère s’en est rendu compte et à partir de ce moment-là, elle ne savait plus comment me prendre, est ce que comme l’enfant de la femme médecin, blanche ouverte sur le monde et ces choses des libertés sexuelles ou alors comme le nègre que j’étais finalement.

Je m’étais même mis à penser à ce qu’elle ait envie de la bite du noir que j’étais mais cela restais dans l’ordre des impossibilités.

A quelques jours de mes 17 ans, un soir, à peine passée la porte de la maison, ma mère m’annonçait qu’elle venait de perdre, un de ses patients, qui venait la voir régulièrement. Elle est tombée dans mes bras en pleurant. Voyant qu’elle était complètement épuisée, je l’amène dans sa chambre pour qu’elle se repose. Mais elle me demandait de rester un peu avec elle. Je suis resté et on a commencé à se faire des petits câlins comme on le faisait souvent. Mais ce soir-là, va marquer ma vie à jamais puisque ma mère a décidé d’aller plus loin. Les « câlins » ne s’arrêtaient plus aux visages et aux mains comme on le faisait avant mais ses mains allaient dans les endroits beaucoup plus intimes de mon corps. Ne voulant pas la contrarier, je me suis laissé faire et me suis pris rapidement au jeu. A mon tour, moi aussi je lui donnais des caresses dans les endroits qui sont normalement interdits entre une mère et un fils. Mais ce soir-là, rien ni personne n’était là pour nous rappeler à l’ordre, donc ce qui devait arriver est arriva.

Je ne sais pas combien de temps nous étions dans ces caresses intenses, tout ce que je me rappelle c’est qu’un moment nous nous sommes retrouvés nus tous les deux. Nous étions à ce moment-là simplement un homme et une femme dans le feu de l’action sans aucune retenue, à la recherche du plaisir. Je n’avais aucune expérience, je n’ai connu encore aucune fille avec qui je pouvais aller jusqu’à cette limite. Evidemment j’étais parfaitement maladroit dans l’action et j’avais du mal à « m’en sortir ». Alors que j’essayais désespérément mais je n’y arrivais pas, ma mère décidait de prendre les choses en main

_Vous êtes terrifiants…

_Qui ça, maman ?

_shuuuut, ne dit rien… Entre dans la couverture

Comme elle si voulait se mentir ! Comme si le fait de ne pas voir ses mains sui s’activaient sur la verge, déjà très grosse, n’était pas de l’inceste et il ne se passait rien.

Du haut de mes 17 ans je devinais que maman tentais de s’arrangeait avec sa conscience. Mais sont «  ne me regarde pas » ne laissait aucun doute là-dessus.

D’un coup j’ai senti une brûlure sur mon gland. C’était le coup de pinceau qu’elle avait entreprit contre l’entrée de sa vulve, toute baveuse et brûlante de désir. Nous avons ahané en même temps.

Elle m’a tiré vers elle qui s’’est mise sur le dos et sans me le demander, elle a gardé la couverture sur nous deux en dirigeant ma verge à l’entrée de son ventre. Avec mon poids, je me suis retrouvé dans e vagin maternel.

_Ahhhhh… Baise-moi, négro…

La dernière fois qu’une personne m’avait appelé comme ça ma mère s’est déplacé chez le directeur de l’école pour s’explique avec lui …

_Tu aimes ça les nègres mamans !
_c’est un nègre qui t’a envoyé dans mon ventre salaud

_lequel d’entre eux salope ?

_T’aimerais bien que je te dise que c’est un immigré malien hein, que tu es un bâtard en vérité ! Mais non tu es bien le fils de ton père et tu es entrain d’engrosser ta mère…

_ahhhhh je crache maman, je jouis dans ton ventre de blanche

_ Ouiii envois tout dans mon ventre mets-moi en cloque sale nègre

Le plaisir immense qui me procurait à ce moment-là m’a fait complètement oublier que la femme qui s’allongeait en dessous de moi était ma propre mère et je suis en train de lui faire un bébé A ce moment précis, et après avoir envoyé toute ma purée juvénile et épaisse  je pense que ma mère est revenue à elle car juste après, elle m’a poussé violemment hors d’elle et m’a demandé calmement en suite de sortir de sa chambre avant de se retourner face au mur, en position du fœtus. En sortant de la chambre, je me retournais pour regarder son corps nu, de dos, en me demandant ce qui m’arrive.

Cet événement a changé notre relation pour toujours. Nous avons arrêté net toutes les séances de câlins et nous n’avons plus jamais reparlé de cette fameuse soirée. C’était l’unique fois que nous avons franchi l’interdit. Par la suite, nous essayions de maintenir un rapport mère fils le plus normal possible dans l’année qui suit, puis je suis parti de la maison à mes 18 ans. Ma mère est décédée depuis, amenée avec elle une partie de notre secret.

Bizarrement, vous me croyez ou pas, mais je ne suis pas plus traumatisé que ça de cette expérience. Je trouvais cette expérience plutôt plaisante et depuis cette nuit, lorsque nous avons décidé d’arrêter tous les comportements incestueux, nous avions retrouvé la place de chacun. Aujourd’hui, j’ai une vie de famille tout à fait normale et lorsque ça m’arrive de penser à ma mère, c’est toujours avec un immense respect et amour, comme tous les fils peuvent penser à une mère. »

 

 

 

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Par maxime
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Dimanche 18 janvier 7 18 /01 /Jan 12:59
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Je viens raconter mon histoire pour savoir si d?autres nord africains ont vécu comme moi l?inceste dans leurs famille (il n?y a pas de forums où je puisse en parler) je suis le dernier garçon d?une famille de sept enfants, mon père est type un peu obèse qui travaille à l?usine et ma mère fait les ménages dans une boite à mi-temps. Je venais d?avoir mon diplôme et je devais quitter le cocon familial pour partir pour une autre ville dans le nord où je travaille encore aujourd?hui, ce soir là ma grande soeur est entrée dans ma chambre, il était tard et tout le monde était déjà couché, c?est une très belle femme un peu mat et rondelette avec un très beau visage , les cheveux noir, raide, coupe carré et qui va sur ces trente ans, elle ne travaille pas, sort très rarement mais elle aide beaucoup aux tâches ménagère. Je lui demandai pourquoi elle n?était pas encore couché, ce qui m?avait tout de suite choqué c?était sa robe de nuit qui était longue mais avec un tissu assez fin pour distinguer la forme de ces gros seins. ? Non, mais je ne vais pas tarder, je voulais te parler. Me dit elle en refermant la porte derrière elle et en venant s?asseoir sur mon lit juste à côtés de moi. ?a m?ennuie que tu partes tu sais, tu peux pas trouver un travail près de la maison, comme ça tu resteras avec nous ! ?

- Non je suis content de partir, et puis ici le délire famille, le quartier ça me saoule, c?est pour partir que j?ai bûché à la fac.

- Même pas pour moi tu veux rester s?il te plait, dis moi ce qui te ferait plaisir pour rester

Je ne comprenais pas le sens de sa question et je lui dis que non rien, elle me demanda plusieurs fois ? t?es sur rien ne pourra te faire rester ?, ? tu es sur ? et au bout de quelques secondes de ce petit manège, elle leva sa main gauche pour ma caresser les cheveux et l?autre la posa sur mon sexe en frottant énergiquement le tissu de mon survetement, sur le coup je ne comprenais pas ce qu?il m?arrivait, elle regardait sa main avec une tel concentration comme çi elle pouvait voir ce qu?elle touchait, elle releva sa tête et me fit un petit sourire, ce visage que je connaissais tant, je ne pouvais pas, je lui retira sa main, me leva et lui dit ? écoute je sais pas ce que tu veux, mais si tu veux un mec t?as qu?a sortir dans le quartier, il y?en a plus d?un qui dirait pas non, surtout avec toi !! ? j?ai vu ces yeux se remplir de larme et elle me dit ? je suis pas une salope, je vous aime c?est tout, je vous aime ? et elle se leva vite et sortie de ma chambre sans se tourner et en refermant doucement la porte derrière elle. Je suis parti quelques jours après, je ne sais pas pourquoi mais le jour de mon départ, elle était dans sa chambre alors je suis allé la voir et l?ai prise dans mes bras en lui embrassant la joue, elle me serra très fort et je suis parti.

J?étais enfin installé mais je m?ennuyai mortellement, je n?avais pas d?ami et le coin n?était pas trop jolie, je passai le plus clair de mon temps au téléphone avec ma grande soeur, on ne parlait pas de notre petit ? entretien ? (c?était surtout la seule qui voulait bien me parler plus de 5 min .) un soir je lui proposait de venir me voir, après s?être assuré d?avoir l?accord de mes parents elle le prit le train et me rejoint dans le nord, quel joie de voir un visage familier, à la gare je l?ai prise dans mes bras et l?ai couverte de baiser.

Je lui montre mon petit chez moi et le soir arrivé, je lui propose de sortir et c?est là que j?apprends qu?elle n?était jamais sortie en boite, alors je lui demande de se préparer et filons dans une discothèque que j?avais repère pas loin de chez moi ; à l?intérieur nous nous sommes installé, je lui demandai ce qu?elle voulait boire elle me répondit: ? un coca !

- Un coca ? Tu veux dire un whisky coca ??

- Ah non pas d?alcool c?est pêché

- Tu n?en as jamais bu ?

- Non

- Pour me faire plaisir, au moins une fois, goûte

- Une fois alors !!

Nous avons passé la soirée à danser, ma soeur c?est vraiment éclatée, c?est seulement à la sortie de la boîte que je remarque que ma soeur est complètement saoul, elle titube et parle fort ; on arrive enfin à mon appartement, je l?assois sur le divan et je m?assois à côté d?elle, et sa tête tombe comme une pierre sur mon torse, quelques secondes plus tard, sa main, on aurait dit machinalement, viens se poser sur mon sexe, et je l?entend me dire ? tu ne râleras pas ! ?, je n?ai rien répondu et très délicatement ouvre ma braguette et sors mon sexe mollasson sous ses trois doigt, j?étais moi aussi sous l?effet de l?alcool et le fait sûrement de ne voir que ces cheveux me faisait moins culpabiliser. elle pencha la tête et commença un va et vient avec la bouche très calmement, je lui caressai les cheveux et lui dit ? c?est bon? elle ne repondait pas et continuait à me sucer elle continua un petit moment, ôta sa bouche pour me parler d?un ton très doux sans se tourner et en continuant à me branler doucement : ? elle est douce ! ?

- c?est pas la première fois ? si ?

Elle ne disait plus rien, et ne bougeait plus à part sa main et après quelques secondes, elle me dit : ? tu sais quand j?étais un peu plus jeune j?aimais bien regarder la télé dans le salon tard avec papa...tu te rappelles ?!... Et un soir je me suis endormi sur son épaule..... et dans la nuit, j?ai ouvert un oeil il y?avait seulement la lumière de l?écran mais il n? y?avait pas le son et à la télé il passait le film de cul de canal....je sentais que papa faisait des petits mouvement alors j?ai tourné doucement les yeux et j?ai vu papa la djellaba remonté en train de se branler, ça m?a fait bizarre, papa se branler, tu sais, lui si calme et si distant !! C?était la première fois que je voyais un sexe d?homme en vrai, je n?arrivai pas à détourner mon regard, j?ai vu son sexe éjaculer et tout de suite après il a remis sa djellaba et a vite changeait de chaîne, j?ai continué à faire semblant de dormir, et après quelques minutes il m?a réveillé, j?ai fait mine de me lever tout empoté et je suis parti dans ma chambre, le lendemain j?ai remarqué que ma culotte avait des traces blanches, et après je sais pas pourquoi mais j?ai attrapé le programme télé pour voir la prochaine rediffusion du film et ce même soir j?ai fait le même manège et une demi-heure avant le début du film, j?ai fait semblant de dormir, j?ai attendu et quelques minutes après il a changé de chaîne, je regardai à l?écran toutes ces nanas qui suçaient d?autres gars il a levé sa robe encore et là je ne regardait plus la télé mais la bite de papa, il la secouait doucement mais je sais que ce que j?aimais le plus c?était de voir son sperme sortir et couler le long de sa queue... ? elle c?était tue quelques secondes moi je l?écoutais sans brancher ébahi par ce qu?elle me disait et elle reprit ? et un soir je sais pas pourquoi mais j?avais décidé de me rapprocher un peu pour me la voir, alors le soir j?ai fait mine de me mettre sur son ventre et de m?endormir, je voyais papa qui vérifiait plusieurs fois si je dormais bien, je prenais de grande respiration pour le rassurer et surtout qu?il ne se doute de rien, il a changé de chaîne mais au moment de remonter sa djellaba, mon bras qui était posé sur sa cuisse est remonté avec le tissu, mon coeur battait la chamade, je baissais les yeux pour voir, ma main était à deux centimètres de sa queue dressée, des secondes qui m?ont parues des heures, papa ne bougeait plus, je sentais son souffle sur ma nuque, et tout doucement j?ai bougé un doigt, je voulais la toucher, mais j?avais trop peur de me faire engueuler, alors j?ai bougé tout doucement comme si je faisais un mouvement pendant mon sommeil et ma main était posé sur sa queue, il ne disait rien, alors j?ai bougé ma main maladroitement et là tout son sperme est sorti j?en avais pleins les mains, il me l?a essuyé avec sa robe et nous sommes resté comme ça sans bouger en regardant la télé, au début j?étais prise de remords mais je remarqué que papa était le même avec moi, on aurait même dit qu?il était plus gentille. Au fur et à mesure c?était toujours le même manège je me posais sur son ventre et...ensuite j?étais plus sure de moi, je n?attendais même pas le début du film, je mettais tout de suite sa main sous sa rhebiya (robe en arabe), un soir j?étais en train de le branler, et je sentais qu?il amaigrissait son ventre pour que ma tête descende, alors je me suis laissé glisser et j?ai mis ma bouche...comme ces filles des films et après je me rappelle, il m?avait dit ? attention ma fille !! tout doucement ? et j?ai senti tout son sperme arriver dans ma gorge, c?était chaud et ça avait un goût bizarre et j?ai tout avalé, papa avait posé sa main sur mon sein au-dessus de mon pyjama pour la première fois et il l?avait serré très fort au moment d?éjaculer ? 

Alors je décidai de poser moi aussi ma main sur son énorme sein, main je ne sentais pas grand chose à travers son sweet et son soutien gorge, je l?entendis sourire et elle reprit ? tu sais on le fait encore alors que tout le monde est à la maison... au début il venait dans ma chambre pour me parler de ci ou de ça et il faisait des aller retour entre mon lit et la porte alors je comprenais et je soulevais ma robe pour lui montrer ma culotte et mes seins, il met sa main sous sa robe et se branle et au moment d?éjaculer il vient vers moi alors je m?asseois sur le lit et je prends tout dans ma bouche, des fois je lève les yeux et je le vois faire de sacré grimace pour se retenir de faire du bruit, il m?essuie les lèvres avec son pouce et repart comme çi de rien n?était...je me rappelle même une fois quand on est parti chercher pépé à l?aéroport le soir, tu te rappelles !?... il s?était arrêté à l?aller dans une aire d?autoroute, il m?avait dit de me presser de le suivre, il m?a amené derrière les toilettes, il m?avait levé mon pull et mon soutif et il m?avait embrassé les seins comme un malade et après il s?est un peu reculé et avait baissé son pantalon pour me faire comprendre de le sucer, il avait même mis son blouson par terre pour pas que je me salisse....il m?a éssuyait la bouche et après vite vite on a filé chercher pépé... ? 

A ce moment là je sens que je vais jouir, elle a du sentir mon sexe se durcir d?un coup, car elle s?est penché doucement et a fermé sa bouche juste sur mon gland pour tout recevoir dans la bouche, elle a continuer de me sucer un peu, elle s?est relevé et on s?est regardé, je ne sais pas pourquoi mais je lui ai passé mon pouce sur les lèvres, elle a sourit et me dit : ? j?ai la tête qui tourne.

- va t?allonger, t?as qu?a dormir dans mon lit moi je dors sur le clic-clac

- d?accord merci

- je peux te poser une question ?

- ben oui, vas y ?

- maman tu crois qu?elle se doute

pfff maman !! c?est la pire de toute...me dit elle en gagnant ma chambre.

Le lendemain matin je me lève avec une belle gueule de bois, essayant tant bien que mal de rassembler tous mes souvenirs, tout est calme alors je me rends au toilette qui se trouve dans ma salle de bain, vêtu d?un simple caleçon long ; mais la lumière était allumé alors je dit: ? c?est toi dans la salle de bain ?

- oui..je me suis fait couler un bain, j?avais trop mal au crâne

- ok !!

- mais tu peux entrer c?est bon !!

- non mais c?est cool, y a rien qui presse

- oohh me dit elle en râlant c?est chez toi non !! Vas y la porte n?est pas verrouillée !

Je pousse la porte et je vois ma soeur dans son bain, ces deux énormes seins bien en évidence et je lui dis : ? il y a de la mousse si tu veux

- non merci j?aime bien comme ça

Je fais mine de me tourner vers l?évier pour me brosser les dents tout en la matant dans le miroir et elle me demanda ? t?étais pas venu pour te brosser les dents ?

- non !!

- bon j?ai compris, attends je te laisse

Elle se lève sans gêne, et sors dans son bain, je continue de la regarder dans le miroir prendre la serviette, pour s?essuyer vigoureusement sa poitrine qui balance, elle termine par son entre jambe et ses cuisses, elle met la serviette autour de sa taille, se tourne et se penche pour retirer le bouchon de la baignoire, je voyais bien en évidence ses grosses fesses et sa chatte à peine poilu et un peu rosé, sans doute pris encore sous les effets de l?alcool (je ne sais pas), je me dirige vers elle pour la prendre par la taille et me frotter sur sa chatte, elle se relève d?un coup et crie : ? Non, fait pas ça, je suis vierge !! ?, ça serviette était tombé, je me recule, j?étais mal à l?aise mais qu?est ce qu?il m?avait pris ?! et je me confond en excuse, la tête baissé, et elle me dit : ? Non c?est de ma faute désolez c?est de ma faute ............ viens là ! ? Elle me prit dans ses bras, le contact de ses seins sur mon torse était vraiment agréable et elle me demanda si je la trouvait belle, je lui répondit : ? tu es superbe

- je suis grosse non ?

- il y a plus d?un homme qui aimerait être à ma place 

C?est vrai qu?elle est belle, et là j?ai pris ses seins dans mes mains ils étaient lourd et surtout très doux, je penchais ma tête pour les embrassaient, ces tétons étaient grands et noirs, elle me caressa les cheveux puis s?est assise sur le bord de la baignoire me descendit le caleçon puis sans la toucher des mains c?est penché doucement sur mon sexe, je lui caressai les cheveux, elle s?arrêta leva la tête me sourit et en regardant de nouveau mon sexe me branla plus vite, elle approcha sa bouche et là de nouveau je me suis laissé aller, elle la garda en bouche comme çi elle ne voulait pas en perdre une goutte et ensuite embrassa le bout de mon gland et elle me dit : ? hier tu m?as demandé pour maman !!?

- oui

- ....tu te rappelles qu?elle se vante tout le temps de faire des économies sur les serviettes, le pq, les produits ménagers...qu?elle pique au boulot

- oui

- ...manque de beau un soir elle s?est fait caler par un vigile qui l?a menacé de tout balancer.....Un soir elle rentre dans ma chambre et me dit tu sais avec son ton sec : ? demain ti viens travaille avec moi ! ? (elle imite ma mère à merveille), je n?avais pas compris sur le coup mais ce n?est que le lendemain soir quand on est arrivé devant la banque où elle avait sa mission de nettoyage qu?elle m?expliqua qu?un vigile l?avait vu en train de voler des affaires, qu?elle risquait de perdre sa place si je ne montrai pas ? tris gentille avec lui ? 

- non tu plaisantes !!

- attends j?ai pas fini, j?étais dégoûté, je voulais partir et je me suis mise à pleurer et elle m?a dit toujours de son ton sec ? ti fait juste comme ti fais à ton père....ci tout ! ?, j?ai arrêté net de pleurer et elle a dit ? et sinon ji perd mon travail...on a bisoin les sous pour ti frires et soeurs ?, je me suis essuyé les yeux et je l?ai suivi, l?endroit était désert, elle m?a emmené vers un box à l?intérieur, il y?avait un type en uniforme, un français assez mince d?une quarantaine d?année assis devant des écrans, maman lui dit ? bisoir franck, ci ma fille elle est jolie !! ? et elle me poussa vers le box avec son épaule, ça se voyait que le type comprenait pas, alors il s?est levé et moi je me suis mis sans réflechir à genou devant lui, j?ai ouvert sa braguette et j?essayai de sortir sa bite, et là il l?a sorti lui même et il a dit ? tiens c?est ça que tu veux ! ? mais c?était bizarre, il avait encore la peau sur son sexe tu sais, sur le coup ça m?a dégoûté, et après je l?ai tout de suite mis dans la bouche, elle grossissait de plus en plus, et il commençait à faire des va et viens et je commençais à avoir mal au mâchoire, et après il m?a dit de me mettre debout et à essayé d?enlever mon pantalon et là maman lui à dit : ? non s?il ti plit ça y est stop franck ? et la le type lui a dit ? quoi c?est tout tu plaisantes là ??!! je te signale que tu risques ta place!! ? Elle n?a rien dit et a baissé sa tête, je me rappelle que je l?ai regardé en lui disant que j?étais vierge, il avait l?air vraiment étonné et après il a demandé à maman de s?approcher et lui a dit ? mais toi, t?es pas vierge toi kheira!! ? maman lui à dit non en baissant la tête et en me lançant tu sais l?un de ses regards méchants, il lui enleva la combinaison du travail qu?elle portait qui est tombé à ses genoux, elle portait de vieux sous vêtements et il lui a dit ? ouhh c?est pas beau ça faut enlever ? et elle s?est exécuté c?est la première fois que je voyais maman toute nue, il l?a retourné et l?a fait se pencher et la maman lui a dit? dans le cul, s?il ti plait dans le cul ?au moment où il est rentré j?ai vu maman serrer les dents mais au fur et à mesure de ses va et vient maman gémissait et à chaque coup elle disait un petit aîe

- elle avait mal ?

- non au contraire, fallait la voir, il y avait ses gros seins pendant et son bide qui bougeaient

- passe moi les détails s?il te plait

- bon tu veux que j?arrête de raconter ??......bon....et le type il lui dit à maman : ? ça faisait trop longtemps que tu m?excitais...c?était pas la peine de ramener ta fille ta vue !!! ? et là il me dit ? bon t?es pas venu pour rien ma beauté ? allez caresse ta mère !! ..... allez !! ? et là maman me dit haletante ? fi comme i veux alli ? elle prend ma main et la pose sur son gros sein, et l?homme me dit tout en s?acharnant sur le cul de maman ? non pas là..là ? en me mettrant la chatte de maman, j?approche ma main et me met à genoux, je la pose sur la chatte toute poilue de maman et je la caresse et j?entend maman gémir quand je rentre mes doigts, j?en avais pleins les mains, ça coulait même le long de mon bras, le type allait de plus en plus vite et je faisais pareil, on aurait dit que maman pleurait, sa chatte était trempé, et il à crié ? je vais venir, je vais venir ?, maman en me poussant la tête vers son sexe lui dit ? s?il ti plait dans ma fille, dans ma fille ?, il est sorti de son cul et tendit sa bite vers moi, je l?ai mise dans ma bouche, j?ai failli vomir, car elle avait un drôle de goût et après j?ai failli m?étouffer, j?avais beau avaler son sperme, ça n?arrêtai pas de couler, c?était très épais pas comme celui de papa.....ou toi ; après le type c?est affalé et maman était comme drogué, dans les vaps, elle m?a dit de rentrer avec une voix tremblante en mettant son index sur la bouche pour me faire comprendre de ne rien dire et je suis rentré.

- Mais c?est terrible....

- Pfff, le plus terrible c?est que quand elle nous dit qu?elle a fait des heures supp. Je sais où elle est..ou plutôt avec qui !!

- Mais arrête tu fais une parano là !!

- Ouais !! C?est ça !! T?as déjà vue quelqu?un qui fait des heures supp. Et qui a toujours le même salaire à la fin du mois toi???

On a passé tout le reste de la journée dans l?appart. elle en simple tee-shirt et moi en caleçon, sans sortir et à parler de tout et de rien , et c?est seulement en fin de soirée que l?on entame la question des fantasmes, je lui parle justement de sodomie et elle me répond en riant ? eh ben va voir maman ?, et ensuite, elle m?explique timidement que le sien c?est de connaître la sensation de se faire pénétrer mais que par l?anus c?était trop risqué car on peut glisser à tout moment. Et nous allons nous coucher, pas moyen de fermer l?oeil avec toutes ces histoires, ? tu dors ?? me demanda t elle de sa chambre.

- non

- moi non plus .. je peux venir ?

- oui bien sùr

Elle est arrivée dans la pièce complètement nue, le lampadaire extérieur me permettait de distinguer chaque forme généreuse de son corps, elle me demanda si j?avais de la crème, je lui répondu que oui dans la salle de bain , elle y alla et revint près de moi et me dit ? tu sais je crois le sexe c?est comme une drogue !

- pourquoi tu dis ça !

- parce que je peux pas m?en passer !! Tu crois que je suis une salope ?

- Non, pas du tout, pardon de l?avoir pensé la dernière fois.

Au même moment elle se penche et retire mon caleçon et commence à faire durcir mon sexe dans sa bouche, puis prend le tube de crème et m?en met sur la bite et me dit ? tu bouge pas d?accord, tu bouges pas ? elle m?enjambe et de sa main par derrière guide mon sexe vers son anus, je sens mon sexe dur lui pénétrer doucement le cul ? ça fait mal me dit elle ? et elle s?asseoit sur ma queue ? je t?assure ça fait mal, je suis désolez ? et d?un coup se retire et penche vers moi et me répète ? ça fait trop mal ,je suis désolez tu ne m?en veux pas ?, le bout de ses seins frôlé mon torse, je la poussais doucement en arrière en avançant mon sexe elle avait compris dans mes yeux, ? non c?est mal karime, non ? mais elle reculait tout de même ? non il ne faut pas me dit elle ? quand mon sexe a effleuré sa chatte ? non c?est trop dangereux !! ? et là elle reprit mon sexe et le redirigea vers son anus, je l?ai vu faire une grimace de douleur au moment où mon sexe est entré, je ne pouvais pas faire trop de mouvement et lui proposa : ? je peux aller derrière toi ! tu auras peut être moins mal ??

- d?accord mais tu fais attention, tu fais attention

- promis !

Je me retirai doucement de son anus et décidai donc de me laisser glisser vers le bas entre ses jambes pour ne pas la faire bouger, et en chemin je me retrouve nez à nez avec sa chatte, elle sentait fort, et pour ne pas l?effrayer, je posais mes mains sur ses fesses et ma langue sur sa chatte, dans un petit soupir, elle se releva d?un coup, m?écrasant le visage de tout son poids, je continuai à jouer avec ma langue, je l?entendais gémir pour la première fois avec de longue respiration, elle ne savait plus quoi faire, elle cambrait la tête, pressait ces seins entres ces mains, me caressait les cheveux, mon visage était couvert de sa mouille, une vraie fontaine. 

Elle se releva brusquement et se dirigea vers ma queue et commença à me pomper très rapidement et en me branlant très fort, malgré mes giclés au fond de sa gorge, elle gardait le même rythme jusqu'à ce que ma queue mollisse dans sa bouche, elle est venue s?affaler près de moi en m?embrassant le visage...et elle me dit les yeux fermés à moitié dans les vaps : ?j?aime trop ça !! merci.....tu sais.... je pars demain !

- je sais....je peux te demander...

- oui quoi ? me dit elle sur le même ton lent

- je sais tout ? je veux dire tout m?a tout dit ?

- non...(elle laissa passer quelques secondes de réflexion) il y a aussi Brahim et Siham

J?étais estomaqué !! C?est mon plus jeune frère et ma plus jeune soeur, les derniers de la famille, ce sont de faux jumeaux, ils sont inséparables depuis tout gamin, très introverti, ils ne communiquent qu?entres eux, personne ne peut entrer dans leurs bulles, et Nadia continua son histoire les yeux fermés et de sa voix lente 

: ? tu sais comme tous les samedis, on part au course et on laisse les jumeaux à la maison....... mais le jour là maman m?avait demandé de passer à la poste chercher un colis et de rentrer, quand je suis revenue je suis allé voir si ils dormaient...personne dans leurs chambres et j?ai vue que la chambre des parents étaient ouverte et quand je me suis approché, je les ait vue nues sur le lit en train de se caresser de s?embrassait partout maladroitement.....j?ai trouvé ça beau... et je suis reparti tout doucement....elle a un corps superbe Siham tu sais, tout fin, avec une belle petite poitrine...elle a de la chance ?

- Arrête, toi aussi tu es magnifique.

Elle s?est endormie.



Le lendemain nous nous sommes levés en retard et nous nous sommes pressés jusqu?à la gare, nous avons eu le train juste à temps, elle me serra très fort dans ses bras, m?embrassa la joue et me tendit un sachet en me disant ? je t?aime ? et juste avant que les portes ne se referment, elle posa son index sur sa bouche pour me faire comprendre de garder le secret comme ma mère lui avait fait auparavant. 

Sur le quai, je regarde le train s?éloigner et j?ouvre le sachet, c?était son soutien-gorge, que j?ai encore aujourd?hui et que je sens parfois honteusement pour me remémorer tous ses souvenirs. 



J?espère que tu ne m?en voudras pas ma soeur de tout raconter aujourd?hui mais j?avais envie d?en parler, car j?ai besoin de savoir si d?autres comme nous, de nos origines, vive ou on vécu une histoire similaire. Afin de me rassurer.

Mon histoire n'a rien d'imaginaire, M Karim

Chers lecteurs, le site nouveau est entrain de se faire

 http://www.incest.over-blog.com/ 


Par maxime
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Dimanche 18 janvier 7 18 /01 /Jan 12:31

1471219 545775022164273 1996304801 nMa grande soeur et moi-même n'avions jamais été très proches l'un de l'autre, mais nous avions parfois "des moments de franchise". Des moments ou on se posait les questions sur des sujets que généralement nous n'abordions jamais. Elle approchait de la quarantaine et moi de la trentaine.

Cela faisait 4 mois que j'étais marié, et j'étais heureux avec ma femme. Je suis marocain et c'est en allant en vacances au maroc que je l'ai rencontrée, dans un village reculé ou une petite partie de ma famille vivait depuis des décénnies. Je suis pratiquement tombé amoureux d'elle au moment ou je l'ai vue. Physiquement, c'était une arabe "typique" : de grands yeux noirs, de longs cheveux noirs, une taille de guepe. Une pricesse toute droit sortie d'un conte des mille et une nuits. Elle avait 19 ans et venait de passer son bac.

Il m'a suffit de toucher quelques mots à mes parents pour que "l'affaire" soit arrangée et quelques mois plus tard, nous étions mariés. Latifa, puisque c'est son nom, n'avait pas refusé : je suis plutôt charmant et la perspective d'une vie heureuse en suisse(puisque c'est là que je suis né et que je vis) avait dû la convaincre d'accepter. De plus, j'étais tout à fait sincère et ce que je souhaitais le plus était de la rendre heureuse, et que ce soit réciproque. Je peux dire que jusqu'ici mes attentes étaient comblées.

Bref, tout allait bien pour moi.

Même mes rapports avec ma soeur s'étaient améliorés, bien que nous n'ayons jamais été ennemis, mais seulement distants.

En ce jour, je me trouvais chez Aicha(ma soeur), et nous étions seuls : ses 4 enfants étaient à l'école et son mari travaillait, moi-même j'étais en congé payé et ma soeur était femme au foyer. Quant à ma femme, je venais de la déposer au centre commercial, j'étais donc passé "dire bonjour" à ma soeur à l'improviste, préférant cela à une séance de shopping.

Nous étions dans le salon, autour d'une théière fumante qu'elle venait de préparer et nous discutions de choses et d'autres, la télévision en fond sonore.

- Alors, comment ça se passe avec Latifa, me demanda-t-elle en souriant, tout va bien?

- Oui, ça se passe super bien, dis-je, enthousiaste. Même mieux que je ne l'aurais imaginé!

- Ah, c'est bien, dit-elle, je suis vraiment contente!

Je vis qu'elle hésitait à ajouter quelque chose.

- Et... sexuellement? osa-t-elle m'interroger avec un large sourire, comme pour mieux faire passer la pillule.

C'est là que je compris que nous venions d'entrer dans une phase "franchise". Cela ne me genait pas, bien que mes joues durent légèrement rougir.

- Ben, ça se passe très bien aussi, dis-je, rien à signaler!

- Tu ne m'as jamais raconté comment ça s'était passé au mariage, dit-elle.

- Tu étais présente, que veux-tu savoir de plus!

Effectivement, elle avait fait le voyage jusqu'au maroc pour assister au mariage. J'allais lui rafraichir la mémoire mais elle me devança :

- La nuit de noce, je veux dire.

- Tout s'est bien passé, dis-je. Pas de nouvelles, bonnes nouvelles!

Je me demandais si elle allait avoir le culot de me soutirer des détails.

Mes craintes se révélèrent fondées.

- Oui mais, a-t-elle eu peur, ou mal? Elle était bien vierge, au moins?

J'avalai ma salive.

- Elle était vierge, et elle a eu peur et sûrement un peu mal aussi. Mais ça s'est bien passé, ajoutai-je, en espérant clore ainsi le sujet.

Peine perdue.

- Tu l'as excitée en la caressant avant de la pénétrer, j'espère!

- Oui, dis-je, à court de mots.

- Tu as titillé son clitoris?

Nous venions de quitter la phase "franchise" pour entrer dans une autre dimension.

Dans cette dimension, ma gorge était sèche.

- Oui.

- Elle a aimé? questionna-t-elle, sérieuse.

- Oui.

- Elle était humide quand tu l'as pénétrée?

- Oui.

- Tu as éjaculé en elle?

- Oui.

- Tu veux encore du thé?

- Oui.

Comme le capitaine Kirk et son ami Spock, il me faudrait des lustres avant de retrouver la planète Terre. 

Je me rendis compte que je bandais légèrement tandis que le thé chaud hydratait ma gorge.

Je fis mine de m'interesser à la télévision alors que je n'avais strictement rien à faire des résultats de tennis.

Elle revint à la charge.

- Vous faites souvent l'amour?

- Plutôt, oui.

Je compris qu'elle en voulait beaucoup plus et je décidai de la prendre à son propre jeu, de l'ettouffer de réponses.

"Elle aime que je la prenne par derrière, en levrette"

- Dans son ... cul? hésita-t-elle.

- Non, elle n'aime pas. Juste bien profond dans sa chatte.

J'avais hésité à prononcer cette dernière phrase, mais après tout, elle l'avait bien cherché : on récolte ce que l'on sème.

Je vis son visage rougir légèrement et c'est avec une mine bizzarement concentrée qu'elle posa sa question suivante :

- Elle suce?

- Oui, dis-je avec un bref sourire. Au début, elle ne voulait pas, mais depuis qu'elle s'est laissée tenter, elle ne peut pratiquement plus s'en passer.

- Eh bien! Qui aurait cru ça!

- Et j'ai oublié de te dire que je jouis à chaque fois dans sa bouche, et qu'elle avale jusque la dernière goutte.

- C'est vrai?!

- Ben, si je te le dis! En fait, la plupart du temps, elle ne suce pas vraiment : comme c'est une fainéante, elle reste couchée ou assise, et c'est moi qui fait tout le travail.

- Comment ça?

- Ben, je me fais aller dans sa bouche comme si c'était sa chatte et quand je sens que je vais jouir, je me cale au plus profond de sa bouche et j'éjacule. Je peux te dire qu'il ne se passe pas un jour sans qu'elle ait mon sperme dans l'estomac.

- Et toi, ça te plait ça?

- Bien sûr que ça me plait, qu'est-ce que tu crois? Je vis le paradis tous les jours. Faut être un mec pour comprendre ...

- Qui aurait cru ça!

- Pourquoi, tu n'arrives pas à nous imaginer, moi et elle, entrain de faire ça?

- Ben, elle semble tellement gentille, tellement douce, j'ai du mal...

- Ca n'empeche rien : elle reste douce et gentille, mais elle aime se faire plaisir, c'est tout.

- Oui, c'est vrai.

- Mais tu ne sais rien encore de toutes façons...

- Ah oui!? Raconte!

- Ah ah, tu veux savoir, hein?

Je savais que je pouvais lui faire confiance, que jamais elle n'irai repéter ce que je venais de lui dire. Nous avions déja quelques secrets que nous étions seuls à détenir, et jusqu'a maintenant, tout s'était toujours bien passé.

Je bandais maintenant assez puissament, heureusement que la table cachait la proéminence de mon jean's.

Je me doutais qu'elle devait être dans un état similaire, peut-être sa culotte était-elle déja trempée.

- En fait, tu dois savoir que plus le temps passe, plus elle devient passive. Comme quand je baise sa bouche, par exemple.

J'avais volontairement utilisé ces termes : "baise sa bouche". Je cru remarquer que cela avait eu l'impact voulu. Elle était très attentive et buvait mes paroles.

"J'ai pris l'habitude de lui caresser les seins à n'importe quel moment de la journée : quand nous sommes dans le canapé devant la tv, quand elle fait la cuisine, etc... Et il y a 2 mois, un jour au soir, pendant qu'on regardait un film, j'avais glissé ma main sous son chemisier pour jouer avec ses seins. Je ne sais pas pourquoi, mais il me prit l'envie de lui pincer les tétons."

- Et c'est tout?

- Mais non, attend. J'avais pincé assez fort, elle a sursauté et laché un petit cri. Elle a soulevé la tête pour me regarder. J'ai cru qu'elle allait m'engueuler, et je me préparais à m'excuser. Mais en fait, elle n'a rien dit. Elle s'est juste peletonnée contre moi. Alors, j'ai recommencé. Je lui ai pincé l'autre téton. De plus en plus fort. Chaque fois que je la pinçais, elle prenait une courte inspiration bruyante. Et voila, depuis ce jour-là, elle veut toujours que je lui pince les tétons.

- Eh bien! J'ai difficile à croire ça! Ca te plait de lui faire ça?

- Pourtant, c'est la stricte vérité. Et oui, ça me plait. Comme je suis un peu sadique, ça m'arrange, dis-je en souriant. Je lui ai déja donné la fessée, aussi.

- La fessée?!

- Oui, jusqu'a ce que ses fesses deviennent rouges, jusqu'à ce que ça lui brule. En fait, elle devient de plus en plus passive, de plus en plus soumise, et c'est pas pour me déplaire. C'est elle qui me demande de lui faire tout ça. Et elle en veut toujours plus.

- C'est incroyable, j'en reviens pas...

- Le fait est que je deviens de plus en plus brutal avec elle quand il est question de sex. Mais ne te trompe pas, je l'aime profondément, et elle me le rend bien.

- Brutal?

Je ne reconnaissais plus le visage de ma soeur. Sa mine était un mix de curiosité, de trouble et ses joues étaient rouges.

- Disons que quand j'ai envie d'elle, je me sers. Je l'ai déja sautée dans toutes les pièces de l'appartement. Maintenant, je lui donne la fessée avec ma ceinture. Je peux te dire que ça lui fait mal. J'aime baiser sa bouche et la frapper en même temps. 

- Et ça lui arrive de pleurer?

- Dernièrement, j'ai voulu connaitre ses limites, et là elle a pleuré. Faut dire que je m'étais laché.

- Raconte, dit-elle dans un souffle.

- Je venais de rentrer du boulot et elle était attablée, entrain de feuilleter un catalogue, je crois. J'avais passé une sale journée et j'avais envie de me détendre. Je l'ai embrassée longuement, puis je ne pouvais plus attendre. J'ai baissé mon froc, je l'ai attrapée par les cheveux et je me suis enfoncé dans sa bouche. Je me souviens qu'elle a failli vomir, mais je m'en foutais royalement. Je crois bien que j'avais inconsciemment décidé de passer mes nerfs sur elle. Je l'ai faite tomber de sa chaise en la tirant par les cheveux, puis je l'ai trainée sur un mètre. Elle était à genoux, et pour la première fois, je l'ai frappée au visage. Je lui ai donné une claque dont elle doit encore se souvenir. Elle ne pleurait pas encore, mais je sentais les premiers sanglots arriver. J'ai continué à lui baiser la bouche pendant quelques minutes, en lui tenant fermement la tête par les cheveux. Puis j'ai pratiquement arraché son chemisier, j'ai enlevé ma ceinture et j'ai cravaché son dos nu jusqua ce que mon bras soit fatigué.

- Elle criait?

- Oui. Quand j'ai laché ses cheveux, elle s'est laissée tomber au sol, sur le coté. Elle s'est mise à pleurer pleinement. J'ai poussé sa hanche du pied pour la mettre sur le dos. Je l'ai contemplée un moment en me branlant. Puis je me suis mis entre ses cuisses et je l'ai baisée. Je lui faisais mal aux nichons, je lui pinçais les tétons de toutes mes forces, ça la faisait se plier. Je l'embrassais, et je sentais le gout de ses larmes. J'étais surexcité. Finalement, j'ai jouis sur son visage. Après quelques minutes, j'ai nettoyé son visage avec une serviette en papier, je l'ai soulevée et j'ai été la coucher dans notre lit. Je me suis mis nu et je me suis couché près d'elle. J'avais eu peur d'avoir été trop loin, mais elle m'a rassuré en me demandant de la serrer très fort. C'est ce que j'ai fait, et on s'est endormi.

Après un moment d'hésitation, ma soeur posa une nouvelle question :

- Et qu'est-ce qu'elle a dit, le lendemain?

- Pas grand chose. En fait, on parle rarement de ces moments là. Si elle m'avait demandé d'arreter, j'aurais immédiatement arreté. Je commence à bien la connaitre : si elle ne dit rien, c'est que ça va. Mais sinon, le lendemain, pendant qu'on préparait le diner, sans y penser, j'ai posé la main sur son dos. Ca l'a faite tressaillir, et par réflexe elle s'est écartée. J'ai soulevé son t-shirt et j'ai vu que son dos était tout rouge. On voyait bien les traces de la ceinture, c'était gonflé par endroits. Je me suis amusé à taquiner ses blessures. J'ai vite commencé à bander. On est allé s'asseoir dans le canapé et d'une pression sur la nuque, je lui ai fait comprendre que j'avais envie de sa bouche. Pendant qu'elle suçait, puisque j'avais son dos juste sous les yeux, je jouais à lui faire mal. Je suis étonné par sa capacité de résistance à la douleur, mais je sais quelles sont les limites à ne pas dépasser, ne t'inquiète pas.

Ma soeur avait les yeux baissés, semblant fixer un objet sur la table. Finalement, elle releva la tête.

- Elle doit vraiment t'aimer pour se donner à toi comme ça.

- Oui, je crois, dis-je en souriant. J'y ai déja refléchi, et j'en suis arrivé à la conclusion qu'elle aime simplement être possédée, dominée. Et pour ce qui est de la douleur, ça fait partie du jeu. Ca la conforte dans l'idée qu'elle m'appartient. Mais de là à dire qu'elle aime vraiment avoir mal, je n'en sais rien. Je pense qu'il ne faut pas chercher à comprendre : il existe des gens qui aiment, et d'autres non. En tous cas, ce qui est sûr, c'est que je me sens extrêmement proche d'elle. Et elle doit ressentir la même chose, je pense. Mais si un jour elle me demande d'arreter, de ne plus jamais lui faire mal, j'arreterai, même si ça risque de m'être difficile.

- Difficile?

- Oui, difficile. J'y ai pris gout, qu'est-ce que tu crois? Latifa est une femme superbe et je l'aime à la folie. Tu ne peux pas savoir ce que c'est de lui faire toutes ces choses tant que tu ne l'as pas vraiment fait. C'est vraiment un autre monde. Quand elle est tout contre moi, que je sens sa respiration chaude dans mon cou pendant que je claque sévèrement ses fesses avec le cuir de ma ceinture, que je la sens tressaillir à chaque coup que je lui donne... Je ne peux plus m'en passer.

- Je vois.

- Bon, maintenant que tu sais à peu près tout de ma vie sexuelle, c'est ton tour!

- Il n'y a pas grand chose à dire, dit-elle en souriant légèrement.

- Il y a toujours plus à raconter qu'on le pense.

Elle souleva légèrement une épaule.

Je n'allais pas lui faire de cadeau.

"Tu suces?"

Si elle était surprise, elle ne le montrait pas.

- Parfois.

- C'est quand la dernière fois que tu as sucé?

- Je ne sais pas, ça fait longtemps.

Après tout ce que je venais de lui raconter, elle allait me faire l'affront de jouer à celle qui en dit le moins possible.

- Je suppose que tu aimes la bite? Avec 4 enfants, le contraire m'étonnerait!

- Oui, mais je ne suis pas comme toi, ou comme Latifa, j'aime les choses normales.

- Eh bien, dis moi ce que tu aimes, alors.

Elle n'ajouta rien.

j'allais tenter quelque chose.

"Ca te dirait de regarder, pendant que je la fais souffrir?"

Elle souleva la tête et acquiesça.

J'avais touché quelque chose.

"Je peux essayer d'arranger ça"

- Tu es fou? Qu'est-ce qu'elle va dire?

- Tu ne te montreras pas, tu seras cachée. Tu nous verrais sans qu'on te voit. Que voudrais-tu que je lui fasse?

Elle hésita un court instant.

- Fais-lui mal.

- Comment? Frapper son dos et ses fesses ou bien tu préfères que je m'occupe de ses seins?

- Fais-lui mal aux seins.

- Je la ferai se plier tellement je lui ferai mal, et puis je la ferai se mettre à 4 pattes, je m'assoirai sur son dos et je fouetterai ses fesses et ses cuisses. Je m'arrangerai pour que tu aies une vue parfaite de son petit cul. Ca te plairait?

- Oui. Baise-la, aussi.

La machine était en route.

Je bandais si fort que j'en avais mal.

- Tout ce que tu voudras. Je peux aussi lui baiser la bouche, si tu veux.

- Oui, vite et fort. Et lache tout ton sperme dans sa bouche.

- Et elle avalera comme une gourmande, elle adore ça.

J'en rajoutais quand même un peu.

"Imagine qu'elle se rende compte que tu es là."

- T'es fou!

- Imagine, simplement. Imagine qu'elle fasse comme si elle ne t'avait pas vue. Imagine qu'elle est à 4 pattes entrain de me sucer, mais bien consciente de ta présence. Elle n'attendrait qu'une chose, c'est que tu prennes la ceinture et que tu la frappes, j'en suis sûr. T'en aurais envie?

Elle fit oui de la tête.

"Et on pourrait échanger les positions : je la prends en levrette pendant qu'elle te lèche."

- Elle aime ça?

- Oui.

J'en étais pas sûr.

"Tu pourrais t'amuser avec elle quand tu en aurais envie."

- Je la ferai me lécher du matin au soir. Je m'assoirai sur son visage pour qu'elle me lèche le cul et je lui pincerai les seins.

Je commençais vraiment à avoir mal aux couilles, ça devenait intenable.

- Bon, on va arreter de parler de tout ça.

- Pourquoi? demanda-t-elle.

- Parce que ça m'énerve.

- Ca t'énerve?!

- Oui, je bande trop fort depuis trop longtemps et ça m'énerve.

- Tu bandes?

- Ben, oui. Pourquoi? Ne me dis pas que tout ce qu'on s'est dit jusque maintenant ne t'a fait auncun effet.

- Si, un peu.

- Un peu? T'es mouillée?

- Oui.

- Je parie que tu es toute trempée!

Elle ne répondit pas.

- Montre-moi.

- Quoi? Que je te montre ma bite?!

Elle resta muette.

Il ne me fallu pas longtemps pour me lever, malgré que je n'en croyais pas mes oreilles.

Je me mis debout à 2 mètres de ma soeur et sortis ma bite qui était tendue comme un morceau de bambou.

Je la tendis vers elle et commençai à me branler doucement.

Ses yeux étaient fixés sur elle.

Je fis un pas en avant, puis un autre, pour enfin m'appuyer contre la table, à une trentaine de centimètres de ma soeur.

Je me branlais doucement.

"T'en as envie, Aicha?"

Elle me jeta un regard rapide et reporta son attention sur ma queue tendue.

"Branle-moi"

Elle ne bougea pas d'un poil.

Je pris sa main et la portai à ma bite, puis j'imprimai un mouvement de va-et-vient. Je me mis à caresser sa joue de la paume de ma main libre, elle était brulante. Je passai mes doigts dans ses cheveux. 

Je me rendais compte à quel point j'aimais cette femme, ma soeur. C'était bizzare et j'avais l'impression de ne rien controler. Comme dans un rêve incertain où le danger pouvait surgir à tout moment.

Elle était belle, mais je lui préférais de loin Latifa. Non seulement parce qu'elle était plus jeune, mais aussi parce qu'elle avait un physique à tomber par terre. Latifa était svelte, même un peu trop à mon gout, tandis que ma soeur était largement en sur-poids. On devinait aisément les bourlets de graisse sous ses chemisiers et pulls qu'elle s'obstinait - me semble-t-il - à acheter une taille en moins. Je ne l'avais jamais vue nue, du moins pas depuis très longtemps, mais je pouvais l'imaginer à poils. Elle avait des seins lourds en apparence, des fesses larges et des biceps tombants.

J'étais de toutes façons décidé à la déshabiller, le suspens n'allait pas durer longtemps.

Je caressai sa lèvre inférieure puis j'introduisis mon index dans sa bouche.

Elle resta inerte.

"Suce"

Après un moment d'hésitation, elle commença à suçoter mon doigt.

"On monte?"

Elle se leva silencieusement pour se diriger vers l'escalier qui menait à l'étage.

Je la suivis, queue en main. Mon coeur battait si fort que j'en vins à me demander, une demi-seconde, si c'était normal.

Arrivés dans la chambre, elle se laissa choir sur son lit conjugual, un peu bordélique.

Trop conventionnel à mon gout.

- Non, assieds-toi sur le bord du lit.

Elle s'exécuta.

Je fis glisser mon jean's et mon caleçon sur mes chevilles puis j'approchai mon gland de sa bouche.

"Prends-la en bouche"

Elle hésita, puis léchouilla timidement le bout de mon gland.

Je dus m'approcher encore pour que ma bite soit tout contre son visage. Sa langue devint plus énergique et elle parcourait maintenant mon sexe de la base à l'extremité.

Je fis voyager ma bite tendue sur l'entièreté de sa face, tapotant par-ci, caressant par-là.

J'avais une envie terrible et implacable de la dominer, et de le lui faire savoir.

"Prends-la en bouche maintenant, et suce"

Je dus légèrement forcer le passage, la résistance fut molle. J'étais enfin dans sa bouche. Elle amorça un mouvement de va-et-vient mais elle était maladroite.

 

Je me retirai et soulevai son visage par le menton.

"Je ne dois pas sentir tes dents. Je ne veux sentir que ta langue, tes lèvres et l'intérieur de tes joues. T'as compris?"

Ce disant, je réintroduisis sans ménagement ma queue humide dans sa moiteur buccale. Au bout de quelques courtes minutes, le mouvement devint régulier et sa bouche était devenue très agréable.

"C'est bien, t'apprends vite, petite salope."

Je prenais mon pied.

"Fais-moi voir ces gros nichons que tu caches depuis si longtemps"

Elle s'interrompit un instant pour enlever son pull si étroit, ce qui fit se déverser sa double vague de graisse ventrale. Elle dégraffa ensuite son soutien-gorge et libéra ses 2 mamelles qui retombèrent mollement. Elle avait la peau très blanche, trop blanche. On distinguait aisément les veines bleutées qui parcourait ses seins.

Je soulevai une de ces mamelles et la laissai retomber pour en faire ressortir le côté flasque. Bien que flasques, ils étaient pourtant encore bien pleins. Ils ressemblaient plus à un ballon de rugby aplati qu'à un ballon de football dégonflé. Ils me faisaient penser à des melons ovales très mûrs.

Je les pris tous 2 en mains et les soupesai. Aicha avait la tête baissée et regardait mes mains palper ses mamelles.

"C'est des bons gros melons que tu as là"

Elle souleva la tête en souriant.

- T'aimes pas?

- Si, ça fond sous la main, dis-je en lui rendant son sourire. Continue à sucer, ajoutai-je après une courte pause.

Elle reprit sa besogne et je cru détecter de l'enthousiasme. Elle se remit à sucer presque méticuleusement. Comme soucieuse de bien faire.

Je pressais ses seins comme pour faire sortir le jus d'une orange. Leur maléabilité était très agréable.

Mes pressions s'accentuèrent et je la fis sursauter en geignant quand, sans m'en être vraiment rendu compte, j'enfonçai mes ongles dans sa chair molle.

Elle extirpa de sa bouche ma queue raide qui ruissela de salive.

- Tu m'as fait mal! dit-elle en aspirant in extremis un filet de salive qui tentait de s'échapper de sa bouche.

- Excuse-moi, lui dis-je. Je suis tellement habitué avec Latifa. Ca t'a vraiment fait mal? Pourtant j'y ai pas été si fort. Faut dire que Latifa est tellement résistante. Je vais y aller doucement.

Elle reprit sa pipe mais semblait maintenant vigilante.

Au bout d'un moment, j'en eu assez de sa bouche.

Je sortis ma queue de sa bouche et lui tapotai la joue du gland.

"Allez, je veux ton gros cul maintenant. A poils."

Elle se leva et commença à se déshabiller tandis que je m'étais assis sur le lit sans avoir cessé de me branler. Quand le boudin eut fini son strip-tease, je lui demandai de rester debout, devant moi. Ses grosses cuisses tremblotantes étaient surmontées de 2 énormes fesses dégoulinantes de graisse. Elle était dégoutante à voir, et elle devait s'en douter. La beauté de son visage n'était pas de taille à rivaliser avec la répulsion spontanée que l'on pouvait éventuellement ressentir à regarder son corps informe. Sa peau blafarde, ses mamelles obscènes, son ventre éléphantesque, son cul et ses cuisses flasques pouvaient donner envie de gerber. Pour couronner le tout, ses cheveux étaient en bataille.

J'affichais un léger rictus de dégout.

"Ca te dérange si je te dis que t'es une grosse vache?"

Elle fit non de la tête, le regard vague.

"Je te le dis alors : t'es une grosse vache. Une truie avec des grosses mamelles et un gros cul de vache qui devrait payer pour qu'on la baise."

Elle baissa les yeux et eut l'air d'un chien battu.

"Amène ton gros cul ici."

Elle s'approcha.

"Ecarte les cuisses et penche-toi."

Elle était très poilue.

"Tu le rases jamais ton gros cul?" dis-je avec une pointe d'agacement à moitié calculée dans la voix.

Elle ne répondit pas.

J'approchai mon visage de sa croupe et humai. Ca ne sentait pas la rose, mais ça ne sentait pas mauvais non plus.

"T'as pris une douche aujourd'hui?"

Elle fit non de la tête après avoir hésité.

"Quand?"

- Hier.

- Mets toi à 4 pattes.

Il lui fallu un certain temps : elle n'était pas acrobate.

J'écartai ses fesses pour mieux voir son anus et sa vulve touffue. Sa chatte n'était pas toute fraiche.

"Combien de bites sont déja passées par là?"

- Une seule, dit-elle à demi-voix.

- Monte sur le lit et écarte bien les cuisses.

Elle y grimpa. La gravité attirait ses nichons et la graisse de son ventre vers le matelas.

"Ecarte tes grosses fesses avec les mains."

Elle dut faire reposer ses épaules contre le lit.

Je la penetrai profondément d'un seul mouvement puissant.

"Bouge un peu ta graisse, comme une pétasse. Ondule du cul."

Elle se mit à tortiller ridiculeusement du bassin. 

Mes mains posées sur mes reins, je la baisais d'un mouvement plutôt rapide mais régulier. Elle commençait à gémir faiblement. Chaque coup de bite que je lui donnais faisait vibrer son corps obèse.

Je me laissai choir sur son dos, lui faisant supporter tout mon poids. Je pris ses mamelles en mains et les massai tandis que je baisais de plus en plus vite.

Ma bouche était à hauteur de ses oreilles.

"Tu vois, c'est comme ça que les chiennes se font baiser. T'es juste bonne à sucer des bites et à te faire baiser comme une chienne. Grosse vache."

Je me lachais totalement. J'avais envie de la rabaisser plus bas que terre, de lui faire ressentir une certaine douleur morale, qu'elle se sente possédée, complètement offerte, lui faire comprendre que c'était comme ça que j'avais envie d'elle. Je voulais qu'elle se sente laide, sale, immonde, que devant moi elle n'ait plus de dignité. Lui faire comprendre que son cul et sa bouche m'appartenaient. Qu'à partir de ce jour, nos relations ne seraient plus jamais les mêmes.

J'étais en bonne voie.

"Tu veux être ma petite salope? Ma petite pute? Mon sac de graisse dans lequel je décharge mon sperme? Dis-le que tu m'appartiens, dis-le!"

- Je t'appartients, lacha-t-elle entre deux gémissements.

- Petite pute!

Ce disant je lui donnai une gifle sur la fesse, puis une autre, puis encore une autre.

"Ca fait longtemps que t'a pas été baisée comme ça, hein dis-moi? Je suis sûr que ton mari ne te baise pas comme moi je te baise, comme une chienne en chaleur."

Je me sentais proche de jouir.

"Tu veux mon sperme dans la bouche?"

- Non ...

- Allez, tu vas aimer, tu vas voir. Laisse moi juter dans ta petite bouche, allez!

- Non, s'il te plait, j'ai pas envie ...

- Bon, ok. Sur ta gueule alors?

- OK.

- Mets toi sur le dos.

Elle se retourna et j'allai m'asseoir sur sa poitrine, ce qui fit qu'elle eut mes couilles tout contre sa bouche.

"Lèche."

Elle actionna sa langue tandis que je me branlais audessus de son visage. 

Mine de rien, je m'avançais de plus en plus, et j'étais presque assis sur sa bouche. Je me demandais comment elle allait réagir. A ma grande surprise, elle n'eut aucune réaction particulière. Elle continuait à faire voyager sa langue. Elle léchait l'intérieur de mes fesses, mais je remarquai qu'elle évitait soigneusement mon anus.

"Leche mon trou de cul, dis-je en me tortillant sur son visage."

Elle finit par m'obéir et se mit à léchouiller mon anus. C'était tellement bon de la sentir sous moi, sa langue fouillant mon cul.

Je lui fis plier les genoux, pour ainsi pouvoir m'appuyer sur eux. Je fis aller et venir rageusement mon cul sur son visage, me souciant peu de son besoin respiratoire.

Finalement, je n'en pus plus, je me reculai et éjaculai 4 ou 5 giclées de sperme épais sur sa face. Elle en avait dans l'oeil, sur le nez, la joue, et une giclée s'était écrassée juste sur sa bouche, qu'elle avait fermé.

Je me laissai choir sur son ventre et l'embrassai à pleine bouche, mêlant le sperme et nos salives. J'adorais faire ça. J'aime les baisers mouillés.

"T'inquiètes, tu vas apprendre à aimer mon sperme. Si ça ne tenait qu'à moi, je te ferai déjeuner et diner au sperme."

- Ne dis rien à Latifa, me demanda-t-elle.

- Pourquoi? T'as plus envie qu'elle te lèche le cul? J'étais sérieux, tu sais.

- Parce que je suis ta soeur et qu'on ne devrait pas faire ça, personne ne doit savoir, jamais! Tu te rends pas compte?

- Ecoute : Latifa, je l'ai dans la poche, je suis sûr que si j'abordais de temps en temps le sujet avec elle - sans parler de toi - et qu'au bout d'un moment on la mettait devant le fait accompli, elle se contenterait de suivre la marche.

- Non ... ne lui dis rien! Si tout le monde sait ce qu'on vient de faire, ça va tout détruire.

- N'aie pas peur. Elle sait garder un secret. T'a-t-elle déja raconté notre vie sexuelle, pourtant débridée? Jamais! Pourtant vous parlez souvent toutes les deux! Ecoute, je vais juste voir avec elle, essayer de diriger la conversation, pour voir sa réaction. Je te jure de ne pas lui parler de toi tant que je ne suis pas sûr de sa réaction, ça te va? Il n'y a aucun risque.

Elle sembla pensive, et son mutisme me fit penser que je l'avais convaincue.

"Allez, arrange-toi, moi je descend, Latifa ne devrait pas tarder à arriver, elle m'a dit qu'elle allait revenir à pieds."

J'étais retourné m'asseoir devant la tv, m'étant servi un verre de thé.

Aicha me rejoignit quelques minutes plus tard. Elle semblait éviter mon regard, comme honteuse.

"Ca t'a plu? la questionnai-je."

Elle me tournait le dos.

- Oui...

- Assieds-toi.

Elle s'assit.

"Tu sais, je ne pense pas tout ce que je t'ai dit. C'est juste ... que j'aime ça."

Elle évita encore mon regard et souleva brièvement les épaules.

"Ca te plait, peut-être?" lui demandai-je.

- Un peu, ça m'excite.

- Moi, ça m'excite terriblement! dis-je, enthousiasmé.

C'est à ce moment que la sonnerie de l'entrée retentit.

"Ca doit être Latifa."

Je me levai pour aller ouvrir la porte.

Effectivement, c'était Latifa, portant deux sacs remplis de ses achats au centre commercial.

"T'es déja là, mon coeur?" lui dis-je en la faisant entrer.

Nous nous assîmes autour de la table.

"Justement, on parlait de toi!" lançai-je sur le ton de la plaisanterie.

Ma soeur sembla me foudroyer du regard.

- Qu'est-ce que vous disiez? Du bien, j'espère!

- Bien-sûr, mon coeur, que veux-tu qu'on puisse dire d'autre sur toi?

- Il me disait juste combien il t'aimait, Latifa! dit Aicha.

Nous discutâmes de choses et d'autres. Latifa était égale à elle même, mais ma soeur semblait réservée, surtout quand je prenais la parole. Elle laissait Latifa faire le gros du bavardage.

Finalement, ce fut l'heure de nous en aller. Latifa me le fit remarquer.

- On y va? me demanda-t-elle.

- Oui, on y va.

En me levant, je dis à Aicha :

"Passe plus souvent nous voir, Aicha. Moi et elle on s'ennuie, ces temps-ci."

Et nous quittâmes sa maison.

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Par maxime
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Dimanche 18 janvier 7 18 /01 /Jan 12:25

view 535 1442 12 Bonjour, c'est la première fois que j'ose dévoiler de telles histoires, mais il était temps pour moi de les vider de mon cœur. Mon nom est Nirma, et je suis Libanaise d'origine. J'ai 22 ans et je vis à Marseille depuis maintenant 7 ans avec mes parents et ma sœur Amel. Comme dans toute famille arabe, et surtout musulmane, c'est le père qui est meneur de jeu dans la famille. Et le mien, qui s'appelle Ali, est particulièrement sévère. Il exerçait sur moi et ma sœur un contrôle total sur nos sorties et nos allées et venues. Ma mère, Fatima, lui a toujours été fidèle et à ses pieds voire soumise. Bref, une vraie famille ou le chef est le père et dans notre cas notre père était souvent surnommé dans l'entourage comme un dictateur. Mais tout cela à changer il y a de cela plus d'un an.


Tout a commencé lorsqu'un soir de mai je revenais chez moi. J'étais avec quelques cousines et on fêté l'anniversaire de l'une d'elle. Mon père était parti avec ma sœur pour un long weekend chez son frère Moussa, à Paris. Il été à peu près 10h30. Il faut dire que j'en ai abusé un peu, puisque mon père n'était pas là. De plus ma mère était un peu moins sévère sur nos sorties. Lorsque je rentrai, j'entendis des cris qui provenaient de la chambre du fond. J'avança sur les pointes de mes pieds et je vis ma mère comme une chienne dans sa chambre avec un homme de race noire qui semblait enrageait et assez intense.

- Tiens salope prends là cette grosse bite. Tu l'aimes ma pute. Hein? T'aimes cette grosse queue de nègre salope. Hein? 

- Oh oui! Ah! Fuck! S.T.P. Baise moi. Fais de moi une vraie femme je t'en supplie Mouda, baise moi.

- Salope, et ton mari salope! Hein? que va-t-il dire? TIENS

- HAAA!!!! Oui frappe moi le cul. Mon mari est une pédale. Sa queue ne fait pas le quart du tien!!!

J'étais complètement figée. Je n'arrivais pas à imaginer ce qui se passer. Mais cet homme m'envoûtait. Oui il était un vrai homme. Il faisait au moins 1m85 et bien musclé. Et lorsqu'il se retira de sa chate, j'ai pu apercevoir son membre. C'était gigantesque!!! Ma mère suait. Je suis partie me réfugier dans ma chambre.

Le lendemain, je vis ma mère en robe de chambre, toute souriante. Elle était belle et semblait radieuse. D'ailleurs, avant de marier mon père, ma mère a reçue des dizaines d'offres de mariage, mais son père voulait qu'elle se mari avec mon père, qui était un riche commerçant à l'époque. Mais mon père n'avait pas la prestance de ma mère. Il était gros, avec un gros ventre. Il faisait à peine 1m70. Il ne savait que criait et quand il mangeait il le faisait comme un porc. 

- Alors Nirma, qu'est-ce que tu fais aujourd'hui?

- Rien maman. Je pensais étudier un peu pour préparer mon test de la semaine prochaine.

- Pourquoi tu ne vas pas étudier à la biblio avec ta cousine Racha?

- Racha n'est pas disponible aujourd'hui.

- Pourquoi tu ne trouves pas alors quelqu'un d'autres?

- Pourquoi est-ce que tu tiens absolument à ce que je quitte la maison aujourd'hui?

- Surveilles ta tonalité quand tu parles à ta mère et d'ailleurs tu n'a pas à me poser pourquoi je fais ci ou ça? 

- Serais-ce pour voir Mouda?

Je crus à ce moment là que ma mère allait s'effondre en larme. Elle me regarda mais sans bouger un cil. Elle semblait sur le point de s'effondrer. Puis elle reprit contrôle.

- Qu'est-ce que tu as vu au juste?

- Je t'ai vu comme une petite chienne soumise à lui et à sa queue entrain de te faire défoncer comme une salope. Et t'y prenais plaisir.

- Vas-tu le raconter à ton père?

- Tout dépend de toi. Si tu me raconte les détails, je ne lui dirais rien. 

- Qu'est-ce que tu veux savoir?

- Pourquoi tu t'es abandonné dans le bras de cette brute?

- Parce que c'est un vrai homme. Tu l'as vu, non? Il a une vraie musculature. Et puis....eh..

- Et puis quoi salope?

- Et puis il y a son pénis. Même au repos il fait deux fois la taille de ton père bandée.

- Combien mesure celui de papa?

- Tu veux vraiment le savoir?

- Oui...

- Il fait à peine 11 cm bandé.

- 11 seulement??!!

- Oui...Alors que Mouda fait 23 cm bien étiré...

- WOW!!!

- Et comment tu faisais pour endurer papa??

- HAHAHAHA!!! Je l'endurais, mais entre moi et toi je ne le sentais plus au fil des temps...

- Est-ce que c'est la première fois que tu trompais papa?

- Non, ça faisait quelques fois avec Mouda, mais...

- Mais quoi maman?

- Mais je l'ai trompé avec son frère, ton oncle Wissam...et c'était la première fois que je prenais plaisir avec une vraie queue. Il faisait 18 cm et sa queue était deux fois plus grosse que celle de ton père.

- Alors tu es vraiment une pute?

- Non, quand tu es une femme tu as besoin d'un homme, d'un vrai...et ton père n'en est pas un.

- Est-ce que tu veux dire que la valeur d'un homme se mesure par la taille de son membre?

- Nous les femmes on attire les hommes avec nos hanches, nos culs, nos seins, et eux ils doivent avoir la vraie prestance d'un homme, une vraie queue pour nous mériter. Est-ce que tu vas dire ça à ton père maintenant que je me suis ouverte à toi??

- Tout dépends si j'aura ma part dans cette histoire...

 

A suivre...

 

 

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